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Ô toi qui fus fondée Sur l'immortalité, Par Dieu même gardée, Glorieuse cité, Ô toi, qui fus fondée DLG 358 Paroles : R. Saillens - Musique : A. Ewing © E.-L. Budry - Contrat LTC N° FEA 75P 1/8
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Ma voix, mon cœur palpitent D'espérance et d'effroi; Heureux ceux qui t'habitent, Demeure du grand Roi ! 2/8
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Oui, quand je te contemple, Ô céleste séjour, Toi dont Christ est le temple, Toi dont Christ est le jour, 3/8
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L'espoir, l'espoir m'anime; Déjà mes sens ravis Goûtent la paix sublime Au sein de tes parvis. 4/8
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Parfois aussi la crainte Vient obscurcir ma foi. N'es-tu pas, cité sainte, Trop sainte, hélas, pour moi ? 5/8
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Alors, sous tes portiques, Vibrant jusqu'à mon cœur, J'entends de doux cantiques Louer le Christ vainqueur ! 6/8
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Séjour où Dieu m'invite, Je ne sais pas encor’ Quelle splendeur s'abrite Dans tes murailles d'or; 7/8
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J'ignore, mais j'espère. J'ignore, mais je sais Que là-haut est mon Père, Et pour moi, c'est assez ! 8/8
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