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Aménagement écosystémique des forêts
Marc Leblanc, ing.f., M.Sc. Mathieu Bouchard, ing.f. Ph.D. Direction de l’environnement et de la protection des forêts Formation PAFI 26 octobre 2010
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Cette présentation aborde la démarche, les grands axes de solutions, les principes pour fixer des cibles et les lignes directrices (structure d’âge et répartition spatiale) Démarche Grands axes Cibles Lignes directrices
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Dans quelle démarche s’inscrit la mise en œuvre de l’aménagement écosystémique ?
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Appliquer une démarche d’aménagiste dans une approche par enjeux et solutions
Définir un état de référence : la forêt (jugée) naturelle Procéder à une analyse d’écart entre la forêt naturelle et la forêt aménagée Décrire les enjeux écologiques du territoire
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Appliquer une démarche d’aménagiste dans une approche par enjeux et solutions
En synergie et complémentarité avec les autres enjeux territoriaux (sociaux et économiques) Fixer des objectifs en vue de réduire les écarts pour chacun des enjeux Établir un plan d’action en conséquence Choix de conservation Répartition spatio-temporelle Actions sylvicoles
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Pourquoi une approche par enjeux et solutions ?
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L’approche par enjeux et solutions
Aménagement écosystémique Mise en œuvre dans un contexte de gestion intégrée des ressources et du territoire Nécessite une approche qui facilite la concertation sociale Simplifie la discussion sur des problèmes potentiellement complexes Facilite l’adhésion et la mobilisation des partenaires
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L’approche par enjeux et solutions
Permet une souplesse pour le développement de solutions novatrices adaptées au contexte du territoire et acceptables par les partenaires Facilite une gestion par objectifs et résultats Tous les enjeux peuvent être abordés simultanément dans la recherche de solutions
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Une démarche régionalisée
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Une démarche régionalisée
Par définition, l’aménagement écosystémique ne peut être uniforme. Il sera modulé régionalement et localement ; Les principaux enjeux écologiques (écarts) sont connus et globalement bien documentés ; Leur manifestation régionale et locale doit être précisée afin de moduler adéquatement les solutions à déployer.
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Une démarche régionalisée
Compréhension globale des enjeux Littérature scientifique et avis d’experts
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Principaux enjeux écologiques retenus dans la SADF
1) Structure d’âge des forêts (raréfaction des vieilles forêts et surabondance des stades de régénération) ; 2) Modification de l’organisation spatiale des forêts ; 3) Changement de composition végétale (raréfaction ou prolifération) ;
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Principaux enjeux écologiques retenus dans la SADF (suite)
4) Simplification ou homogénéisation de la structure interne des peuplements forestiers ; 5) Raréfaction de certaines formes de bois mort ; 6) Altération des fonctions écologiques des milieux humides et riverains.
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Une démarche régionalisée
Compréhension globale des enjeux Littérature scientifique et avis d’experts Description régionale PRDIRT Littérature scientifique et avis d’experts (régionaux) Analyses de situation (cartographique, inventaire, etc.) Savoir régional
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Une démarche régionalisée
Compréhension globale des enjeux Littérature scientifique et avis d’experts Description régionale PRDIRT Littérature scientifique et avis d’experts (régionaux) Analyses de situation (cartographique, inventaire, etc.) Savoir régional et local Analyse locale PAFI
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Une démarche régionalisée… de gestion participative
Sensibiliser les acteurs régionaux et locaux aux enjeux écologiques ; Faciliter l’intégration des connaissances régionales et locales ; Cultiver l’adhésion des partenaires et bâtir les consensus.
