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DIALECTE, outil de diagnostic agroenvironnemental

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Présentation au sujet: "DIALECTE, outil de diagnostic agroenvironnemental"— Transcription de la présentation:

1 DIALECTE, outil de diagnostic agroenvironnemental
Marine Gimaret - Solagro Chipiona – 7-11/05/2012 1

2 Plan de l’intervention
Historique et définitions Principes fondateurs de la méthode Dialecte Saisie des données Analyses et interprétations des résultats

3 Solagro – Association 1901 depuis 1981
Solagro - Une équipe de 25 personnes Développe les énergies renouvelables : Déchets-biogaz Bois-énergie Habitat-solaire Accompagne l’évolution de l’agriculture : Préservation de l’environnement et des paysages Amélioration des performances environnementales et énergétiques des exploitations : Planète-Dialecte-Dialogue Solagro travaille au niveau régional, national et européen.

4 Les principaux projets de SOLAGRO
: Expertise pour le JRC sur zones agricoles HVN, abandon des terres agricoles, définition des zones rurales : Mise en place d’indicateurs de biodiversité en agriculture : projet européen de recherche BioBio : LIFE + sur la réduction des consommations énergétiques et des émissions de GES de 20 exploitations en Espagne, Italie, Allemagne et France Mise en place d’un scénario à 2050 « Afterres 2050 » pour une agriculture, alimentation et gestion des ressources durables : QUESSA – Services écologiques des habitats semi naturels (lutte biologique et pollinisation) On peut distinguer 4 niveaux de prise en compte de la biodiversité : 4 4

5 1. Historique et définitions

6 Historique de DIALECTE
1994 : Conception d’un diagnostic agro-environnemental pour le PDD du Tarn / mise en place d’un référentiel sur 50 fermes pour le CR MP 1998 : DG environnement : Comparaison avec la méthode Ecopoints (Autriche) et diagnostic Biotique (Université de Bonn) 2000 : Accompagnement des CTE 2006: Mise sur Internet et création de la BDD 2008 : 150 diagnostics de fermes en bio avec la FNAB 2010 : Utilisation de l’outil dans différents programmes. 2011 : Transfert au Portugal, Italie, Espagne et Roumanie 2012 : Capacité des exploitations bio à satisfaire le cahier des charges HVE à partir de Dialecte / Création de modules optionnels HVE (option A et B), économie 2013 : Transfert de l’outil Dialecte dans l’enseignement agricole en Hongrie On peut distinguer 4 niveaux de prise en compte de la biodiversité : 6 6

7 Définitions DIALECTE = Diagnostic liant environnement et contrat territorial d’exploitation A quoi sert DIALECTE ? Evaluer les impacts des pratiques agricoles sur l’environnement Décrire et analyser les systèmes de production, et leur durabilité écologique Champs de l’étude : Périmètre : exploitation agricole Espace temps : 1 campagne agricole

8 Les objectifs de l’outil Dialecte
Comprendre les interactions complexes au sein d’un agroécosystème (flux entrants et sortants) Analyser différents systèmes de production sur la même grille d’indicateurs Réaliser le diagnostic en 1 journée de travail (1/2 j de visite et de collecte et 1/2 j de saisie et d’analyse) Produire une analyse quantitative (indicateurs) et qualitative (contexte historique et territorial, savoir-faire, synthèse) Appréhender les enjeux environnementaux (ressource et qualité de l’eau, sol, biodiversité, gestion des ressources) Approfondir le diagnostic par des modules optionnels ( biodiversité, économique, HVE …) Mutualiser les références acquises dans une BDD anonyme On peut distinguer 4 niveaux de prise en compte de la biodiversité : 8

9 Dialecte et sa base de données
Agriculteurs intéressés par l’impact de leur pratique sur l’environnement Dialecte 49 % d’exploitations en AB 1500 diagnostics validés Les données qui vont vous être présentées sont des tendances. Les systèmes intensifs sont sous-représentés. Echantillon non représentatif. Base du volontariat. Référence dialecte surévalué par rapport à la moyenne Il n’y a pas d’autres BDD sur les bio. La bio n’est pas stratifiée dans les enquêtes agricoles. BDD non stratifiée et non représentative

