QUOTIDIENS DES ENFANTS. Un français : 1). Les Français sont très sévères sur l’éducation des enfants d’aujourd’hui, 74% des Français jugent les enfants.

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1 QUOTIDIENS DES ENFANTS

2 Un français : 1). Les Français sont très sévères sur l’éducation des enfants d’aujourd’hui, 74% des Français jugent les enfants d’aujourd’hui en général moins bien élevés qu’à l’époque où ils étaient eux- mêmes enfants et 85% des Français jugent la plupart des parents « pas assez sévères » avec leurs enfants. En moyenne, les Français considèrent que les enfants devraient aller se coucher à 20h20 lorsqu’ils ont 6-7 ans ; à 20h50 lorsqu’ils ont 10-11 ans et à 21h40 lorsqu’ils ont 14-15 ans. Ils pensent aussi qu’ils devraient être autorisés à regarder la télé à 6 ans, à aller sur Internet à 12 ans, à avoir un téléphone portable à 13 ans, à avoir un compte Facebook à 15 ans et à partir en vacances avec des ami(e)s à 16 ans. 2). L’école continue de très fortement diviser les Français : certains préfèrent publiques, d’autres privées ou encore l’école à la maison. Tous les enfants dans l’Europe doivent aller à l’école obligatoirement jusqu’à 16 ans. C’est seulement à partir de 16 ans que la loi autorise un enfant a travailler. 3) Généralement les enfants européens ne souffrent pas de sous alimentation bien au contraire, l’obésité est présente. De plus ils ont une hygiène de vie plutôt saine: bon nombre de sommeil, pratique d’une activité sportive, bonne alimentation, sieste…

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4 En Africaine: L’Afrique est pour beaucoup l’un des plus beaux endroits sur terre. Près d’un milliard de personnes considèrent l’Afrique comme leur maison. En Afrique subsaharienne, la moitié de la population est âgée de moins de 18ans. C’est une des régions ayant la plus forte croissance du monde. Grandir en Afrique est un grand défi. La mortalité infantile est très présente mais on a pu réduire ce taux de manière spectaculaire. L’hygiène des enfants est moindres et souvent certains se retrouvent abandonnés sur les routes pour manque d’argents ou de la place dans la famille. Ils ne sont pas scolarisés du moins la plus part et n’ont pas assez aux loisir européens. Environ 440 000 enfants sont inscrits dans le programme de parrainage de Compassion. Plus de 6000 nourrissons et petits enfants sont enregistrés dans le programme de survie des tout-petits. Les enfants africains doivent surmonter de nombreux defis est travaille tres jeunes mais il faut aussi savoir qu’ils rient, jouent, apprennent, espèrent, revent, ils prient et ils vivent.

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6 En Chine: Les petits Chinois ne bénéficient pas pleinement de leurs droits, même si des progrès ont été accomplis ces dernières années. Le trafic d’enfants, les disparités entre les différentes régions en matière de santé et d’éducation, etc… restent problématiques. La répartition des richesses reste très inégale en Chine. Environ 4,2 millions d’enfants sont considérés comme vivant dans des conditions de pauvreté extrême ; par ailleurs, on estime que près de 9 millions d’enfants sont « défavorisés ». Les familles nombreuses doivent payer une taxe. Ces mesures sont véritablement problématiques pour les familles pauvres de la campagne, qui comptent sur des enfants, et de préférence sur une descendance mâle, comme force de travail et comme « assurance vie » pour leurs vieux jours. Plus de 400 millions de naissances ont ainsi été « évitées », assurant un meilleur standard de vie aux Chinois, selon les autorités. L’avortement sélectif (selon le sexe du bébé) est interdit légalement, cependant il est largement pratiqué, ce qui entraîne un déséquilibre important entre le nombre de filles et de garçons. Selon les statistiques gouvernementales, près de 100’000 femmes et enfants sont victimes de trafic en Chine : on estime que les enfants représentent au moins 10 % de ce chiffre. Les filles victimes de ce trafic, quant à elles, sont le plus souvent exploitées sexuellement, certains parents n’hésitent pas à vendre leurs filles pour avoir une seconde chance d’avoir un garçon. Le but affiché de la Chine est d’offrir une scolarité obligatoire durant neuf ans à chaque enfant. Pourtant, chaque année, des milliers d’enfants abandonnent l’école. Les méthodes chinoises d’enseignement restent très traditionnelles, ce qui n’encourage pas la participation active des écoliers. L’université est très chère, empêchant certains étudiants, dont les familles n’ont pas les moyens de financer leurs études, d’accéder à une formation supérieure. A noter que près de deux tiers des enfants non scolarisés en Chine sont des filles.

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8 En Amérique Étant donné la configuration géographique et économique de l'Amérique Latine, un grand nombre d'enfants sont des travailleurs agricoles, ils aident couramment leurs parents à cultiver les champs (dès cinq ou six ans) et à vendre sur les marchés. Sur tout le continent, des enfants sont présents dans les plantations de canne a sucre, d'hévéas, de tabac ou de café, et dans les grands vergers tournés vers l'exportation. Cela est cependant beaucoup plus souvent le cas pour les garçons que pour les filles. Les enfants de moins de 10 ans peinent dans les mines boliviennes ou colombiennes, qui vendent des cigarettes ou des friandises aux carrefours des rues de Rio de Janeiro, de Lima, de Mexico ou de Caracas, ou qui travaillent dans les campagnes. En Colombie et, plus encore, au Venezuela les filles sont presque toutes employées dans l’industrie manufacturière, tandis qu’entre un quart et la moitié des garçons sont employés dans la construction. Dans le secteur tertiaire, environ les trois quart des enfants travaillent dans le commerce ou l’hôtellerie et le quart restant travaille dans les services aux personnes. Au Brésil, les enfants sont employés dans les fours à charbon de bois, sur des sites disséminés dans la forêt brésilienne. Souvent dans un état de malnutrition avancé, ils sont obligés de travailler 12h par jour. I'UNICEF estime qu'au moins 15 millions d'enfants vivent de façon permanente dans les rues des villes, où ils ont investi toutes sortes de métiers (vendeurs de fruits et de journaux, cireurs de chaussures, laveurs de voitures notamment) et trouvé refuge dans des squats, des sous- sols ou des friches urbaines.

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