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La stratégie d’aménagement durable des forêts (SADF)
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La SADF Défi sur la durabilité des écosystèmes Orientation 1 :
Aménager les forêts de manière à conserver les principaux attributs des forêts naturelles
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La SADF Trois objectifs en découlent…
Objectif 1 : Intégrer dans les PAFI une analyse locale des enjeux écologiques et des actions qui chercheront à y répondre de façon adéquate Objectif 2 : Faire en sorte que la structure d’âge des forêts aménagées s’apparente à celles qui existent dans la forêt naturelle Objectif 3 : Appliquer un modèle de répartition des interventions forestières qui s’inspire de la forêt
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… et le processus PAFI Activité 2.2 (Documenter les écarts entre la forêt naturelle et la forêt actuelle) Enjeux liés à la structure d’âge Enjeux liés à l’organisation spatiale des forêts dans la pessière Enjeux liés à la composition végétale Enjeux liés à la structure interne des peuplements et au bois mort Enjeux liés aux milieux humides et riverains Enjeux liés aux espèces nécessitant une attention particulière
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… et le processus PAFI Activité 2.2 (Documenter les écarts entre la forêt naturelle et la forêt actuelle) Enjeux liés à la structure d’âge Enjeux liés à l’organisation spatiale des forêts dans la pessière Enjeux liés à la composition végétale Enjeux liés à la structure interne des peuplements et au bois mort Enjeux liés aux milieux humides et riverains Enjeux liés aux espèces nécessitant une attention particulière
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… et le processus PAFI Activité 2.2 (Documenter les écarts entre la forêt naturelle et la forêt actuelle) Enjeux liés à la structure d’âge Enjeux liés à l’organisation spatiale des forêts dans la pessière Enjeux liés à la composition végétale Enjeux liés à la structure interne des peuplements et au bois mort Enjeux liés aux milieux humides et riverains Enjeux liés aux espèces nécessitant une attention particulière Diagnostics dirigés en vue de l’élaboration de solutions
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… et le processus PAFI Activité 6.1 (Identifier des solutions pour les enjeux) Production de la partie II du document : Intégration des enjeux écologiques dans les PAFI - Solutions aux enjeux
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L’objet de la partie II - Solutions aux enjeux
Fournir aux aménagistes des pistes de solutions, dans une démarche structurée, pour répondre aux enjeux écologiques dans les stratégies d’aménagement Trois types d’orientations : L’approche règlementaire Les lignes directrices Les recommandations sur l’aménagement
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Types d’orientations L’approche règlementaire (RADF)
Instructions précises et généralement restreintes à des aspects précis. L’application est obligatoire (passible de poursuites pénales), peu de marge de manœuvre d’adaptation locale. Les lignes directrices Instructions détaillées, leur application est obligatoire, mais les praticiens disposent d’une marge de manœuvre pour adapter les modalités à la réalité locale. Les recommandations sur l’aménagement Il s’agit de suggestions de bonnes pratiques qui sont généralement reconnues pour leur efficacité. Leur application n’est pas obligatoire. Il revient aux aménagistes locaux d’adapter les suggestions à leur contexte propre.
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Les grands axes de solutions
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Grands axes de solutions
Les forêts de conservation Portions de territoire inaccessibles Portions de territoire où la récolte est exclue (ex.: aires protégées, refuges biologiques, EFE, etc.) Permettent aux processus écologiques d’opérer librement Les attributs naturels peuvent se créer avec le temps Remplacement d’espèces dans le temps (succession) Complexification de la structure interne Création de bois mort (de forte dimension) à divers stades de décomposition
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Grands axes de solutions
Le rôle de l’aménagiste face aux forêts de conservation : Dans certains cas, effectuer des choix de conservation pour prendre en compte certains enjeux Être attentif aux occasions de synergie et de complémentarité des actions
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Grands axes de solutions
L’allongement des révolutions Consiste à retarder la récolte d’un peuplement où d’une strate pendant un certain temps afin de : Favoriser le développement d’attributs de vieilles forêts Structure plus complexe Bois mort Tiges de plus gros diamètre Vétérans, etc Favoriser une régénération en essences désirées
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Grands axes de solutions
Les actions sylvicoles Permettent d’influencer le maintien ou le développement de certains attributs des forêts naturelles Composition Structure interne Bois mort Les principales familles Coupes partielles Coupes à rétention variable
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Grands axes de solutions
Philippe Meek, FPInnovations Grands axes de solutions Famille des coupes partielles Coupes progressives régulières et irrégulières, éclaircie commerciale, jardinage Permettent de récolter un volume (gestion active de la production ligneuse) tout en : Maintenant un couvert forestier partiel Favorisant le développement ou le maintien d’attributs de vieilles forêts Gérant la composition (conduite des peuplements et régénération naturelle) Répondant à plusieurs enjeux d’utilisation du territoire (habitats fauniques, qualité visuelle des paysages, etc.)
