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Publié parÉtienne Gaudet Modifié depuis plus de 9 années
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Impulsion électrique provoque la mise à feu de la charge 3 et la bille 4 change de position pour bloquer le passage d’air de 1 à 2
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Mise sous tension, la bobine 1 fait descendre l’armature 2
Mise sous tension, la bobine 1 fait descendre l’armature 2 . L’air comprimé va de l’orifice du bas à a. Quand 1 n’est plus sous tension, le canal a communique avec d
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Palier 1 rempli de liquide
Palier 1 rempli de liquide. Quand le liquide chauffe, il se dilate, le soufflet 2 se distend, le levier 3 tourne et ferme le contact 4, qui envoie le signal de surchauffe.
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Quand le bilame 1 chauffe, il se courbe et les contacts a sont coupés => le courant ne passe plus de 2 à 3
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Excitation du solénoïde => attraction du noyau 2 vers la gauche et du piston 4 qui déplace dans le cylindre 5 rempli d’un fluide visqueux => la fermeture des contacts a se ferment au bout d’un certain temps.
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L’air comprimé arrive par le canal 2, qui fait fléchir la membrane 3, qui comprime les plaques de quartz 4. Une charge apparaît sur 4, qui permet de mesurer la pression
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La touche 1 permet de mesurer la pièce à contrôler a
La touche 1 permet de mesurer la pièce à contrôler a. la plaque mobile 3 bouge en fonction de la hauteur de la pièce a. La variation de la capacité 2-3 permet de mesurer a
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Les vibrations du boîtier 4 => un mouvement de la masse 3 et une variation de la distance entre les armatures 1-2 d’un condensateur
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En faisant tourner 1, on fait varier la capacité du capteur constitué par les plaques 1 et 2
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On colle l’extensomètre sur la pièce
On colle l’extensomètre sur la pièce. Les déformations de la pièce sont mesurées par les variations de résistance du fil 1.
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Les déformations de la bague 1 sont mesurées avec un pont de Wheastone
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La pression p est mesurée par la charge induite dans les plaques de quartz 2
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Quand on augmente la pression sur la lame-ressort 1, le levier 2 tourne, la roue 4 tourne aussi avec le curseur 5 du rhéostat 6. Les variations de résistance du rhéostat permettent d’évaluer l’effort exercé sur la lame 1
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Les variations de dimension de la pièce 1 sont mesurées mécaniquement par l’aiguille d. Si la pièce est trop petite, le levier 3 ferme le contact 4, si elle est trop grande, elle ferme le contact 6.
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L’arbre à contrôler fait tourner le rotor 1, son enroulement développe une fem proportionnelle au nombre de tours (?). Angle de déviation de l’induit 2 mesure la vitesse du rotor 1.
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Quand le disque 1 tourne, le faisceau lumineux en provenance de la source 2 est interrompu par les dents du disque, la fréquence des pulsations reçues par la cellule 3 mesure la vitesse de rotation de 1.
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Quand le disque 2 tourne trop vite, la masselotte a s’écarte avec l’effet centrifuge, Ca ouvre le contact b en déconnectant le système de mise en rotation.
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Arbre menant A. Attiré par l’électro aimant 2, l’armature 1 se plaque contre la bague de friction 3 qui entraîne l’arbre mené B.
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Parcouru par le courant, l’enroulement du solénoïde fait remonter le noyau 2 => le disque 3 est arrêté en rotation. Quand il n’y a plus de courant, le noyau 2 retombe et bloque le disque 3 en rotation.
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Quand on appuie sur 1, l’électroaimant attire l’armature 3 et le marteau a vient frapper le timbre b. pendant le déplacement de 3, le contact A est coupé => l’électroaimant n’est plus alimenté laisse revenir le contact 3 sous l’action du ressort 4. Donc, quand le bouton 1 est enfoncé, le contact 3 fait des allers retours et la sonnette vibre
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Les bobines 1 étant aimantées alternativement, le noyau 2 effectue un mouvement rectiligne alternatif
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La variation de l’espace entre l’outil de coupe 1 et la pièce à usiner 2 fait changer l’éclairement de la cellule 3 par la source lumineuse 4. (pour faire le passage de l’approche rapide de l’outil 1 à l’avance de travail)
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Palette 2 ferme ou ouvre le contact
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Quand l’électroaimant 1 est mis sous tension, le levier 2 bascule et les contacts c deviennent fermés. Quand on désalimente l’électroaimant, on revient dans la position de la figure.
