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© Nicole Charest / Janvier 2009
À TRAVERS LE DEUIL, LA VIE... Cliquez pour avancer… © Nicole Charest / Janvier 2009
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celles qui, tout simplement, désirent apprivoiser ce qui se passe
Ce diaporama, unique en son genre, a été conçu afin d’apporter espoir et réconfort à toutes les personnes touchées par le décès d’un être cher ou encore à celles qui, tout simplement, désirent apprivoiser ce qui se passe sur l’autre versant des cimes, derrière les étoiles... Cliquez pour avancer… © Nicole Charest / Janvier 2009
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Mourir, ce n’est pas finir…
…c’est continuer autrement. Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit, c’est un immortel qui commence. La tombe est un berceau et le dernier soir de notre vie temporelle est le premier matin de notre éternité. La mort, ce n’est pas une chute dans le noir, c’est une montée dans la lumière. Quand on a la vie, ce ne peut être que pour toujours. La mort ne peut tuer ce qui ne meurt pas. Or, notre âme est immortelle et il n’y a qu’une chose qui puisse justifier la mort, c’est l’immortalité. Mourir au fond, c’est peut-être aussi beau que naître. « Le soleil couchant n’est-il pas aussi beau que le soleil levant ? Un bateau qui arrive à bon port, n’est-ce pas un événement heureux ? » Et si naître n’est qu’une façon douloureuse d’accéder au bonheur de la vie, pourquoi mourir ne serait-il pas qu’une façon douloureuse de devenir heureux ? — Doris Lussier © Nicole Charest /
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Ce que la chenille appelle la mort, le Maître l’appelle un papillon.
© Nicole Charest /
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© Nicole Charest / www.lapetitedouceur.org
La fourchette Il était une fois une jeune femme atteinte d’une maladie mortelle. Elle demanda donc à un prêtre de venir la voir afin de régler les détails de ses funérailles. Lorsque celui-ci s’apprêtait à partir, la jeune femme se souvint soudainement de quelque chose de très important pour elle. « J’aimerais vous préciser une autre de mes dernières volontés, dit-elle tout excitée. Je veux être enterrée avec une fourchette dans ma main droite. Cela vous surprend, n’est-ce-pas ? demanda la jeune femme. — Votre requête me laisse perplexe », dit le prêtre. La jeune femme expliqua alors : « Durant toutes mes années de participation aux repas lors d’événements sociaux, je me souviens que quelqu’un se penchait inévitablement pour me dire : “Gardez votre fourchette”. C’était mon moment préféré, car je savais que quelque chose de mieux s’en venait... comme du gâteau mousse au chocolat ou une tarte aux pommes. (…suite) © Nicole Charest /
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« Quand les gens me verront dans mon cercueil avec une fourchette à la main, je veux simplement qu’ils se demandent : “Pourquoi cette fourchette ?” et ainsi vous pourrez leur dire : “Gardez votre fourchette... le meilleur est à venir !” » Les yeux du prêtre se remplirent de larmes de joie; il savait que cette jeune femme avait une bien meilleure idée du paradis que lui, elle savait que quelque chose de mieux s’en venait. Aux funérailles, les gens défilaient devant la tombe de la jeune femme et voyaient la fourchette dans sa main droite. Tour à tour, ils demandaient au pasteur : « Pourquoi la fourchette ? » Et chaque fois, le prêtre souriait. Au moment du sermon, il leur raconta l’histoire de cette fameuse fourchette... © Nicole Charest /
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Il faut comprendre la mort
pour ne pas laisser de place à la tristesse. © Nicole Charest /
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La mort, c’est cela ! Je suis debout au bord de la plage. Un voilier passe dans la brise du matin et défile vers l’océan. Il est la beauté, il est la vie. Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse à l’horizon. Quelqu’un à mes côtés me dit : « Il est parti. — Parti vers où ? — Il n’est tout simplement plus présent à mon regard, c’est tout ! Son mât est toujours aussi haut. Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine. Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui. Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : “Il est parti !”, il y en a d’autres qui, le voyant poindre à l’horizon et venir vers eux, s’exclament avec joie : “Le voilà !”. C’est ça, la mort... » — William Blake © Nicole Charest /
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Car la vie et la mort sont un, comme le fleuve et l'océan.