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Grands axes de solutions
Philippe Meek, FPInnovations Grands axes de solutions Depuis quelques années, des essais opérationnels sont réalisés dans plusieurs régions Pour , on peut s’attendre à une augmentation significative des superficies à réaliser
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Grands axes de solutions
Jacques Duval, MRNF Grands axes de solutions Coupes à rétention variable Famille des coupes totales dans lesquelles sont laissés des legs biologiques pour toute la durée de vie du prochain peuplement Quantité et forme variable (dispersée, regroupée ou les deux) Les legs jouent des rôles écologiques : Refuges et foyers de recolonisation Complexité structurale (irrégularité dans le nouveau peuplement et recrutement de bois mort) Connectivité dans le paysage
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Grands axes de solutions
Jacques Duval, MRNF Grands axes de solutions L’OPMV sur le bois mort et les dérogations à la CMO (pessière) ont permis de se familiariser suffisamment avec la rétention variable depuis quelques années Une application opérationnelle à plus large échelle est envisagée pour
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Un concept à ne pas négliger…
La restauration écologique Dans les territoires fortement altérés, vise à recréer, dans le temps, certains attributs de la forêt naturelle Initier des actions immédiatement Se rapprocher des limites de variation naturelle Doit se faire sur un horizon de temps réaliste sur les plans économique et social (en concertation avec les partenaires du territoire)
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Comment fixer des cibles dans les stratégies d’aménagement ?
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Concept de base Réduire les écarts entre la forêt aménagée et la forêt naturelle …. …en maintenant les écosystèmes à l’intérieur de leurs limites de variabilité naturelle
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Concept de base Variabilité naturelle
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Contraintes actuelles à l’application intégrale du concept
L’étendue de la variabilité naturelle n’est pas encore connue ; Nous connaissons assez bien les moyennes historiques de structure d’âge Nos connaissances sur leur variabilité historique sont encore fragmentaires (ex : Cyr et al, 2009)
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Fréquence des feux depuis 7650 BP en Abitibi
(Cyr et al Frontier in Ecology)
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Les vieilles forêts abondantes durant tout l’Holocène
Conditions récentes en dehors de la variabilité naturelle
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Contraintes actuelles à l’application intégrale du concept
L’étendue de la variabilité naturelle n’est pas encore connue ; Nous connaissons assez bien les moyennes historiques probables de structure d’âge ; Nos connaissances sur leur variabilité historique sont encore fragmentaires (ex : Cyr et al, 2009) Elles confirment les principes établis, mais ne peuvent pas encore directement servir à l’établissement de cibles
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Contraintes actuelles à l’application intégrale du concept
L’étendue de la variabilité naturelle n’est pas encore connue ; Nous connaissons assez bien les moyennes historiques probables de structure d’âge ; Nos connaissances sur leur variabilité historique sont encore fragmentaires (Cyr et al, 2009) Elles confirment les principes établis, mais ne peuvent pas encore directement servir à l’établissement de cibles Les données portant sur les autres attributs sont généralement moins précises ou déduites de celles sur les structures d’âge
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Contraintes actuelles à l’application intégrale du concept
Considérations économiques L’établissement de cibles sur la stricte base des moyennes historiques est susceptible de générer des impacts économiques indus compte tenu des fluctuations historiques auxquelles les espèces sont adaptées ; Nous pouvons nous permettre des écarts p/r à la moyenne historique
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Pallier ces contraintes par deux approches complémentaires
Définition de degré d’altération des attributs écologiques Utilisation des connaissances sur les besoins en habitat des espèces focales
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Degré d’altération des attributs écologiques
Entre 30 et 40 % de la proportion naturelle Rompré et al. (2010)
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Degré d’altération des attributs écologiques
Risque Moyenne historique Altération faible Risque 50% Altération modérée 30% Altération élevée
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Degrés d’altération et stratégie de conservation
La modulation des efforts permet : Ouvrir à des compromis économiques à certains endroits Offrir une meilleure «assurance écologique» à d’autres endroits Mieux saisir les occasions de synergie et de consensus sociaux
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Espèces focales Espèces sensibles aux effets de l’aménagement forestier ; Utilisation des connaissances sur leurs besoins en habitat pour : Valider le filtre brut Établir des cibles quantitatives Ex : lien entre la quantité de chicots et les besoins des pics Peu utilisé jusqu’ici.
