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Mercredi 29 septembre 2010 St Quentin 2. Quelle est la place du PPRE aujourd’hui et comment le positionner au service de l’élève?

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Présentation au sujet: "Mercredi 29 septembre 2010 St Quentin 2. Quelle est la place du PPRE aujourd’hui et comment le positionner au service de l’élève?"— Transcription de la présentation:

1 Mercredi 29 septembre 2010 St Quentin 2

2 Quelle est la place du PPRE aujourd’hui et comment le positionner au service de l’élève?

3 1 er temps – 1 h Résultats d’analyse des PPRE 2009-2010 Les difficultés comportementales Les difficultés d’apprentissage Le formulaire PPRE 2 ème temps – 2 h Travail en équipe pédagogique - La formalisation du PPRE - Adaptation du formulaire

4 Analyse des 108 PPRE des élèves de CP de la circonscription pris en charge par le RASED à partir de janvier 2010. Nous nous attacherons uniquement aux parties diagnostics et objectifs.

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8 Le PPRE est formalisé car il conditionne une prise en charge RASED Les élèves ayant des difficultés diverses sont regroupés sur un même objectif d’apprentissage Il y a confusion entre difficultés et objectifs d’apprentissage Le PPRE ne sert pas vraiment l’élève Le PPRE est considéré comme une tâche administrative

9 L’élève devra très souvent s’adapter La tendance est à l’apport de solutions avant même d’avoir essayé d’analyser les difficultés et leurs origines. L’apport de solutions est celui qui correspond aux représentations, aux possibilités de l’enseignant.

10 Dans une perspective historique, l’enseignant a été formé à la transmission des savoirs et non à l’analyse et à la pose d’un diagnostic pour des difficultés d’apprentissage souvent multi factorielles et donc très difficile à analyser. Un élève en difficulté = Un enseignant en difficulté

11 Des difficultés multifactorielles d’origines : Médicales Comportementales Cognitives (Se cumulant, se superposant, les unes étant souvent les conséquences des autres).

12 Ne fait pas attention aux détails et commet des erreurs grossières. Eprouve souvent de la difficulté à maintenir son attention sur un travail ou un jeu. A souvent l’air de ne pas écouter ce qu’on lui dit. A souvent des difficultés à organiser son travail. Evite souvent de s’engager dans des tâches qui exigent un niveau soutenu d’efforts intellectuels. Est facilement distrait par un stimuli extérieur. Oublie souvent des choses lors d’activités quotidiennes.

13 Gigote, se tortille et se bascule sur sa chaise A de la difficulté à jouer en silence Parle souvent Se met en danger physique par inconscience

14 Se précipite pour répondre aux questions avant que l’on ait fini de la poser. A des difficultés à attendre son tour. Interrompt et dérange les autres. Fait irruption dans les conversations.

15 Les difficultés comportementales Inattention Hyperactivité Impulsivité Inattention Hyperactivité Impulsivité Origines médicales Origines environnementales Origines scolaires Origines scolaires

16 Cibler précisément la difficulté Connaître les antécédents/le parcours de l’élève S’entretenir avec l’élève S’entretenir avec la famille Déterminer des priorités et des objectifs adaptés Gérer souplement la durée quotidienne de travail contractualiser Pratiquer quotidiennement l’EPS Respecter et encourager avec bienveillance Accepter une amélioration lente et spiralaire

17 Exemple : Un élève a du mal à retrouver un mot identique à un mot dans une liste

18 Selon ses observations, l’enseignant choisira : – d’organiser des temps d’apprentissage dédiés à la maîtrise des procédures de mise en ordre et de comparaison (analyse précise du modèle, analyse lettre après lettre, mot à mot, etc.) ; – de proposer des gammes d’exercices visant à une discrimination visuelle fine et à une identification de l’unité lettre ; – de lier étroitement écriture et reconnaissance de mots – si l’enfant a compris le rôle du modèle et s’il l’a bien observé ; – s’il sait organiser son travail pour faire une étude exhaustive de tous les mots, en particulier si la liste n’est écrite ni en ligne ni en colonne ; – s’il ne s’appuie que sur les premières lettres des mots et ne va pas jusqu’au bout de la comparaison ; – si l’enfant a compris le rôle du modèle et s’il l’a bien observé ; – s’il sait organiser son travail pour faire une étude exhaustive de tous les mots, en particulier si la liste n’est écrite ni en ligne ni en colonne ; – s’il ne s’appuie que sur les premières lettres des mots et ne va pas jusqu’au bout de la comparaison ; – s’il distingue les lettres qui ont de fortes similitudes graphiques (u/n, b/d, n/m…) – s’il est attentif à l’ordre des lettres ; – si ses erreurs sont ponctuelles ou systématiques, si elles existent de la même manière selon que les mots sont donnés en script ou en cursive… – s’il distingue les lettres qui ont de fortes similitudes graphiques (u/n, b/d, n/m…) – s’il est attentif à l’ordre des lettres ; – si ses erreurs sont ponctuelles ou systématiques, si elles existent de la même manière selon que les mots sont donnés en script ou en cursive… L’enseignant cherchera à vérifier … Procédures de comparaisonProcédures de lecture

19 La maîtrise didactique Lire au CP programme 2008 – Edition Mars 2010 La maîtrise pédagogie L’organisation et la gestion des apprentissages Le travail en équipe La communication et l’approche pluridisciplinaire

20 Texte de référence : La loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école – Avril 2005 La circulaire n°2006-138 paru au BO n° 31 du 31 août 2006 sur les PPRE « Le programme personnalisé de réussite éducative consiste en un plan coordonné d’actions, conçues pour répondre aux difficultés d’un élève, formalisé dans un document qui en précise les objectifs, les modalités, les échéances et les modes d’évaluation. Il est élaboré par l’équipe pédagogique et discuté avec les parents. Il est également présenté à l’élève qui doit en comprendre la finalité pour s’engager avec confiance dans le travail qui lui est demandé. »


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