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Publié parDorothée Dufour Modifié depuis plus de 9 années
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Spécificités des consommations alimentaires franciliennes
Jeudi 8 avril 2010 Agro-Paris-Tech Bonjour à tous. L ’objet de ma présentation est de vous décrire les différents leviers des marchés de la consommation. En premier lieu, il s’agira des facteurs démographiques structurants au niveau du long terme, les effets conjoncturels qui expliquent le court terme et les ruptures. En second lieu, l ’analyse des tendances de consommation se fera au travers de la compréhension des arbitrages des ménages et on en tirera des conclusions quant aux perspectives sur les marchés de consommation. Pascale Hébel Directrice du département Consommation 1
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Département consommation - pôle alimentaire
Le baromètre de l’alimentation pour le Ministère de l’agriculture et de la Pêche (2006, 2007, 2008, 2009) Des enquêtes spécifiques – RUNGIS Le système d’enquêtes Consommation – 1992 à 2008 Des enquêtes usages & attitudes depuis plus de 15 ans (1988, 1995, 1997, 2000, 2003) Des enquêtes de consommations individuelles alimentaires à domicile & hors domicile 13 ans d’historique (ASPCC 1994, INCA 1999, CCAF 2004, CCAF 2007) En 2003, 2007 et 2010 (CCAF) : Dans une seule enquête auprès de ménages représentatifs des ménages français (3000 individus) Usages & attitudes : motivations d’achat, rythmes alimentaires, attitudes / alimentation (santé, nutrition, sécurité), préparation des repas Volet consommation : Relevé exhaustif des consommations alimentaires individuelles - Utilisation d'un carnet photographique - Tables nutritionnelles Face à face, enregistrement sur CAPI, quotas : âge et PCS du chef de famille, taille d’agglomération, région d’habitation et taille du ménage CREDOC - 8 avril 2010 9
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Alimentation en Ile de France Passé et perspectives
Perspectives de la consommation alimentaire en Ile de France Modes de consommation en Ile de France Offre en Ile de France et adéquation avec la consommation CREDOC - 8 avril 2010
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Une population plus jeune en Ile de France qu’au niveau national
Age du chef de ménage en 2006 Population totale IDF Population totale : 11,5 millions d'habitants dont 3-14 ans : 1,9 millions 15 ans et plus : 9,2 millions Source : Enquête Budget des ménages 2006 CREDOC - 8 avril 2010
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Nettement plus de BAC +4 en Ile de France qu’au niveau national
Diplôme du chef de ménage en 2006 Source : Enquête Budget des ménages 2006 CREDOC - 8 avril 2010
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Un peu plus de personnes seules en Ile de France
Type de ménage en 2006 Source : Enquête Budget des ménages 2006 CREDOC - 8 avril 2010
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Les franciliens dépensent moins en viande que les provinciaux
Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale 4 juin 2009 Les franciliens dépensent moins en viande que les provinciaux Poids des dépenses en types d’aliments selon l’origine géographique en 2006 De nouveaux éléments corroborent le temps consacré à la préparation ; les franciliens dépensent relativement plus pour les fruits, légumes et poissons qui sont des produits à très fort image santé. Poids de l’alimentation plus faible : 15,8% contre 17,6% Source : INSEE, enquête Budget des ménages 2006 CREDOC - 8 avril 2010 CERVIA Paris Ile-de-France
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Ils consomment surtout moins de charcuterie
Consommation en g/j chez les adultes Sous consommation Surconsommation Source : CRÉDOC, Enquête CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010
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Les enfants d'Île-de-France adeptes des ultra frais laitiers
Consommation en g/j chez les enfants Sous consommation Surconsommation Source : CRÉDOC, Enquête CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010
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Les générations vivent des évènements différents