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Période de transition et améliorations à venir
Meilleures connaissances sur la variabilité naturelle Meilleures connaissances sur les autres attributs écologiques Plus grande utilisation des connaissances relatives aux espèces focales (travaux en cours dans le contexte de la SADF)
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Comment procéder pour les PAFI 2013-2018 ?
Objectifs et cibles établis pour la structure d’âge et la répartition spatiale (pessière) Grosso modo établis selon les concepts exposés ci-haut Les solutions à ces enjeux sont des actions déterminantes et structurantes dans l’élaboration des PAFIT Orientent l’élaboration de la stratégie d’aménagement Influencent beaucoup la réponse aux autres enjeux Occasion de synergie et complémentarité à saisir
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Idéalement dans un processus itératif d’optimisation
Optimiser la stratégie d’aménagement et les cibles en fonction des impacts appréhendés En l’absence d’outils d’optimisation (WS), les aménagistes doivent procéder selon leur expérience Faire appel à l’expertise externe ?
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S’inspirer des cibles des OPMV
Les OPMV et les orientations ministérielles des PGAF constituaient un premier pas vers l’aménagement écosystémique Conserver ces acquis et s’en inspirer pour établir des cibles.
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Rechercher les synergies et la complémentarité
Chercher à maximiser les occasions de synergies et de complémentarités avec d’autres objectifs d’aménagement qui requièrent des solutions similaires Faire coïncider certaines cibles avec les exigences de normes de certification environnementale (FSC, CSA ou SFI).
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Orientations générales à court terme
Donner priorité au maintien des attributs naturels encore présents sur le territoire La préservation des acquis est toujours moins coûteuse que la restauration Les risques écologiques de la raréfaction doivent être minimisés Permet de fixer certaines cibles et de localiser les efforts Amorcer le déploiement opérationnel d’actions de restauration Ex. : Éclaircie à intensité variable pour recréer une structure complexe
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Orientations générales à court terme
Plein déploiement des actions pour certains enjeux dont les solutions sont connues et ont été expérimentées Ex. : - Les scénarios sylvicoles pour maintenir l’épinette rouge en Mauricie - Les coupes à rétention variable
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Amorcer le déploiement opérationnel d’actions de restauration
Fixer des cibles à court terme suffisantes pour acquérir la capacité opérationnelle et avoir un effet écologique significatif (sinon on reporte à plus tard la restauration) Processus de gestion adaptative et cibles futures établies à partir de cette première expérience opérationnelle
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Lignes directrices pour les enjeux liés à la structure d’âge et ceux liés à l’organisation spatiale dans la pessière
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1- Structure d’âge des forêts
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Structure d’âge des forêts
Définition: proportion relative des peuplements appartenant à différentes classes d’âge, mesurée sur un territoire relativement vaste (centaines ou milliers de km2). Structure d’âge en forêt « naturelle » : en fonction des régimes de perturbations naturelles Structure d’âge dans la forêt « actuelle » : en fonction des perturbations naturelles ET des coupes
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Rappel de l’activité 2.2 - Analyse d’écarts
Principales étapes: Définir les unités territoriales (« UT »): UTA (pessière), UTR ou regroupements d’UTR Calcul de l’abondance des peuplements en régénération et des vieux peuplements pour la forêt actuelle dans chaque UT Caractériser la forêt naturelle pour chaque UT (à partir des états de référence et/ou du PRDIRT) Établir les seuils d’altération pour les stades de développement « régénération » et « vieux » pour chaque UT. Résultat standard R4
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Résultats de l’activité 2.2
Le contenu du résultat standard 4.0 peut être représenté sous forme cartographique: Stade vieux Stade régénération UTA UTR ou UTR regroupées
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Activité 6 À l’activité 2.2, on effectue un état de situation (analyse d’écarts) À l’activité 6, on utilise cet état situation, ainsi que d’autres informations, pour établir les cibles de structure d’âge
