Rôle d’une infirmière dans le cadre de la mesure 40 du plan cancer

Présentation au sujet: "Rôle d’une infirmière dans le cadre de la mesure 40 du plan cancer"— Transcription de la présentation:

1 Rôle d’une infirmière dans le cadre de la mesure 40 du plan cancer
L’infirmière en consultation d’annonce Edith Wurgler - 4 novembre 2008

2 PLAN : Exemple d’une femme à qui on annonce un carcinome canalaire infiltrant du sein gauche. On programme ce jour une intervention chirurgicale. 1. C.I.A. au service de gynéco - pathologie mammaire 2. CIA au service de cancérologie ambulatoire – radiothérapie Réflexions autour des soins, auprès d’une personne atteinte de maladie grave. Parcours au quotidien pendant et après. III. Expériences professionnelles personnelles à suivre… ou ne pas suivre. Soignants, prenons soin de nous , pour prendre soin des autres !

3 Consultation infirmière annonce n°1
Sens du parcours Consultation infirmière annonce n°1 gynécologue Consultation anesthésie - marqueurs - scinti os - RP, écho foie mammographie Bilan extension Patiente Médecin traitant 1 Hospitalisation  Chirurgie Pansements + Résultats Psychologue Consultations médicales de suivi thérapeutique Consultation infirmière annonce n°2 Consultation oncologue radiothérapeute Radiothérapie (1,5 mois) Infirmière esthétique Chimiothérapie (6 mois)

4 « Le dispositif d’annonce
c’est informer, soutenir, accompagner l’entrée dans cette maladie, mais aussi structurer et adapter sa prise en charge. L’équilibre entre l’écoute et l’action, partagées et coordonnées par tous les soignants, est le garant d’une médecine de plus en plus curatrice et humaine. » Pr. Dominique MARANINCHI

5 du cancer est un acte décisif où l’avenir
« L’annonce du cancer est un acte décisif où l’avenir d’un patient et la responsabilité des soignants sont engagés. Elle détermine en grande partie l’intensité des conséquences, immédiates et à venir de la maladie sur la vie du patient et de son entourage. » Pr. Henri PUJOL

6 Conclusion: En résumé, le dispositif d’annonce consiste à parler au malade du possible. Ce faisant, c’est lui donner des moyens de lutter et c’est aussi l’accompagner. Accompagner n’est pas un palliatif, ce n’est pas un « faute de … », c’est la partie noble de notre activité, celle qui ne peut pas se réduire à la technique …!