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Quand il s’échauffe, le bilame 1 se courbe => le levier 2 ferme les contacts 3
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L’électroaimant 1 attire la membrane 2 qui ferme le contact 5.
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Quand l’électroaimant 1 est alimenté, le disque 2 ferme le contact 5
Quand l’électroaimant 1 est alimenté, le disque 2 ferme le contact 5. La rotation est freinée par le ressort 4 et par l’aimant permanent 6.
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Quand les 2 faces de a ne sont pas parallèles
Quand les 2 faces de a ne sont pas parallèles. l’un des deux contacts 2 se trouve fermé
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La pièce a tourne. Si elle est ovalisée, le tenon 4 touche l’un des contacts b qui envoie le signal « pièces défectueuses »
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Pièce à contrôler a avec deux touches 1 et 2
Pièce à contrôler a avec deux touches 1 et 2. Si face 1-2 non parallèle à la face inférieure , les lames-ressorts se courbent et ferment l'un des contacts 5.
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Si la pièce a est trop petite, le contact c touche le contact supérieur 4. Si la pièce est trop grande, le contact c touche le contact inférieur 5
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Si la pièce a est très grande, les contacts 6 et 5 sont fermés, le contact 4 est ouvert. Si elle est un peu plus petite, 6 fermé, 4 fermé, 5 ouvert. Si elle est encore plus petite, 6 et 5 ouverts, 4 fermé.
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Quand on ferme l'interrupteur 1, la bobine de l'électroaimant 2 attire l'armature 3, dont l'encoche a verrouille la manivelle 4. Quand on ouvre l'interrupteur 1, le ressort 5 ramène 3 en position initiale et déverrouille la manivelle 4.
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Quand on pose le combiné téléphonique sur 1, la partie a écarte la plaque 2 et l'applique sur le contact 4
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Quand le disque 1 tourne, les galets 2 agissent sur le tenon a du levier 3. les contacts 4 s'ouvrent donc et se ferment pendant la rotation de 1.
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Quand la pièce a est trop petite, le contact 5 se ferme
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Même chose que précédemment sauf qu'on détecte les pièces trop grandes et trop petites avec les contacts 5
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Quand le niveau de liquide change, le flotteur 3 monte ou descend, ce qui fait tourner la vis 4, qui fait avancer l'écrou 5 lié au rhéostat. L'intensité dans l'ampèremètre 7 permet de mesurer le niveau dans la cuve 2.
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Quand la pression monte dans le cylindre d, la crémaillère 2 descend, le contact 5 monte et coupe l'alimentation du système d'admission du gaz dans le cylindre d
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L'électroaimant 1 attire périodiquement le levier 2 qui fait tourner la roue 4 par l'intermédiaire du cliquet 3 et remonte un ressort spiral non représenté. L'électroaimant 5 est alimenté péridiodiquement, le levier 6 fait office d'ancre
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Quand l'électroaimant 1 est alimenté, le cliquet 3 fait avancer la crémaillère 4, Le contre cliquet 6 s'oppose au mouvement de la crémaillère 4 vers la droite.
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Déplacement du flotteur 1 transmis au curseur 6 du potentiomètre par l'intermédiaire des éléments 2, 3, 4
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Le corps 1 est plongé dans un courant de liquide dont on veut connaître le débit. Force sur 1 proportionnel au carré de la vitesse (pourquoi?) => écrasement du ressort 2 et mouvement du noyau 3 proportionnel au débit (enregistré par l'appareil 6)
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La pression dans le tube manométrique 1 fait bouger le point D et fait tourner le secteur denté 3 autour de A => l'aiguille 5 tourne devant les contacts électriques 6
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Air comprimé arrive dans les gicleurs 1 et 2. Etrangleur 4 réglable
Air comprimé arrive dans les gicleurs 1 et 2. Etrangleur 4 réglable. Quand les pièce est dans les tolérances, les contacts 7 et 8 sont ouverts. Quand elle est hors tolérances, un des deux contacts se ferme, un électroaimant met la pièce au rebut.
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L'air comprimé arrive par le tube 1
L'air comprimé arrive par le tube 1. La largeur a entre la tête de mesure et la pièce 7, fait varier le débit, la température dans la résistance 3, qui fait partie d'un pont de Wheatstone. On mesure a avec le galvanomètre 5.
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La touche 2 mesure pièce 1. 4 dispositifs : pneumatique (3), électrique (4), optique (5) , inductif (6)
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