1927 à 1936 72 à 81 ans 20 ans en 1952 Rationnement 1917 à 1926 82 à 91 ans 20 ans en 1942 Hypermarché 1947 à 1956 52 à 61 ans 20 ans en 1972 Réfrigérateur Robot électrique 1937 à 1946 62 à 71 ans 20 ans en 1962 Plateau repas 1977 à 1986 22 à 31 ans 20 ans en 2002 Aliments services 1957 à 1966 42 à 51 ans 20 ans en 1982 Low Cost 1967 à 1976 32 à 41 ans 20 ans en 1992 Génération 1987 à 1996 12 à 21 ans 20 ans en 2012 ? CREDOC - 8 avril 2010
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2,3 millions d’individus de plus dans la génération « Hypermarché» par rapport à la génération Robots -électriques Nombre d’individus à la naissance en milliers 10 000 7 539 7 616 8 513 8 241 8 210 5 874 7 364 5 800 5 000 Euro 10-19 ans Plateaux repas 20-29 ans Low cost 30-39 ans Aliments- Services 40-49 ans Hypermarché 50-59 ans Robots- Électrique 60-69 ans Réfrigérateur 70-79 ans Rationnement 80-89 ans -2,3 millions Ce n'est pas tant l'allongement de l'espérance de vie qui est à l'origine du phénomène du "papy-boum" que le vieillissement des classes pleines nées au lendemain-de la guerre. Pour savoir qui sont les "papy-boumeurs", il faut donc s'entendre : · sur leur génération d'appartenance, ce qui est simple, puisqu'elle correspond au "baby-boum" de l'après-guerre (à partir de 1946) ; mais ce qui se complique quand on veut lui fixer un terme : faut-il la faire durer jusqu'en 1975, date à laquelle les effectifs ont assez lourdement chuté ? ou bien, faut-il ne retenir que la première génération, correspondant en gros à celle de mai 68, qui a eu vingt ans lors des "événements" supposés correspondre avec une véritable "révolution culturelle" ? · sur la date d'entrée dans l'univers des "papy", qu'on ne saurait confondre avec l'entrée dans l'âge de la vieillesse ; cette date coïnciderait seulement avec l'arrivée d'une nouvelle génération, celle des petits-enfants, aux alentours de la cinquantaine aujourd'hui. C'est l'âge des aïeux qui constituerait un tournant de la vie (crise du milieu de vie !), puisqu'en devenant grands-parents, on prendrait un véritable coup de vieux en étant à la tête d'un lignage de trois générations. Symboliquement, cette date correspond avec la frontière des "seniors" (50 ans). Par conséquent, les "papy-boumeurs" s'inscrivent à la rencontre de la génération Mai 68 avec l'âge des "seniors" qui a débuté vers De façon approximative, on peut situer les enjeux en soulignant qu'on a affaire à une génération qui s'est voulue en rupture avec ses aînés (valorisant l'expérience personnelle et la tribu des pairs) et à une nouvelle étape de la vie (celle de la maturité). Exprimons-le autrement : il faut réfléchir à la façon dont les soixante-huitards sauront mûrir. Vont-ils se trahir, se laisser aller à la nostalgie ou faire une synthèse façon "Bobos" (bourgeois-bohémiens) ? Lorsqu'une classe pleine succède à une classe creuse, il s'ensuit un décalage susceptible de changer la donne. C'est de la simple arithmétique. Chaque fois qu'elle est arrivée à un nouvel âge de sa vie, la génération de Mai 68 s'est jugée "inattendue" ; ce fût le cas lorsqu'elle arriva dans le supérieur (en 1968, précisément), ce le sera peut-être pour ses retraites, avec le fameux "choc" de 2005 (année où les premiers "boumeurs" auront 60 ans). Plus prosaïquement, il n'est pas besoin d'être devin pour annoncer que dans la prochaine décennie, les ans augmenteront de 40 % ! Source : INSEE CREDOC - 8 avril 2010
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Un effet générationnel défavorable aux dépenses en alimentation (8% contre 20% dans la génération Pénurie) Effets d’âge et de génération sur le coefficient budgétaire des dépenses en alimentation et boissons non alcoolisées Source : Enquêtes Budget des Familles 1979, 1984, 1989, 1995, 2000, 2005 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 13-22 18-27 23-32 28-37 33-42 38-47 43-52 48-57 53-62 58-67 63-72 68-77 73-82 78-87 83-92 Génération Services ( ) Génération Rationnement ( ) ( ) Génération Pénurie Génération Réfrigérateur ( ) ( ) Génération Hypermarché ( ) Génération Low Cost Génération Internet ( ) Génération Robot Electrique ( ) 1979 1984 1989 1995 2000 2006 CREDOC - 8 avril 2010