Khalil Gibran © Nicole Charest /
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La chaise vide La fille d’un homme gravement malade demanda au pasteur de sa localité de venir prier avec son père mourant. Lorsque le pasteur arriva, il trouva l’homme étendu sur son lit, une chaise vide tout près de lui. Le pasteur, présumant que le vieil homme attendait sa visite, dit alors : « Vous m’attendiez ? — Mais non! Qui êtes-vous ? » Le pasteur se présenta donc puis lui fit cette remarque : « J’ai vu la chaise vide, alors j’en ai déduit que vous saviez que j’allais venir ! — Ah oui… la chaise. Je n’en ai guère parlé jusqu’ici, dit l’homme, mais durant toute ma vie, je n’ai jamais su comment prier. À l’église, quand le pasteur parlait de la prière, cela m’entrait par une oreille et me sortait par l’autre. Puis un beau jour, mon meilleur ami m’a dit : (…suite) © Nicole Charest /
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« Jean, je t’assure que la prière n’a rien de compliqué, c’est simplement une question de conversation avec Dieu. Mets une chaise vide en face de toi, et dans la foi, vois Dieu assis sur la chaise. Souviens-toi qu’Il nous a fait cette promesse : « Je serai toujours avec vous. Puis parle-Lui avec ton cœur comme tu le fais avec moi en ce moment. » Alors, j’ai essayé et j’ai tellement aimé ça que je Lui parle désormais quelques heures chaque jour. S’il fallait que ma fille me voie... » Le pasteur, touché par cette histoire, encouragea le vieil homme à continuer sa relation toute simple avec Dieu. Il pria avec lui, prit soin d’oindre son front d’huile et retourna à l’église. Deux jours plus tard, la fille du vieil homme appela le pasteur et l’informa que son père était mort au cours de l’après-midi. (…suite) © Nicole Charest /
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« Est-il mort en paix ? s’enquerra-t-il. — Oui, enfin je crois... Lorsque je suis revenue à la maison, je l’ai retrouvé gisant là, la tête appuyée sur la chaise près de son lit. Il avait rendu l’âme. Que pensez-vous de cela ? » Le pasteur essuya furtivement une larme et dit : « J’aimerais tant que nous puissions tous quitter ce monde d’aussi belle manière. » © Nicole Charest /
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non seulement la mort n’a plus de sens,
Sans l’espérance, non seulement la mort n’a plus de sens, mais la vie non plus n’en a pas. Doris Lussier © Nicole Charest /
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La mort n'est rien La mort n'est rien,
je suis seulement passé dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné, parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. (…suite) © Nicole Charest /
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Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin et vous voyez, tout est bien. Charles Péguy © Nicole Charest /
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J'aurai l'air d'être mort mais ça ne sera pas vrai.
