Notre perception de soi

Présentation au sujet: "Notre perception de soi"— Transcription de la présentation:

1 Notre perception de soi
Nos forces Nos faiblesses Nos valeurs Nos croyances Nos rêves Nos espoirs Nos réalisations Nos illusions Ces choses déterminent en large mesure notre concept de soi.

2 Point de vue sociologique
Selon le sociologue Charles Cooley, ce concept est le résultat d’interactions sociales avec les autres. Ex: un enfant dès la naissance qui reçoit de l’attention et des sourires etc. va répéter ces actions et sera fier de soi, tandis qu’un enfant qui reçoit très peu d’attention va manquer d’assurance et sera anxieux. Par conséquent il sera moins enclin à explorer le monde.

3 Point de vue sociologique
Selon le sociologue George Herbert Mead, il y a plus d’un soi, selon l’environnement. a) Soi personnel: qui se forme basé sur les relations sociales avec nos proches et se révèle seulement à eux

4 Point de vue sociologique
b) Soi adaptif: le soi public qui se forme dans le public et celui qui se montre en public Le soi global est la combinaison de ces deux qui se comporte selon le besoin social

5 Point de vue psychologique
Le psychologue croit que le concept de soi ou de moi, fait face à des crises (frustration, tensions ou inquiétudes) et se défend constamment. Ces défenses, changent notre vision de la réalité et ainsi affecte notre soi.

6 Freud et les mécanismes de défense
1) RATIONALISATION: une excuse que nous inventons pour expliquer un échec, une perte ou un comportement inadéquat

7 Freud et les mécanismes de défense
2) DÉPLACEMENT: nous projetons notre colère ou notre frustration sur quelqu’un à cause d’une situation que nous venons de vivre. La personne que nous attaquons n’a rien à voir avec notre colère.

8 Freud et les mécanismes de défense
3) REFOULEMENT: nous réprimons des pensées ou des besoins déplaisants de notre conscient en les repoussant vers notre subconscient.

9 Freud et les mécanismes de défense
4) PROJECTION: lorsque nous voyons chez les autres des trait et des sentiments que nous ressentons en nous-même, mais que nous ne pouvons ouvertement admettre.