L’animal que je préfère Par Patricia Le Douget

Présentation au sujet: "L’animal que je préfère Par Patricia Le Douget"— Transcription de la présentation:

1 L’animal que je préfère Par Patricia Le Douget
Le castor L’animal que je préfère Par Patricia Le Douget

2 Un animal très recherché
Le castor du Canada est la première richesse naturelle que les Européens ont exploitée en sol canadien. Sa peau était tellement prisée qu’elle servait de monnaie d'échange.

3 Son lieu de vie On trouve le Castor Au Nord du continent américain et en Europe (où il a été réimplanté). Le domaine vital est de dimensions variables selon les lieux : long et étroit autour des rivières (jusqu’ à m), bien plus large autour des lacs. La dimension du domaine vital dépend aussi de l’abondance de la végétation ligneuse. La densité de la population varie de 1 à 1,52 individu par km² en plaine et autour des lacs de 2,83 à 22/ha. Le long d’une rivière, une famille peut occuper 500 m de berges (habitat riche) ou 5,5 km (habitat pauvre).

4 Ses principales caractéristiques
Description Alimentation Reproduction Protection Large queue plate recouverte d’écailles. Elle lui sert de gouvernail quand il nage. Pattes palmées à l’arrière qui lui servent pour nager, il est très pataud sur terre. Des valves ferment ses oreilles et ses narines quand il plonge, une membrane transparente protège ses yeux. Herbivore Ces rongeurs se servent du bois pour se nourrir, car ils mangent l’écorce et le bois lui-même. Ils emmagasinent des bûches et des branches dans l’eau, près de leurs demeures. En hiver, les castors passent leur temps à l’intérieur de leur hutte, ils n’en sortent que pour aller se ravitailler à leur tas de bois. Une famille de castors se compose des deux parents, des jeunes d’un an et des jeunes de l’année. C’est à l’âge de deux ans que les jeunes quittent le lieu familial. L’accouplement a lieu dans l’eau entre décembre et avril. La gestation dure de 100 à 128 jours. Une portée peut compter de 1 à 4 jeunes. Les hommes, grands amateurs de fourrures, ont tué beaucoup trop de castors, décimant ces jolis animaux qui pourtant leur sont fort utiles. En construisant leurs digues, qui retiennent les eaux, ils préviennent les inondations et empêchent ainsi les terres cultivables d’être emportées par le courant.

5 Ses constructions Ils bâtissent leurs demeures dans des eaux douces dont ils barrent le cours par une digue. Leurs huttes se trouvent donc dans une sorte de mare où habitent parfois 25 à 30 castors. Ces animaux édifient leur digue par équipes : ils empilent des souches, des troncs et des branches, puis les alourdissent en les chargeant de pierres et les solidifient avec de la boue. Et contrairement à ce que l’on croit, ils ne se servent pas de leur queue comme truelle pour disposer la boue sur leur barrage et leur hutte. Ils accomplissent ce travail avec leurs pattes avant et leur museau.

6 Le cri du castor Clique ici.