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QCM- 1 Pour l’anthropologie

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Présentation au sujet: "QCM- 1 Pour l’anthropologie"— Transcription de la présentation:

1 QCM- 1 Pour l’anthropologie
A : En France, la préférence actuelle est d’utiliser le terme général « ethnologie », plutôt qu’anthropologie. B : Selon la définition de C. Lévi-Strauss, une société est un « Groupe d’êtres humains pourvus de la capacité à auto-reproduire leur existence collective, en fonction d’un système de normes et de règles pour l’action, et dont la durée de vie excède celle de chacun des individus qui constitue cette société » C : A. de Broca, anthropologue, a étudié la construction sociale du handicap. D : La culture trouve des expressions spécifiques selon les sociétés. Mais elle est partout présente. E : La socialisation est un processus social, qui par conséquent n’est pas individuel.

2 QCM 2. Questions diverses :
A :Une société existe en tant qu’un ensemble d’associations d’individus en interaction, dans la perspective développée par Simmel, ou Weber. B : Dans les sociétés dites traditionnelles, une maladie peut donner lieu à une prise en charge empirique ou rituelle. C : Les rites de passage ont une forme parfois binaire, parfois ternaire. D : Selon A. Van Gennep, la phase liminaire d’un rite de passage constitue un temps « sacré ». E : Le passage est un rite d’initiation.

3 QCM 3 Sur la maladie A : On peut comparer la période de traitement par dialyse à la phase liminaire d’un rite de passage. B : On peut comparer la période de transplantation à la phase post-liminaire d’un rite de passage. C : On peut appeler « rituels conjuratoire », des rituels pour éviter quelque chose de douloureux ou s’en débarrasser. D : Le traitement par hémodialyse peut s’apparenter pour certains malades à une expérience de maladie. L’anthropologue va devoir modifier cette représentation. E :Une maladie pour les individus, passe par le filtre des représentations pour devenir leur réalité.

4 QCM 4. Sur les auteurs A : Selon Marcel Mauss, dans les « techniques du corps » il y a de l’apprentissage et de la tradition. B : M. Mauss, Van Gennep, P. Bourdieu : tous étudient un ordre social incorporé. C : S. Fainzang a étudié la circulation de l’information entre malades, pour construire du savoir profane. D : Selon S. Fainzang, la maladie est une réalité multidimentionnelle. E : Selon C. Lévi-Strauss, les anthropologues ont analysé un modèle type d’itinéraires thérapeutiques.

5 QCM 5 : Questions diverses
A- Le précodage symbolique est un registre professionnel et profane d’explication possible d’une maladie. B- Le précodage symbolique est un registre professionnel et profane d’explication possible d’une maladie, selon Evans-Pritchard. C- La recherche de sens face à la maladie ou son diagnostic comporte au plus 4 opérations et questions qui leur correspondent, selon A. Zempléni. D-S. Fainzang a travaillé sur la relation médecin malade pour montrer ses représentations et logiques sous-jacentes. E-IL y a 3 modèles principaux de relations professionnels-patients sur les 30 dernières années : Modèle paternaliste / Modèle de la décision partagée/ Modèle de la décision informée.

6 QCM 6. Questions diverses
A : Le « précodage symbolique » est un registre non professionnel d’interprétation d’une maladie. B : C. Lévi-Strauss a conduit des recherches sur les relations médecins malades. C : A. Zempléni a conduit des recherches sur l’alimentation. D : Dans la relation médecin malade, la pratique du mensonge peut faire sens pour les médecins et les malades. E : Le patient éclairé et informé n’est pas toujours pensé comme tel au cours de l’exercice des soignants, c’est ce qu’explique P. Erny.

7 QCM 7 :Questions diverses :
A : On peut penser que la socialisation professionnelle des médecins influe sur leurs représentations du corps. B- Les anthropologues analysent le vécu des individus, parfois malades, parfois pas, en évaluant son objectivité ou sa subjectivité. C- On peut penser que la socialisation professionnelle des médecins influe sur leurs représentations du risque. D- Les anthropologues analysent des expériences individuelles et collectives. E- La représentation est un reflet du réel.

8 QCM 8. Questions diverses
A : Pour l’anthropologie, il s’agit de comprendre les sociétés du point de vue des structures et des acteurs qui la composent. B : Une norme s’inscrit dans le registre de l’immatériel mais peut engendrer des conséquences concrètes. Notons qu’il n’existe de normes que pour certains domaines particuliers. C : Les représentations sociales sont des connaissances pratiques. Ce sont des processus mentaux essentiels dans nos vies. D : Le principal objectif de l’anthropologie est de faire des entretiens et des observations. E : Pratiquer l’empathie, c’est chercher à comprendre des pensées, des pratiques, des croyances, sans pour autant y adhérer.

9 9 Sur le diagnostic de la maladie selon les cultures :
A- La question « quelle maladie » renvoie à la recherche de symptômes, dans des terminologies courantes pour la biomédecine. B- Rechercher l’agent, c’est rechercher la cause ultime C- Rechercher la cause immédiate, c’est rechercher les événements. D- Rechercher la cause, c’est rechercher la cause instrumentale ou immédiate. E- Rechercher l’origine d’une maladie correspond à la recherche des événements qui l’ont produite, dans les médecines « traditionnelles ».

10 QCM 10 : Sur les itinéraires thérapeutiques
A : En anthropologie nous cherchons à reconstituer autour d’une pathologie, les éléments structurels, conjoncturels, matériels et immatériels qui la façonnent. B : Conceptions endogènes et exogènes sont des modèles étiologiques d’explication d’une maladie. C : Le registre des conceptions endogènes contient des représentations, pas le registre des conceptions exogènes, basé sur le savoir médical. D : Dans la recherche d’une cause à une maladie, la recherche du pourquoi correspond à la recherche de la cause efficiente. E : La question « qui ou quoi a produit la maladie », renvoie à la recherche de l’agent.