10 2. Les principes fondateurs de la méthode Dialecte

11 Fondements et principes
Favoriser la mixité sous toutes ses formes comme base de la productivité et de la multifonctionnalité de l’agriculture Développer une agriculture liée au sol et adaptées aux conditions locales Conserver la biodiversité tant animale que végétale, moteur du fonctionnement des agroécosystèmes Principes : Assurer une durabilité de l’agriculture en limitant au minimum la consommation des ressources non renouvelables Maintenir ou accroître la fertilité des sols Maintenir les facteurs de production indispensables au bon fonctionnement d’un agroécosystème (pollinisation, drainage naturel, fertilité des sol, …) Limiter ou éviter les pertes dans le système se traduisant générallement par des pollutions Maintenir en bon état les ressources en eau

12 Fondements Equilibres biologiques Transfert de fertilité Evitement
(Rotation, SCE, PN, Taille des parcelles, etc.) Transfert de fertilité (Légumineuses, Fauche, Apports ext., etc.) Evitement des pertes (Couverture du sol, SCE, etc.) Bonnes pratiques agricoles  (Fertilisation, Objectif de rdt., Gestion MO, etc) Agro-système  Sol/climat  Parcellaire  Productions  Bâtiments Economie d’énergie fossile (Maîtrise des énergies, ENR, etc.) Autonomie de l’agro-système (Alimentation, Intrants et énergie, Décisionnelle) Réduction des impacts environnementaux (Sol, Eau, Biodiversité, Air, Ressources non-renouvelables)

13 Trois niveaux d’évaluation
Choix des critères et des indicateurs 12 critères / 43 indicateurs Le critère est une agrégation d’indicateurs. Echelle de notation Valeur min / valeur max – notation linéaire ou discrète Pondération des critères et des indicateurs Gestion des intrants Importance de l’intrant Critère 1 : Azote 25 % Critère 2 : Phosphore 10 % Critère 3 : Eau (irrigation) 20 % Critère 4 : Protection phytosanitaire Critère 5: Energies Total 100 %

14 Définition des indicateurs
Basée sur : La réglementation De nombreuses données bibliographiques (cf. manuel d’utilisation) A analyser en fonction des partis pris. Le diagnostic Dialecte est développé en amélioration continue.

15 Choix de méthode Favoriser et privilégier l’approche globale du système qui permet une meilleure intégration des interrelations entre les différents facteurs Donner plus de valeur aux actions préventives plutôt que curatives S’intéresser à l’ensemble des problématiques environnementales Avoir une approche quantitative et qualitative Nous travaillons en amélioration continue sur l’outil Dialecte. Il n’est donc pas optimal.

16 Dialecte : Méthodologie
La situation idéale n’existe peut être pas. Au delà de la valeur absolue des notes, les concepteurs ont surtout voulu illustrer à partir d’une situations initiale de l’exploitation diagnostiquée, les marges de progrès possibles dans le champ de l’agrienvironnement.

17 Mixité du système : 70 points Gestion des intrants : 30 points
Approche globale Analyse du système d’exploitation et des pratiques Mixité du système : 70 points Gestion des intrants : 30 points Diversité des productions végétales (30 pts) Autonomie des productions animales (22 pts) Infrastructures naturelles (18 pts) Azote (7,5 pts) Phosphore (3 pts) Eau(6 pts) Pesticides (7,5 pts) Energies (6 pts)  La situation idéale (100 points) n’existe peut être pas. Objectif : identifier les marges de progrès

18 Approche globale Complexes Multiples Agriculture Environnement
Mixité de l’exploitation ≠ Spécialisation des systèmes Maximisation des services écologiques (Rotation longue, recyclage des élements, IAE, …) Simplification des relations complexes entre l’agriculture et le milieu naturel (rotation courte, système à hauts niveaux d’intrants, …)

19 Approche thématique Impact de l’activité agricole sur les différents compartiments l’environnement Eau Biodiversité Sol Consommation des ressources

20 Dialecte - applications
Diagnostic d’exploitation conseil aux agriculteurs Formation dans l’enseignement agricole supérieur Sensibilisation du public et des agriculteurs à l’agroécologie Outil de diagnostic agri-environnemental Certification de produits ou de modes de production Justification des aides publiques (MAE) Références agri-environnementales

21 3. Saisie des données

22 Connexion au site internet
Id : ensat Mdp : ensat  Se rendre dans la rubrique « Dialecte : Comment? » pour télécharger le manuel d’utilisation Puis « Saisir un nouveau Dialecte ».