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Objectif SADF touchant la structure d’âge
La somme de la superficie des UT ayant un degré d’altération faible ou moyen devrait représenter > 80 % de la superficie de l’UA On réfère donc à deux échelles spatiales: À l’échelle d’une UT: niveau d’altération « actuel » ou « visé ». Exemple: Faible altération: > 27% v.f. Altération modérée > 18 % v.f. Altération élevée: > RADF À l’échelle d’une UA: « cible » de structure d’âge
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Démarche pour atteindre l’objectif : Trois étapes
Établir les niveaux d’altération visés pour chaque UT (cible initiale) Déterminer la marge de manœuvre par rapport aux coupes Utile pour visualiser l’effet potentiel des cibles sur la planification sur un horizon de 5-10 ans Moduler les cibles
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1 - Établir des niveaux d’altération « visés »
Deux facteurs à considérer: Obtenir au moins 80% de faiblement ou moyennement altéré Localiser ce 80% en tenant compte des enjeux écologiques (état d’altération actuel à l’intérieur de chaque UT, …) ou autres (enjeux sociaux-économiques, …) Niveaux actuels: 64% faiblement ou modérément altéré Niveaux visés: 81% faiblement ou modérément altéré
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2 - Déterminer une « marge de manœuvre »
Différence entre seuil minimal du degré « visé » et l’abondance actuelle, pour le stade le plus contraignant Unité territoriale Degré d’altération visé Stade « vieux » Stade « régénération » Marge finale ( %) Actuel ( %) Minimum ciblé ( %) Marge ( %) Maximum ciblé ( %) UTA1 faible 68 29 39 1 25 24 UTA2 moyen 45 17 28 5 35 30 UTA3 16 -1 -10 UTR13 élevé 6 44 100 56 UTR17 33 22 11 -9 UTR18 18 -4 -15
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Exemple: identification d’UT avec marge de manœuvre négative
État actuel État visé
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3 - Moduler les cibles Changer la localisation des niveaux visés
Possibilité de rajuster les contours d’UT (fusion d’UTR) Les unités plus grosses offrent plus de souplesse Taille maximale raisonnable au niveau écologique (max 500 km2 dans la sapinière et l’érablière) Possibilité d’intégrer un « délai de restauration » Maintenir un certain niveau de récoltes (coupe totale), même si on est en dessous du seuil minimal Certains principes à respecter: limiter la proportion de l’UA touchée par ces mesures, limiter la longueur du délai.
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Résultat obligatoire Résultat obligatoire R40 - Cibles de structure d’âge par UTA, UTR ou UTR regroupée (mise à jour de R4) Unité territoriale Degré d’altération visé Stade Vieux Minimum visé ( %) Marge ( %) Stade Régénération Maximum visé ( %) Marge finale ( %)* Délai UTA1 faible 29 39 25 24 non UTA2 moyen 17 28 35 30 UTA3 -1 -10 20 UTR13 élevé 6 100 56 UTR17 22 11 -9 - UTR18 -4 -15 UTR19 37
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2- Organisation spatiale dans la pessière
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Organisation spatiale dans la pessière
Objectif: obtenir une répartition spatiale des coupes similaire à ce que l’on retrouve dans la pessière, en fonction des régimes de feux Espaces n’ayant pas brûlé, dominés par des massifs forestiers Feux de grande taille (plusieurs dizaines de km2)
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Agglomérations de coupes
Introduites depuis 2003 (dérogations à la CMO) La CMO continue d’être appliquée ailleurs dans l’UAF À partir de le mode de répartition spatiale par agglomérations de coupes deviendra la règle Pas de CMO dans la pessière Intégration du nouveau mode de récolte à tous les niveaux de planification
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Lien entre activité 2.2 et activité 6.1
Compartimentage (pré-PAFI) Carte de compartiments d’organisation spatiale (COS) Types de COS Activité Analyse des principaux enjeux d’organisation spatiale dans la pessière (R4.1) Types de récolte Autres enjeux de répartition spatiale: Juxtaposition, identification de massifs forestiers névralgiques, … Activité 6.1 – Spatialisation préliminaire des récoltes en fonction des enjeux écologiques
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Pré-requis 1 - Carte des compartiments (COS)
Délimités en fonction de la structure d’âge, pour assurer la plus grande homogénéité possible Respect des classes de taille: 30-70, , km2 Arrimage avec les plans caribou et autres contraintes écologiques majeures
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120 ans ou VIN 70 ans 30 ans régénération
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Pré-requis 2 - Types de COS