11 QCM 11 : Sur la maladie A : Le classement d’une affection comme maladie est propre à chaque culture. B : Le social intervient essentiellement dans la séquence 2 d’un itinéraire thérapeutique : une fois le problème qualifié, il faut lui donner un sens. C : Illness concerne le savoir d’un individu sur une maladie. D : Sickness concerne le savoir collectif sur une maladie. E : Disease fait appel, dans sa construction professionnelle, au savoir du médecin.

12 QCM 12 : Questions diverses :
A : Sickness et illness s’articulent toujours quand un individu construit une représentation. B : Les grands cadres d’une société sont d’abord individuels avant de devenir collectifs. C : Un rite de passage est structuré en 3 temps. D : F. Laplantine a parlé d’excroissance monstrueuse de la pensée pour définir le vécu d’une maladie et ses causes. E : Le malade est toujours doté d’autonomie ; ses représentations en attestent, selon les anthropologues.

13 QCM 13 : Questions diverses
A : Une société est toujours étayée par des processus de socialisation, qu’ils soient formels ou informels. B : On peut dire que les représentations sociales sont une manière d’interpréter un phénomène (un comportement, une réalité quotidienne etc.), et cette manière de faire est commune à tous les individus. C : Les travaux de F. Laplantine ont permis de modéliser le processus de fabrication d’un médecin en 4 moments principaux. D : Les normes, les valeurs, les rôles sont acquis, ils sont le fruit d’un apprentissage non formel, qui se fait au travers de nos relations aux autres. E : Le rite de séparation est la 1ère phase d’un rituel.

14 QCM 14 : Sur les rituels A : Le rite de séparation est un rite post-liminaire. B : Le rite de marge est aussi appelé rite liminaire. C : Le rite d’agrégation est aussi appelé rite post-liminaire. D : Le rite pré-liminaire correspond au rite d’agrégation. E : Le rite d’initiation correspond au vécu de l’hémodialyse.

15 QCM 15 : Questions diverses
A : Nous parlons de cultures au pluriel pour définir les formes particulières, singulières d’une culture, dans un pays particulier. B : A travers les représentations sociales, chaque être humain vivant en société va intégrer une part de ce qu’il vit pour en faire quelque chose qui lui appartient, qui constitue sa réalité. C : Pour créer cette réalité, on a besoin de notre histoire personnelle, ainsi que des savoirs et des croyances que nous apporte notre environnement social. D : Ce sont nos valeurs qui nous permettent de définir la valeur que nous accordons à chaque acte du quotidien. E : Les symboles sont très présents dans tous les rites.

16 16 Sur la dialyse et les rites
A : Le débranchement de la personne dialysée, après le temps de la dialyse, peut s’apparenter à la phase de réintégration d’un rite, soit la deuxième phase. B : On peut dire qu’un rite de passage constitue une manipulation symbolique du temps. C : Ritualiser un comportement signifie, notamment, lui donner toujours les mêmes formes et un même déroulement. D : Le rite d’initiation, qui concerne le vécu d’une maladie, implique toujours l’idée de rupture. E : P. Erny a produit des recherches sur les rites et les mythes.

17 17 Sur la maladie A : Le fait de ressentir la dialyse comme « la » maladie, et non l’insuffisance rénale, est lié à l’aspect « illness » du vécu d’un problème de santé . B : Dans les représentations individuelles, l’insuffisance rénale terminale est abstraite. C : L’hémodialyse et la transplantation rénale sont notamment liées par le fait qu’elles sont le support de représentations individuelles et collectives. D : Les critères médicaux qui permettent de définir les limites entre normal et pathologique peuvent être perturbés par des représentations individuelles. E : C’est la relation sujet pensant-maladie qui détermine ce qu’est l’IRC pour chacun de nous.

18 18 Sur la relation médecin malade :
A : La relation médecin malade est toujours asymétrique compte tenu de la distribution des savoirs, même lorsqu’il y a de l’empathie. B : L’hémodialyse Routine, Fardeau, Rite sont des manières de vivre ce phénomène, mais pas de se le représenter. C : Le traitement par hémodialyse est toujours assimilé par un patient à « la » maladie. D : Médecines « modernes » et « traditionnelles » reposent sur l’acquisition de savoirs, hérités ou acquis. E : A. de Broca a analysé les tensions possibles entre « savoir » et « croire ».

19 19 Sur l’empathie : A : Pratiquer l’empathie dans la relation de soin, c’est se mettre en situation de compréhension du vécu du malade. B : L’empathie est une forme de relation et un concept. C : L’empathie n’implique pas une forme de confusion entre soi-même et l’autre. D : Une caractéristique secondaire de l’empathie réside dans la distinction entre soi et l’autre, en parallèle avec l’expérience d’un partage affectif, explique J. Decety. E : En médecine, la distanciation est une finalité.

20 20 Questions diverses A : La mise à distance est une modalité positive de l’empathie. B : Sur le diagnostic de la maladie, rechercher les forces actives correspondent à la recherche de la cause efficiente. C : En anthropologie, le corps est considéré comme un reflet du fonctionnement culturel, social, politique des sociétés. Il est aussi considéré comme un vecteur de ces processus sociaux. D : Les expériences de la maladie sont en partie normées par les attitudes des professionnels de santé. Elles peuvent donc être analysées sous l’angle de leur part sociale et de leur part individuelle. E : Une anthropologie compréhensive porte attention à l’interprétation du chercheur sur des phénomènes sociaux.


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