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Des facteurs générationnels inéluctables
Effets d’âge et de génération sur les achats de fruits frais En euros 2000 par an par ménage Génération ALIMENT-SERVICES ( ) Génération REFRIGERATEUR ( ) Génération RATIONNEMENT ( ) Génération MAI 68 – Hypermarché ( ) Génération LOW COST ( ) Génération PLATEAU-REPAS ( ) Génération PRIVATIONS ( ) 500 1989 1979 1984 1995 2001 Génération ROBOT-ELECTRIQUE ( ) 450 400 350 300 250 200 150 100 50 13-22 18-27 23-32 28-37 33-42 38-47 43-52 48-57 53-62 58-67 63-72 68-77 73-82 78-87 83-92 Source : Enquêtes budget des ménages CREDOC - 8 avril 2010
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Des facteurs générationnels inéluctables sur la viande de bœuf et de veau
Génération REFRIGERATEUR ( ) Génération PLATEAU-REPAS ( ) Génération HYPERMARCHE Génération ALIMENTS SERVICES ( ) Génération PRIVATIONS ( ) Génération RATIONNEMENT ( ) Génération LOW COST ( ) 100 200 300 400 500 600 700 800 900 1000 13-22 18-27 23-32 28-37 33-42 38-47 43-52 48-57 53-62 58-67 63-72 68-77 73-82 78-87 83-92 Effet d’âge et de génération sur les dépenses en viandes de bœuf et de veau Euros 2000 par an par UC 1989 1979 1984 1995 2001 Génération ROBOT-ELECTRIQUE ( ) Source : Enquêtes Budget des ménages, INSEE CREDOC - 8 avril 2010
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Effet inverse sur les plats préparés
Effets d’âge et de génération sur les conserves et plats cuisinés à base de viande En euros 2000 par an par ménage Génération REFRIGERATEUR ( ) Génération HYPERMARCHES ( ) Génération RATIONNEMENT ( ) Génération ROBOT-ELECTRIQUE ( ) Génération ALIMENT-SERVICES ( ) Génération LOW COST ( ) Génération PRIVATIONS ( ) Génération PLATEAU-REPAS ( ) Source : Enquêtes Budget des ménages, INSEE CREDOC - 8 avril 2010
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Les jeunes générations dépensent de moins en moins pour les produits frais mais de plus en plus pour du transformé Structure de consommation comparée entre les générations « Plateaux repas » et « Robots électriques » Produits frais : 51% 26% Source : Enquêtes budget des ménages En prospective : baisse de tous les produits frais en faveur du transformé CREDOC - 8 avril 2010
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Alimentation en Ile de France Passé et perspectives
Perspectives de la consommation alimentaire en Ile de France Modes de consommation en Ile de France Offre en Ile de France et adéquation avec la consommation CREDOC - 8 avril 2010
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En Ile-de-France, plus de marchés et de magasins surgelés
Dans votre foyer, tous les combien fait-on les courses alimentaires ?" Toute réponse sauf "jamais" Base : Ménages (N=1203 en 2007) * : écart non significatif CREDOC - 8 avril 2010 Source : CRÉDOC, Enquête CCAF 2007
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Les Franciliens, plus adeptes de cuisine
Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale 4 juin 2009 Les Franciliens, plus adeptes de cuisine Chez vous, combien de temps dure la préparation d’un dîner en général ? En 2007 Base : Ménages (N=1203 en 2007) Les catégories aisées sont les plus attirées par la pratique de la cuisine. Les ménages qui disposent de hauts revenus (plus de euros par mois) ne sont que 30% à souhaiter faire le moins souvent possible la cuisine contre 37% en moyenne. Parallèlement, ils sont les moins nombreux à souhaiter que l’éducation alimentaire passe par l'apprentissage de la cuisine (seulement 34% des cadres et professions intellectuelles supérieures le souhaitent)). Tout se passe donc comme si les savoir faire étaient mieux conservés ou plus accessibles lorsqu’on a davantage de moyens financiers. Les catégories aisées sont celles qui ont pu accéder les premières aux cours privés de cuisine ainsi qu’aux sites internet d’échanges de recettes de cuisine en raison de la diffusion plus rapide, chez elles, des nouvelles technologies ories. Par contre, les titulaires de revenus modestes vivent la cuisine comme une corvée et souhaitent y passer le moins de temps possible. La perception d’une cuisine corvée est souvent associée aux activités qui lui sont liées telles que la vaisselle, les courses... Les diplômés du certificat