Antoine de Saint-Exupéry © Nicole Charest /
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Les deux fils Un sage homme vivait heureux avec son épouse admirable et deux fils chéris. Un jour, il entreprit un long voyage et durant son absence, un grave accident provoqua la mort de ses deux fils tant aimés. La mère sentait son cœur lourd de douleur. Toutefois, étant une femme forte et croyante, elle surmonta le drame avec courage. Elle avait cependant une grande préoccupation à l'esprit : Comment annoncer la triste nouvelle à son mari, lui qui avait le cœur si fragile? Elle pria afin d’être éclairée. Son mari rentra enfin de voyage et s’empressa de prendre des nouvelles de ses deux fils. L'épouse, embarrassée, lui répondit : « Laisse les garçons. Avant je voudrais que tu m'aides à résoudre un problème très important. — Alors, parle, lui dit le sage homme. (…suite) © Nicole Charest /
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— Pendant ton absence, un ami est passé nous rendre visite et nous a laissé en garde deux bijoux d'une valeur inestimable, mais ces bijoux sont si merveilleux que je m'y suis attachée et je n'ai pas très envie de les lui rendre. Qu'en penses-tu? » Le mari lui répondit : « Je ne comprends pas. Tu n'as jamais été attirée par l'apparat, et quand bien même tu le serais, ces bijoux ne t'appartiennent pas et tu dois les rendre. — Mais je ne peux me résigner à les perdre, répondit l'épouse. » Le mari lui rétorqua : « On ne peut pas perdre ce que l'on n'a jamais possédé. Tu vas rendre ces bijoux aujourd'hui même. » Sa femme lui répondit : « Très bien, mon époux. Les deux merveilleux bijoux seront rendus à Celui qui nous les avait confiés. En vérité, c'est déjà fait, car ces bijoux inestimables étaient nos deux fils tant aimés, que Dieu a rappelés à Lui. » Le sage homme comprit le message, enlaça sa femme et sans désespoir ni révolte, ils laissèrent couler leurs larmes. © Nicole Charest /
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Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont les fils et les filles
de l’appel de la Vie à elle-même. Khalil Gibran © Nicole Charest /
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Il faut vouloir survivre
La mort des êtres chers, c’est un cyclone qui vous aspire, dans lequel vous pouvez vous laisser entraîner et vous y noyer. Il faut s’éloigner du cyclone. Il faut vouloir survivre. Et c’est en soi, seulement en soi et par soi, qu’on peut décider de vaincre le désespoir de la mort. Par l’action et la pensée, il faut construire, des barrages contre ce désespoir, puis se tourner vers les autres, vers la vie... Être fidèle à ceux qui sont morts, ce n’est pas s’enfermer dans sa douleur. Il faut continuer de semer ses rêves, de creuser son sillon droit et profond, comme ils l’auraient fait eux-mêmes. Ou comme nous l’aurions fait avec eux et pour eux. Être fidèle à ceux qui sont morts, c’est vivre comme ils auraient vécu. Et les faire vivre en nous. — Martin Gray. Le livre de la vie © Nicole Charest /
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Est-ce rester fidèle aux siens que de vivre replié sur le malheur ?
Martin Gray © Nicole Charest /
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Les bons souvenirs des gens
Dans la forêt, les arbres sont silencieux. Le roi est venu s’y réfugier, il pleure seul. La reine n’est plus. Combien d’occasions de bonheur manquées ? Il pense à la reine, il la voit, là dans le château, toute souriante dans sa « berçante » mais la culpabilité, la tristesse et les regrets l’envahissent. Il pense tellement qu’il lui semble entendre la reine parler d’une voix d’ange : « La vie qu’il me reste, elle est en toi, dans ton cœur, dans celui de nos enfants et de nos amis. Sache faire de cette vie une longue suite de moments heureux. Ne te fais pas un reproche de ce qui aurait pu être. Que je sois un réconfort pour toi et non pas l’occasion de mille regrets et de tristesse, c’est ce qui me rend heureuse. Garde-moi une pièce dans ton château et viens m’y visiter parfois. Viens chercher conseil dans l’adversité. Laisse-moi goûter de petites parts de tes bonheurs. C’est ainsi qu’à travers toi, continuera de se construire ma vie. » — Patrick Gauthier. Réflexions sur le bonheur © Nicole Charest /
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Une personne chère ne nous quitte jamais.