23 Eléments nécessaires à la réalisation
Documents Questionnaire papier Comptabilité Photo satellite (Infrastructures agroécologiques) Facture d’électricité Compétences Connaissance générale en agronomie Connaissance d’agroécosystèmes respectueux de l’environnement Objectivité de l’analyse

24 Données essentielles Assolement : SAU Diversité des productions
Rotation Energies : - Fioul, électricité Engrais NPK, aliments, … Compréhension globale du système Irrigation IAE Gestion de la fertilisation : Apports minéraux Effluents d’élevage Part de légumineuses dans les prairies Alimentation du cheptel : Gestion du système fourrager Fabrication / achat de concentrés

25 Saisie des données Niveau de précision ?  à dire d’agriculteur
(attention : il est important d’essayer de recouper les données) Le diagnostic Dialecte est à l’échelle « culture »

26 Saisie des données et cas particuliers
Informations générales SAU : à saisir précisément ! Attention au choix de l’année de référence Cultures Par culture et par destination Fertilisation minérale (N, P2O5, K2O) : en kg/ha 1 traitement herbicide = 1 traitement pleine dose / 0,5 traitement herbicide = ½ dose  e-phy.gouv.fr Apport organique = fumier, lisier, compost ou pâturage ou résidus de culture Fractionnement faible de l’N :uniquement pour ferti minérale % de légumineuses (100 % pour les légumineuses à graines pures; 15 % PP) % sol nu durant l’hiver (CIPAN)

27 Saisie des données et cas particuliers
Culture Méteil (2 types de méteil sont proposés) Cultures intercalaires à saisir Cheptel Se référer à « Table des cultures et des cheptels » dans « Dialecte : Comment? » Comprendre la gestion des lots et les flux d’animaux Temps de présence en jours (max : 365 j) Poids vifs uniquement (pas de poids carcasse) Entrées / sorties de MO Les déjections animales sont gérées automatiquement par Dialecte. Vous devez connaître les quantités de MO entrantes et sortantes du système.

28 Saisie des données Production animaux Autres achats pour les animaux
Seules données économiques du diagnostic Bilan fourrager simplifié : besoins Valeur par défaut ≈ 5 tMS/ha Bilan fourrager simplifié : consommation/vente/achat Ne pas oublier les quantités d’herbe pâturées (à estimer au travers du bilan fourrager).

29 Saisie des données Concentrés Données d’exploitation Données IAE
Concentrés simples Concentrés herbivores, porcins, volailles (Granulés, farine) Données d’exploitation Effluents liés à l’élevage Irrigation Energie Consommation par les tiers à prendre en compte (CUMA, ETA) Cas particulier de l’irrigation collective (table dans « Dialecte : Comment ? ») Electricité : répartir la facture entre les consommations maison et exploitations Données IAE Utiliser les photos satellites (déclaration PAC) et le manuel des IAE dans « Dialecte : Comment? »

30 4. Analyse et interprétation des résultats

31 Exemple d’une exploitation en polyculture-élevage
SAU = 120 ha dont 23 ha de COP Ariège, sols argileux 2,5 UTH Agriculture biologique / OTEX bovins lait 48 VL Brunes des Alpes, 15 porcelets plein air Porc noir Gascon, 2 juments L ( dont L transformés) Production de fromage : Tomme des Pyrénées Un assolement assez diversifié : blé tendre, maïs ensilage, sorgho sucrié ensilé, méteil, PN productive, PT luzerne, PT mélange graminées – légumineuses (trèfle blanc, trèfle violet, fétuque, dactyle, RGH) Cultures vendues : blé tendre, méteil (1/4 de la production), foin 40 % d’IAE (30 ha de PN sèches + haies + lisières de bois).

32 Contexte communal agricole et environnemental
Fiche communale Contexte communal agricole et environnemental

33 Schéma général

34 Données générales Bovins lait
Reproduction par insémination artificielle et monte naturelle Taux de renouvellement stable (10-15 V/an) ≈ 30% Vêlages répartis sur toute l’année Veaux vendus pour l’engraissement entre 15 et 21 j à un poids vif de 50 kg 0,95 UGB/ha SFP  gestion plutôt extensive Solagro/ ADEME, Rèf PLANETE 2010 – Fiche 4 : Production « Bovins lait et cultures »  40 exploitations en système herbager (1,05 UGB/ha SAU). Institut de l’élevage, Consommation d’énergie en élevages herbivores et leviers d’action.  18 exploit. bovins lait agriculture biologique montagne (1,01 UGB/ha SAU) 2083 L lait / ha  gestion plutôt extensive

