Télécharger la présentation
La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez
Publié parChristian Faubert Modifié depuis plus de 9 années
3
Bangkok fait partie des villes aux multiples visages, aux quartiers de personnalités différentes, quelquefois contradictoires… On y retrouve tour à tour l’ultra-moderne et l ’ancien, l’exotique et le banal, le mouvement et le calme. Parfois déconcertante, cette métropole de plus de 5 millions d ’habitants possède beaucoup de séduction, si l ’on prend le temps (et il en faut) pour la découvrir.
4
Avec les colliers, les bracelets fleuris servent principalement à honorer le Bouddha. C ’est pourquoi, en bord de rue, on retrouve souvent des femmes qui les fabriquent merveilleusement. J ’en ai toutefois reçu un en guise de démonstration d ’affection lors d ’une arrivée et d un départ. Dans ce dernier cas, cela me valut des sourires encore plus amicaux de la part des employés de l ’aéroport !
5
Un petit creux ? Facile d ’y remédier en profitant de ce qui est offert à toutes heures au bord de la rue ! Les comptoirs de restauration de rue pullulent, la plupart très rudimentaires. Mais on peut y découvrir des mets de consommation locale, souvent très savoureux.
6
Pour les « pharangs » (les étrangers), un des aspects fascinants du vieux Bangkok est l’importance du commerce de rue. On ne se lasse pas de flâner à travers les étals pour découvrir et s ’approprier, après force marchandages, souvenirs, vêtements ou objets de la vie quotidienne.
7
Dans les rues et ruelles, on a quelquefois du mal à circuler car elles sont transformées en un immense marché, mais surtout à cause des piétons qui s ’y bousculent.
8
Située dans le Bangkok historique, Kao San Road est particulièrement appréciée par les touristes isolés. Elle grouille de vie jusque tard dans la nuit. A proximité s’est d ’ailleurs développé tout un village constitué de sympathiques petits hôtels, restaurants et pensions bon marché. Dans ce quartier, on retrouve toutes les agences indispensables aux routards pour organiser leurs transports au plus bas prix, des services de lavage, des cyber-cafés, etc...
9
Bien que plusieurs aient été comblés pour permettre la circulation automobile, les klongs, petits canaux, sont multiples dans Bangkok. Toute une population vit sur leurs bords, souvent très pauvrement. Le klong est utilisé pour toutes sortes d ’activités : bains, lavage, vaisselle… L ’eau potable, cependant, est apportée dans de grandes jarres de terre.
10
On peut sillonner le principal klong en utilisant de longs bateaux à moteur, très rapides. Il mène jusque dans la campagne et permet d ’observer des aspects différents de la ville. Des petits bateaux plus pittoresques et moins rapides font partie de la vie quotidienne.
11
Dans le quartier du Temple de la Montagne d ’Or, les Thaïs peuvent se procurer toutes les statues et objets nécessaires au culte.
12
Les Thaïs ont un culte très fort pour les Esprits. Il n ’est pas rare de voir une vieille femme qui joint les mains en un geste de prière pour les invoquer devant la demeure qui leur a été ménagée. Elle peut le faire pour tout et rien, tout simplement pour que tout aille bien ! Ces Maisons des Esprits, on préfère, toutefois, les aménager à l ’extérieur au cas où elles seraient visitées par un esprit mauvais...
13
Quelquefois, c ’est un modeste espace qui est aménagé directement à terre.
14
Un autel pour le culte au Bouddha est, toutefois, aménagé dans la plupart des demeures des familles thaïes.
15
En Thaïlande on roule à gauche… Le plus rapide pour les courts trajets est le «Touk-touk », vélomoteur à trois roues équipé d ’un siège à 2 places, couvert pour protéger de la pluie et du soleil. Trois adultes réussissent à y prendre place. Le conducteur brave tous les dangers, faisant demi-tour au milieu d ’une rue et se faufilant à travers les files de voitures. Le coût est extrêmement bas, mais il faut tout de même marchander et s ’entendre avant le départ !
16
Les taxis sont nombreux. On les arrête sur la rue. Ils fonctionnent, en général, sans compteur. Ils peuvent offrir ou non l ’air conditionné. Ceux qui le possèdent demandent un prix plus élevé. Il est nécessaire de s ’entendre sur le prix de la course avant de démarrer, et de marchander !!! De nombreux autobus sillonnent la ville, bondés aux heures de pointe. Souvent, ils peuvent démarrer avec des personnes sur le marchepied… Quelques circuits possèdent des autobus climatisés à l ’extrême. Il existe aussi un métro aérien confortable mais avec peu de lignes.
17
Avec un bateau de la ligne régulière,on peut observer les rives à peu de frais, découvrir des bâtiments anciens de type colonial comme des immeubles très modernes, des temples, le ponton royal, etc. Plus loin, en se dirigeant vers le nord, on découvrira des maisons de style thaï, des habitations fleuries ou des vergers.
18
La nuit, le Chao Praya s ’illumine de mille feux et devient féerique.
19
Ce pont, très élégant, a été inauguré il y a quelques années seulement, pour décongestionner celui qui, aux heures de pointe, devenait très difficile à franchir.
20
Un grand boom immobilier a commencé à la fin des années 50. La ville moderne est farcie de grands immeubles, de passages surélevés. Une circulation démentielle y persiste à toutes heures. 90% des véhicules de la Thaïlande sont immatriculés à Bangkok ! Cette métropole offre tout ce que peut offrir une ville occidentale : centres commerciaux, magasins les plus chics, restaurants en tous genres, services divers, etc...
21
Le State Tower, immeuble récent, est surmonté d ’un restaurant de luxe doté d ’une vue vertigineuse sur la ville.
22
Bangkok conserve les vestiges de quelques remparts. Il reste également deux des sept forts qu’elle comportait au XIX° siècle.
23
Après l ’averse ! Durant la mousson, les fortes averses sont aussi fréquentes que soudaines. En quelques secondes, on se transforme en borne-fontaine...
24
Bangkok et la Thaïlande sont fascinantes, mais maintenant, impossible d ’y songer sans évoquer la catastrophe du 26 décembre 2004, impossible de ne pas évoquer le petit paradis découvert à Kao Lake et dont il ne reste rien… Impossible de ne pas rappeler ici le dévouement de ceux qui, ayant tout perdu, venaient encore en aide aux touristes désemparés… Impossible de ne pas saluer le courage de ce peuple qui s ’attaque résolument à la reconstruction, malgré sa peine, malgré ses deuils… A Koh Lanta, île moins éprouvée, rapidement on a fait savoir sur Internet que l ’on était prêts à recevoir à nouveau les touristes. Est-ce que notre ami le jeune Sayan, qui déployait des trésors d’imagination et d’habileté pour rendre plus accueillant le petit bar qu ’il exploitait dans une paillote sur la plage aura, lui aussi, le courage et la possibilité de tout reconstruire ?
25
Texte : Mari-Jo Farizy-Chaussé Photos : Marie-Jo et Pascale Chaussé Musique : flûte, méditation Montage : Jacky Questel
Présentations similaires
© 2024 SlidePlayer.fr Inc.
All rights reserved.