Deux grands types de COS: COS de type « standard », où l’on opère par un mode de récolte par agglomérations de coupes. COS de type « massif de forêt pérenne aménagé », où l’on cherche à maintenir à long terme des caractéristiques de massifs (> 70% de 7m et +). “massifs de forêt pérenne aménagés” “standard”
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COS « standard » Deux passages
1er passage (« agglomération de coupes ») – récolte de 70% de la superficie forestière 2ème passage – récolte du 30 % restant, lorsque la forêt régénérée suite au 1er passage atteint ou dépasse 7m
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COS « massif de forêt pérenne aménagé »
Compartiment où l’on vise le maintien à long terme de caractéristiques de forêts relativement irrégulières On doit maintenir > 70% de 7m et + dans le COS. Possiblement un bon endroit pour concentrer les coupes partielles. Possibilité d’effectuer des CT, mais de superficie réduite
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Pré-requis 3 - « Types de récoltes »
Exclusivement dans les COS de type « standard » Nous permet d’obtenir une « prescription » préliminaire, déterminée sur la base de la structure d’âge interne de chaque COS Fonction de 3 classes d’âge spécifiques à l’enjeu: régénération (moins de 20 ans), pré-mature (50 et 70 ans), mature (90 ans et +).
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95% forêts matures: Premier passage
16% mature, 75% régénération: Attendre deuxième passage 18% mature, 57% prémature (> 7m): Deuxième passage
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À déterminer pour tous les COS d’une UA (R4.1)
5 options 1er passage à amorcer 1er passage à compléter Attendre 2ème passage 2ème passage à amorcer Attendre 1er passage À déterminer pour tous les COS d’une UA (R4.1)
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Activité 6.1 - Déterminer les priorités de récolte
S’applique aux COS de type « standard » Consiste à Reprendre les résultats de l’activité 2.2, qui identifiait ce qui est possible Déterminer, parmi ces possibilités, ce qui est souhaitable au plan écologique Ces codes de priorité serviront d’intrant pour la planification finale (A17, A18, A19)
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Principes généraux considérés lors de la priorisation
Préférable de commencer par les fragments plutôt que par les massifs Préférable de récolter là où il y a plus de « marge de manœuvre » (c.f. enjeu de structure d’âge) Il faut éviter de juxtaposer des agglomérations Il faut maintenir autant que possible les massifs névralgiques Il faut maintenir une certaine faisabilité au niveau opérationnel
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Codes de priorité Priorité 1
Récolte acceptable : n’entrave l’atteinte d’aucun objectif écologique Priorité 2 Récolte moyennement acceptable : entrave légèrement l’atteinte les objectifs écologiques Priorité 3 Récolte problématique : entrave l’atteinte des objectifs écologiques de manière significative Priorité 4 Les coupes ne peuvent être effectuées sous peine de causer des problèmes écologiques majeurs Exclu de l’analyse COS aire protégée, massifs de forêt pérenne aménagés, massifs de protection
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Arbre de décision
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Exemple de résultat
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Résultats obligatoires
Résultat obligatoire R41 Inclut une version mise à jour de R4.1, auquel on ajoute une série de champs: UTA COS Massif de forêt pérenne aménagé Type récolte Marge de manœuvre* Contrainte de S.A. priorité UTA1 COS022 Non Compléter 1ère 2000 ha non 1 COS023 Oui COS024 Névralgique 4 …
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Répercussions sur le PAFI-O
Activité R41 Indicateurs rassemblés aux activités 17 & 18: -Réseau de chemins -Distances de transport -Proportion d’essences -Priorités de récolte CPF -… Activité R175 (identification des COS pouvant faire l’objet de récoltes sur 5 ans) Activité 19 (identification des secteurs d’intervention)
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Les autres enjeux écologiques
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Des recommandations d’aménagement pour les enjeux suivants :
Composition végétale Structure interne des peuplements et bois mort Milieux humides et riverains Espèces nécessitant une attention particulière
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Composition végétale Comprendre l’autécologie des espèces
Habitat, mécanisme de reproduction, dynamique de croissance Bien comprendre le phénomène sous-jacent à l’enjeu et orienter les solutions Identifier les secteurs à prioriser Conditions de station adéquates / optimales Composition et stade de développement recherchés Régime, scénario et traitement sylvicoles Définition du régime Sélection du scénario Identification du traitement