Elle vit au plus profond de notre cœur et pour la revoir, il suffit de fermer les yeux ! Josée Jacques © Nicole Charest /
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Regrettez mon absence mais laissez-moi partir…
Je suis rendu au bout du voyage et le soleil pour moi s’est couché. Je ne veux pas d’un rituel sombre et funèbre. Pourquoi pleurer une âme libérée ? Regrettez mon absence un peu, mais pas trop longtemps... Et ne laissez pas la souffrance vous accabler. Souvenez-vous de l’amour que nous avons partagé. Regrettez mon absence, mais laissez-moi partir... Car c’est un voyage que tous nous devons faire et que chacun doit accomplir en solitaire. Il fait partie du chemin que Dieu nous a tracé et nous conduit en sa bienheureuse maisonnée. Quand vous souffrirez de solitude et de mélancolie, tournez-vous vers vos proches, vos amis et oubliez votre chagrin en faisant du bien... © Nicole Charest /
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Tout ce que nous n’avons pu exprimer avant la mort
d’un être cher peut toujours l’être après : que ce soit notre amour, notre gratitude, de même que nos regrets et nos chagrins. Josée Jacques — Les saisons du deuil © Nicole Charest /
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Trouver l’espoir face à la mort
« Le deuil est certainement une des crises les plus importantes de la vie à laquelle nous devons faire face, une expérience qui peut se révéler aussi intense sur le plan émotionnel que le fait même de mourir. Plus que toute autre chose, nous avons besoin d’amis capables de nous apporter leur compréhension, leur amour et leur soutien pour surmonter cette « mort de la vie » et aller jusqu’au bout de notre chagrin. » « Le chagrin est une blessure qui demande de l’attention pour guérir. Nous devons affronter nos émotions dans un esprit d’ouverture et d’honnêteté, les exprimer, les libérer totalement et les accepter, quel que soit le temps dont notre blessure aura besoin pour guérir. » « J’ai appris trois choses qui peuvent nous aider à traverser une telle « nuit obscure de l’âme » : trouver un point d’ancrage – au moins un souvenir d’amour auquel nous relier sans cesse; avoir l’humilité et le courage de demander de l’aide autour de nous; et prier pour recevoir la grâce. » — Christine Longaker. Trouver l'espoir face à la mort © Nicole Charest /
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qui nous remettent sur pieds
Les amis sont des anges qui nous remettent sur pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler. © Nicole Charest /
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© Nicole Charest / www.lapetitedouceur.org
Imaginez-vous… Imaginez-vous qu’un ange est à vos côtés en ce moment… Silence... Soyez calme et pensez à tout ce qui vous angoisse, vous fait pleurer, vous oppresse, vous inquiète. Imaginez-vous maintenant lui présentant ce fardeau très lourd afin qu’il aille le porter vers votre Dieu. Maintenant, pensez à toutes les belles et bonnes choses que vous désirez ou qui sont déjà arrivées dans votre vie : ces merveilleux moments de joie, d’amitié, d’affection, de paix, d’amour… Placez tout cela, en esprit, dans vos mains et faites le geste de tout ramener dans votre cœur, comme si vous vouliez garder un bijou dans un écrin. Placez ce trésor au plus profond de vous-même et rendez grâce à la Vie de tout votre cœur. Soyez reconnaissant pour tout ce qu’il y a d’heureux dans votre vie, ainsi que pour toutes les souffrances qui, maintenant, se sont envolées... © Nicole Charest /
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On n’oublie jamais la personne décédée.
Toutefois, il arrive un jour où on peut penser à elle et l’aimer sans souffrir. Josée Jacques © Nicole Charest /
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La mort n'est pas la perte la plus tragique dans la vie.
La perte la plus tragique, c’est ce qui meurt en nous alors que nous sommes encore vivants. Norman Cousins Lorsqu’une des portes du bonheur se ferme, une autre s’ouvre; mais souvent, nous passons tellement de temps à regarder la porte fermée que nous ne voyons pas celle qui vient de s’ouvrir. Helen Keller Demain ne sera pas comme hier. Il sera nouveau et il dépendra de nous. Gaston Berger © Nicole Charest /
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La souffrance est un périple qui a une fin.
Vous vous en sortirez. La souffrance est un périple qui a une fin. Josée Jacques © Nicole Charest /
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