d’études (50% contre 37% en moyenne), les pauvres (46%), les individus vivant seuls (50%) sont les plus nombreux à vouloir passer le moins de temps possible à faire la cuisine. Les peu diplômés sont aussi ceux qui souhaitent le plus des cours de cuisine à l’école (62% des titulaires du CEP, 55% des titulaires du BEPC). Ils reconnaissent leurs difficultés culinaires et sont prêts à apprendre. Enfin, les personnes qui vivent seules conçoivent elles aussi la cuisine comme une corvée parce qu’elles éprouvent moins de plaisir quand elles mangent en raison de leur solitude. Ainsi les franciliens, plus souvent aisés, déclarent prendre du temps pour cuisiner. Il est possible qu’étant plus pressé, il ne considère pas les temps de la même façon, peut-être intègre-t-il le temps de cuisson au temps de préparation d’un dîner. Sur les autres questions sur le temps passer à faire des plats de plus d’une heure, ou le fait de faire de la pâtisserie soi même, les écarts entre région parisienne et autres régions n’est pas significatif. Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010 CERVIA Paris Ile-de-France
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Sensibilité à la santé plus forte en Ile-de-France
Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale 4 juin 2009 Sensibilité à la santé plus forte en Ile-de-France Pensez-vous que la manière dont les personnes de votre foyer (y compris vous-même) mangent a une influence sur leur état de santé ? (Réponse « OUI ») Base : Ménages (N = 1203 individus) Pour tenir compte des exigences de santé, les franciliens privilégient plus souvent les viandes blanches, le poisson, les laitages, les produits frais Ce résultat explique la sur consommation de fruits, légumes en Ile de France. Elle conforte l’hypothèse que les franciliens ont beaucoup plus mémorisé les messages médicalisés Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010 CERVIA Paris Ile-de-France
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Livraison à domicile plus forte en Île-de-France
Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale 4 juin 2009 Livraison à domicile plus forte en Île-de-France Vous arrive-t-il de vous faire livrer des repas tout prêts à votre domicile? (au moins rarement) en 2007 Base : Ménages (N=1203 en 2007) Ils se font livrer des repas … ils combinent donc des soirs où ils passent du temps et d’autres soirs où ils ne préparent rien !! CREDOC - 8 avril 2010 Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CERVIA Paris Ile-de-France
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Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale
4 juin 2009 Les Franciliens prennent plus souvent leurs repas à l'extérieur en semaine Fréquence de repas pris à l’extérieur en 2007 Base : Adultes (N=2352 en 2007) Plus actifs et plus cadres ils utilisent plus souvent la RHF Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010 CERVIA Paris Ile-de-France
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Les bons vivants (19%) Les Apéritivores (3%) 35-54 ans 55-64 ans
Alcool, charcuteries, fromage, Pain, PdT, viandes Aliments riches Les bons vivants (19%) Les Apéritivores (3%) 35-54 ans Fruits, légumes, sauces, boissons chaudes matières grasses, soupes, poissons BRSA, CPPD, sandwichs, Pizzas, plats composés Aliments traditionnels Aliments modernes 55-64 ans +65 ans Les destructurés alimentaires (25%) 25-34 ans Les gastronomes à la française (44%) 15-24 ans Les globalisés (9%) Eaux, UFL, riz, lait produits sucrés Aliments pauvres énergétiquement Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010
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Des types de consommateurs très liés au cycle de vie
Dossier de presse Colloque Nourrir la Région Capitale 4 juin 2009 Des types de consommateurs très liés au cycle de vie Caractéristiques sociodémographiques des types de franciliens Les destructurés alimentaires 25% Les gastronomes à la française 44% Les bons vivants - 19% Jeunes de 15 à 35 ans Familles monoparentales ou nombreuses Comportements alimentaires hors normes Alimentation très riche Femmes, plus de 50 ans ,seule Prennent le temps de manger Attention portée à la qualité des aliments Alimentation diversifiée et peu énergétique Hommes, entre 35 et 55 ans Alimentation riche Qui aime être rassasié Les Apéritivores - 3% Mariés ou en ménage , avec des enfants Prise de repas à heures fixes Alimentation riche Les globalisés - 9% Jeunes de 15 à 24 ans , ou couples avec enfants Consommation de produits laitiers et céréales Source : CREDOC, enquête CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010 CERVIA Paris Ile-de-France