35 Données générales Porcs noir Gascon
Vendus à 1 an (poids carcasse de 120 à 150 kg)

36 Les résultats 3 bilans fondamentaux : Bilan fourrager
Bilan CORPEN (Gestion de la fertilisation) Bilan énergétique Approche globale et approche thématique

37 Bilan Fourrager simplifié
Besoins (tMS/UGB) selon les catégories de cheptel Rendement des praires et autres fourrages (inclus les quantités d’herbe consommées au pâturage) Bilan fourrager simplifié : consommation, vente, achat Besoins théoriques = nb UGB herbivores * besoins Besoins théoriques = Total des fourrages consommés Total fourrages consommés = Intracosommés + achétés – vendus Production de FG sur la SAU = intraconso + vendus

38 Bilan fourrager Pré-requis :
1- Pâturage potentiel (tMS) = Besoins théoriques – Achetés – tonnage de foin intraconsommé Définition du tonnage de foin intraconsommé = nombre de bottes de foin * poids des bottes 2- Ajustement des rendements des prairies dans l’onglet « Cultures » selon les quantités de pâturage déterminées. Pré-requis : Besoins théoriques = Total des fourrages consommées Production de FG sur la SAU= Intraconsommés + achetés – vendus Besoins théoriques du troupeau = UGB AG * tMS/UGB (≈ 5 tMS/UGB)

39 Bilan fourrager 3- Attention les onglets « Cultures » et « Bilan fourrager simplifié : consommation, vente, achat » doivent être cohérent !

40 Autonomie fourragère Autonomie en fourrage totale (100 %)
60 balles foin vendus * 250 kg  15 tMS 7 ha de luzerne (8 tMS/ha)  56 tMS 8 ha de sorgho sucrier (6,5 tMS/ha)  52 tMS 1 ha de maïs ensilage (6 tMS/ha)  6 t MS Quantités de foin conso? 716 balles * 250 kg  179 tMS Quantités pâturées = besoins théo – luzerne – sogho – maïs ens – foin = 362 – 56 – 52 – 6 – = 69 tMS  Rendements réels des prairies évalués à 2,9 tMS/ha pour les PP et 3,6 tMS/ha pour les prairies graminées légumineuses

41 Autonomie en concentré et performance
Autoconsommé : méteil (45,2 t) Achat de 5 t de tourteau de colza et sels et minéraux Autonomie en concentré : 89 % 25 t méteil sont utilisées pour l’alimentation des VL  625 kg concentré/VL Rèf : Quart inférieur 707 kg concentré/VL (Rèf PLANETE 2010) kg concentré/VL (Inst. Élevage) Niveau de production : 5208 L/VL Rèf : 5456 L/VL (Inst. Élevage); 5503 L/VL (Rèf PLANETE2010)

42 Bilan CORPEN Le bilan CORPEN considère les entrées et les sorties d’azote sur le système « sol » l’échelle de l’exploitation. Remarque : Ne tient pas compte de la minéralisation de l’humus du sol ni de la disponibilité du phosphore organique apporté dans l’année ( on comptabilise le phosphore total apporté même si la totalité de ce phosphore n’est pas utilisable par la culture en cours). Balance globale de la fertilisation après engrais minéraux = Effluents de l’élevage épandus + autres effluents importés + fixation par les légumineuses – exportations des cultures et fourrages grossiers + apports engrais minéraux

43 Bilan azoté selon la méthode CORPEN
Apport extérieur 8 t de lithotamne et 3 t d’engrais organique (9-10-0) Equilibre du bilan par la fixation symbiotique des légumineuses Excédent azoté potentiellement lessivable < 50 uN/ha  bonne gestion de la fertilisation

44 Interprétation du bilan CORPEN
1er niveau d’analyse : l’azote - Bilan global (kg N/ exploitation) - Excédent azoté à l’hectare (kg N/ha)  Azote potentiellement lessivable Précision : +/- 20 kgN/ha 0 à 20 kg N/ha : Bonne gestion de la fertilisation À 50 kg N/ha : Surplus azoté moyen  approfondir la question > 50 kg N/ha : Problème sur la gestion de la fertilisation

45 Interprétation du bilan CORPEN
Si résultats aberrants  1ère question à se poser : Les données ont t’elles été saisies correctement? Attention au cas particulier des parcours, estives, … Le bilan CORPEN mobilise 80 % des données saisies dans Dialecte. Replacer les résultats dans le contexte de l’exploitation (extensivité des pratiques,…)