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Composition végétale - grands axes
Forêts de conservation Éléments : semencier, vétéran, bois mort Allongement des révolutions Allongement par peuplement ou par espèce Éléments : semencier, vétéran, bois mort, production de semences, régénération
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Composition végétale - grands axes
Actions sylvicoles Coupes à rétention variable Éléments : espèces en raréfaction, semencier, vétéran, bois mort, production de semences, régénération Contrôle de l’ouverture du couvert Climat lumineux : lits de germination et conditions de croissance Régénération acquise et éducation des jeunes Régénération à standards rehaussés (compétition inter/intra spécifique) et éducation des jeunes en fonction de leurs vitesses de croissance Gestion des mélanges À l’échelle du peuplement ou des individus (production diversifiée et souplesse)
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Structure interne et bois mort
Raréfaction des peuplements à structure complexe Essentiellement divers types de coupes partielles (CPR, CPI) Simplification et uniformisation de la forêt de seconde venue Essentiellement limiter à un maximum de 50 % par UTR ou COS les traitements d’éducation Au plan opérationnel, se doter de modalités d’intervention
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Structure interne et bois mort
Carence en legs biologiques Essentiellement divers types de coupes à rétention variable aux endroits appropriés
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Milieux humides et riverains
Habitats riverains et aquatiques Modulation locale des bandes riveraines Milieux fragiles (érosion, chablis) Sites riches et productifs Habitats fauniques reconnus (frayères, espèces rares, etc.) Corridors majeurs de déplacement faunique
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Milieux humides et riverains
Habitats non riverains et connectivité Lisières boisées en bordure des tourbières Élargissement de la bande riveraine pour les tourbières avec mares Ajout de bandes riveraines dans les tourbières sans mare types rares, raréfiés ou vulnérables éléments sensibles (EMV, habitat réglementé) ou utilisation intensive (chasse …)
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Milieux humides et riverains
Petits milieux humides et étangs vernaux Besoins de protection dépendent du diagnostic local (fonction de la fréquence, taille moyenne, diversité, pratiques forestières habituelles …) Protection de bandes riveraines, de forêts résiduelles, coupes partielles ou rétention de bouquets … Modalités relèvent de la planification opérationnelle
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Milieux humides et riverains
Milieux humides d’intérêt (MHI) Introduits par la SADF Identification et protection provisoire au PAFI + aires protégées d’ici 2015
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Espèces nécessitant une attention particulière
Espèces dont les mesures de protection couvrent de petites superficies Affectations régionales prennent en compte ces espèces Géré à l’opérationnel Espèces dont les mesures de protection couvrent de grandes superficies Plans d’aménagement de l’habitat du caribou forestier Certains éléments gérés par le RADF
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Que retenir de tout cela…?
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1- Application des lignes directrices sur les structures d’âge et la répartition spatiale (en pessière) actions structurantes pour l’élaboration de la stratégie d’aménagement
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Se doter de grandes orientations d’aménagement pour :
2- À la lumière des solutions proposées pour répondre aux différents enjeux et dans une vision de synergie et complémentarité des actions… Se doter de grandes orientations d’aménagement pour : Répondre au plus grand nombre d’enjeux Canaliser les efforts sylvicoles pour
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Un exemple… du Bas St-Laurent
Traiter, dans la mesure du possible, l’ensemble des strates résineuses composées d’essences longévives en raréfaction par coupes partielles Enjeux de composition Raréfaction de l’EPB, du PIB, du THO, de l’EPR Enfeuillement Enjeux de structure interne et bois mort Enjeux de structure d’âge (vieilles forêts) Enjeux d’utilisation du territoire (qualité visuelle des paysages) Enjeux de production ligneuse Etc.
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Pour en savoir plus… www.mrnf.gouv.qc.ca/fr/ecosystemique
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