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Moins de bons vivants et plus de gastronomes « à la française» en Ile-de-France
Comparaison des classes de consommateurs selon leur origine géographique Source : CREDOC, enquête CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010
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Très forte perte de confiance dans les marques au profit des labels…
« Voici plusieurs raisons d’acheter des produits de consommation. Pour chacune d’entre elles, dites-moi si elle vous incite personnellement (beaucoup, assez, un peu, pas du tout) à acheter un produit. » Réponses « beaucoup + assez » Source : CRÉDOC, enquêtes consommation CREDOC - 8 avril 2010
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enquêtes consommation
Recherche de sens « Voici plusieurs raisons d’acheter des produits de consommation. Pour chacune d’entre elles, dites-moi si elle vous incite personnellement (beaucoup, assez, un peu, pas du tout) à acheter un produit. » Réponses « beaucoup + assez » Garanties écologiques Entreprise respectant droit salariés Produit fabriqué en région Cause humanitaire enquêtes consommation Source : CRÉDOC, CREDOC - 8 avril 2010
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Des franciliens attentifs à leur santé quand ils mangent
Malgré une sur représentation des cadres et de jeunes en région parisienne : Les franciliens ne consomment pas plus de produits tout prêts (exceptés les légumes en conserves); Ils utilisent plus de services : restaurants, livraison à domicile; Mais consomment plus de fruits, légumes et poisson et consacrent plus de temps à faire la cuisine Ils sont en réalité plus sensibles aux messages nutritionnels Une plus grande part de la population francilienne (44% contre 38%) adopte un modèle alimentaire gastronomique à la française. CREDOC - 8 avril 2010
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Alimentation en Ile de France Passé et perspectives
Perspectives de la consommation alimentaire en Ile de France Modes de consommation en Ile de France Offre en Ile de France et adéquation avec la consommation CREDOC - 8 avril 2010
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L‘Île-de-France, une région agricole…
Région IDF : ha SAU en IDF : ha Répartition des terres agricoles en France et en IDF Source : AGRESTE Terres arables : ensemble comprenant les terres labourables ( les superficies en céréales, oléagineux, protéagineux, betteraves industrielles, plantes textiles, médicinales et à parfum, pommes de terre, légumes frais et secs de plein champ, cultures fourragères, ainsi que les jachères) et les terres en cultures maraîchères et florales et les jardins familiaux des exploitants. CREDOC - 8 avril 2010
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Moins de 1% de l’élevage français en moyenne et aucun abattoir
Peu d’élevage en Île-de-France… mais une stabilisation du cheptel depuis 20 ans Composition du cheptel en Île-de-France en 2007, en tête de bétail Moins de 1% de l’élevage français en moyenne et aucun abattoir Élevage de bovins en 2008 : têtes CREDOC - 8 avril 2010
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L’approvisionnement des franciliens en viande
Abattage hors IdF (abattoirs en voie de disparition en IdF, sauf hallal) Marché de RUNGIS Marchés et détaillants Consommateurs t (toutes viandes) t / 16,8% Transformation possible en IdF 105 découpeurs Centrale achat GMS GMS Pour mémoire viande de bœuf produite en IDF 252 t Conso. IDF t Appro. IDF 0,25% / 67,3%% Centrale achat RHF RHF / 15,9% Sources : estimations CREDOC retraitement CCAF 2007, données Secodip ConsoScan au niveau national retraitées CREDOC - 8 avril 2010
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Les moulins franciliens approvisionnés par les champs d’Ile-de-France.