46 Flux d’azote pour la ferme (kg N/ha)
Excédent azoté = Apports – Exports

47 Bilan énergétique Définitions : Energies directes : énergie fossile directement utilisée sur la ferme Energies indirectes : Energie fossile mobilisée en amont pour produire et mettre à disposition ce ui est acheté par l’exploitation  Pas d’estimation des gaz à effet de serre (GES)  Dia’terre®

48 Interprétation du bilan énergétique
2 niveaux : Répartition des différents postes (en %) Comparaison aux exploitations de la base de données Dialecte (en EQF/ha) 1 EQF = 35,6 MJ EQF (Equivalent litre fioul) : unité pédagogique MJ : unité internationale

49 Bilan énergie de l’exploitation
Tableau exprimé en équivalent litre fioul (EQF) En moyenne, 207 EQF ont été consommés par hectare. Fioul et mécanisation : principaux poste de consommation énergétique

50 Performances énergétiques
1 EQF = 35,6 MJ 207 EQF * 35,6 = 7369 MJ /ha SAU Comparaison aux références : MJ/ha SAU (Rèf PLANETE2010, 40 exploitations en système herbager) 9453 MJ/ha SAU (Institut de l’élevage, 18 exploit. bovins lait AB montagne)

51 Les infrastructures agroécologiques (IAE)
Définition : milieux semi-naturels ne recevant ni produits phytosanitaires, ni engrais de synthèse Exemples : prairies naturelles sèches, jachères, mares, haies, bosquets, arbres isolés, bandes enherbées,…

52 Les infrastructures agroécologiques
Maintenir la biodiversité fonctionnelle Augmenter la biodiversité Limiter l’érosion du sol Services écologiques Pollinisation Préserver la qualité de l’eau

53 Approche globale de l’exploitation (système)

54 Approche globale de l’exploitation (système)

55 Approche globale : le radar

56 Approche thématique

57 Rédaction de la synthèse
1- C’est l’analyse qualitative du diagnostic. 2- Elle permet d’expliciter les indicateurs quantitatifs de Dialecte. 3- Elle dépend des compétences du diagnostiqueur.

58 Rédaction de la synthèse
Contexte et historique Description du système (prod. végétale et animale) Analyse des résultats : qualification du système de production aux travers des indicateurs clés Comparaison des résultats à un groupe d’exploitations comparables (toujours en OTEX identiques!) Consulter les documents « Plan général synthèse Dialecte » et « Exemple de synthèse Dialecte »

59 Prise de recul sur l’outil
Dépendant de la méthode Philosophie de l’outil Photo de l’exploitation Choix des indicateurs Pondération des indicateurs Dépendant de l’enquêteur (vous !) et de l’interlocuteur (l’agriculteur) Niveau de précision pour le recueil des données « à dire d’agriculteur » Votre compréhension des informations transmises Relever les incohérences  Il est important de relativiser les résultats obtenus selon la méthode et le niveau de précision des informations recueillies !

60 Conclusion Ce qu’il faut retenir !
Nécessité d’une approche globale pour comprendre les interactions complexes au sein d’un agroécosystème Des interprétations fortement liées au niveau de précision des informations collectées La durabilité agroenvironnementale d’un système s’évalue autour du maintien de la biodiversité, de la gestion de l’alimentation, de la maîtrise de la fertilisation, l’efficacité énergétique, …

61 Caractérisation de la BDD Dialecte

62 Nombre de bilans Dialecte validés

63 Répartition des bilans Dialecte réalisés

64 Caractérisation des fermes de Dialecte
Répartition des bilans Dialecte selon le type de pratiques agricoles

65 Caractérisation de la BDD Dialecte
Répartition des bilans Dialecte selon les régions de France

66 Répartition par OTEX

67 Base de données - tri Echantillon 1 : l’exploitation étudiée
126 exploitations biologiques en bovins lait SAU moyenne : 95 ha

68 Indicateurs de l’approche globale

69 Indicateurs de l’approche globale

70 Répartition par poste des énergies consommées

71 Points forts de l’exploitation enquêtée
Exploitation performante sur le plan agroenvionnemental Système à bas niveaux d’intrants Assolement diversifié Bonne gestion de la fertilisation (< 50 u N/ha) Autonomie alimentation forte (100 % en fourrage; 89 % en concentrés) Faibles consommations d’énergie et de ressources non renouvelables Faibles impacts sur l’eau, le sol, la biodiversité et les ressources

72 Merci beaucoup pour votre attention !


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