Production Blé tendre IDF t Blé tendre panifiable estimé : 90% soit 1,6 M t Hors IDF Boulangerie artisanale 49% ( t) Boulangerie industrielle 14% ( t) Utilisations diverses 37% ( t) Utilisation totale IDF : t Blé tendre panifiable utilisé en IDF t 17 moulins t de farine Sachets de farine Animaux GMS Farine utilisée Dpts limitrophes et Province t Farine produite hors IDF t Farine utilisée en IDF t soit 39% 40% CREDOC - 8 avril 2010
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Légumes: production comparée à la consommation en Ile-de-France
Production en IdF, en milliers de tonnes, comparée à la consommation totale (population : 3 ans et plus) Source : CRÉDOC, Enquêtes CCAF 2007 CREDOC - 8 avril 2010
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Les circuits de distribution des fruits et légumes franciliens
Carreau des producteurs de RUNGIS* : t. 16% GMS RHD Production IDF t Centrale achat GMS Centrale achat RHF Détaillants Hors IDF Source : * Carreau des producteurs de Rungis Marché IDF Vente directe, « circuits courts » t. 25 % Ventes directes : 5000 ménages / 120 groupes de consommateurs en AMAP CREDOC - 8 avril 2010
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La surface nécessaire pour les fruits et légumes produits et consommés en Île-de-France
Production 2007 IDF, en t. Part théorique de la consommation IDF par la production IDF Surface cultivée en IDF (ha) Surface nécessaire à la consommation francilienne Part de la surface agricole utile francilienne* Total salade 37 988 86% 1 595 1 711 0,3% Oignons (blancs et couleurs) 22 711 348% 720 207 0,03% Radis 3 313 42,8% 221 516 0,1% Persil 11 922 14 600% 266 2 Poires (automne et printemps) 5 185 21,9% 307 1 390 0,25% Pommes 11 801 5,4% 554 10 854 1,9% Source : Agreste, calculs CREDOC * SAU IDF = ha CREDOC - 8 avril 2010
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L’arrivage en fruits à Rungis : 71% d’importation
Arrivages sur le Marché de Rungis en fruits en 2008, en tonnes tonnes, (2 400 t en IdF) Pommes et poires, seuls fruits représentatifs d’IDF Source : SEMMARIS CREDOC - 8 avril 2010
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Le cœur de l’approvisionnement du frais: Rungis
Bassin d’approvisionnement : 18 millions de personnes, dont 12 millions de Franciliens 66% des produits arrivant à Rungis sont consommés en IDF Arrivage complet : 1,56 M t Soit 1 M t pour l’Ile de France Consommation totale en Ile-de-France en produits frais Poissons et crustacés : t Viandes : t Fruits : t Légumes : t Total : t CREDOC - 8 avril 2010 Source : CREDOC - enquête CCAF / SEMMARIS
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Solde négatif pour l’agroalimentaire francilien
Importations et exportations en 2008, en M€ Solde négatif Produits agricoles : M€ IAA : M€ Source : Ministère du Budget - DGDDI CREDOC - 8 avril 2010
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Synthèse Les franciliens consomment particulièrement plus de fruits, légumes et poissons. L’Ile de France est une région agricole (48% de sa surface) … … mais essentiellement céréalière, dont 40% de la production de blé tendre sont destinés à la consommation francilienne. En dehors de la production de salade, les productions maraîchères et fruitières ne peuvent répondre à la forte demande francilienne, en particulier de fruits ne pouvant y être cultivés (agrumes, exotiques). L’Ile de France est fortement importatrice de produits IAA et de produits agricoles. Les flux des importations de produits frais passent par Rungis mais les produits transformés, qui sont de plus en plus consommés, transitent par les centrales des GMS. CREDOC - 8 avril 2010
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