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Prof. Andreas Ladner Master pmp automne 2015

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Présentation au sujet: "Prof. Andreas Ladner Master pmp automne 2015"— Transcription de la présentation:

1 Prof. Andreas Ladner Master pmp automne 2015
Politique et Institutions 1.1 L’Etat suisse: origine et développement du système politique Prof. Andreas Ladner Master pmp automne 2015

2 Das Motto des Künstlers Ben Vautiers für die Weltausstellung 1992 in Sevilla

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4 François Walter (2011). La Suisse. Au-delà du paysage. Gallimard.

5 2015: 1315 – (1415) – 1515 – 1815

6 «Historikersstreit und Alpenanarchismus»

7 Aperçu historique Du pacte du Grütli à la Suisse des treize cantons ( ) La République helvétique ( ), Médiation, Restauration et Régénération ( ) La Suisse moderne naît de la guerre du « Sonderbund » (1847) D'une Confédération d'Etats à un Etat fédéral La Constitution fédérale de 1848: un compromis entre vainqueurs et vaincus Les signes de ce compromis: bicamérisme parfait, principe de subsidiarité, règle de la double majorité La Constitution de 1874: le référendum, une arme forte dans les mains des cantons fédéralistes "L'unité dans la diversité" ou la contribution du fédéralisme à l'affirmation d'une identité nationale 1891: initiative populaire, 1er août, le premier conseiller PDC L‘Etat suisse est né après le double effondrement de l‘ancienne confédération en 1798 et 1848. La Confédération = un mal nécessaire avec lequel on est amené à faire des compromis L'Etat unitaire de la République helvétique entraîna une rupture brutale avec le passé. Il ne laissait aucune autonomie ni aux cantons, qui jouaient le même rôle qu'un département français, ni aux communes. Son centralisme rigide ne lui survécut pas. En revanche, quelques-uns des postulats fondamentaux portés par les révolutions américaine et française entreront dès 1830 dans les constitutions cantonales de la Régénération et en 1848 dans la Constitution fédérale: souveraineté populaire, liberté, égalité, démocratie, séparation des pouvoirs, constitution écrite. Sous la Médiation , chacun des dix-neuf cantons envoyait à la Diète, selon l' acte de Médiation (1803), un délégué, voire deux pour les six cantons les plus peuplés (Berne, Zurich, Vaud, Saint-Gall, Argovie et - en raison d'une erreur de recensement - les Grisons). Les délégués étaient munis d'instructions et les décisions se prenaient ad referendum, mais dans la pratique le principe de la majorité simple tendit à s'imposer, et celui de la majorité des trois quarts dans les questions d'alliances, de guerre et de paix. Présidée à tour de rôle par les cantons directeurs de Fribourg, Berne, Bâle, Zurich, Lucerne et Soleure, la Diète organisa les levées de troupes pour la France et les interventions militaires lors de troubles intérieurs. En 1813, la Diète réunie à Zurich prononça sa dissolution, mais le landamman Hans von Reinhard la rappela sous le nom d'Assemblée fédérale. Les délégués présents de dix anciens cantons abolirent l'acte de Médiation, mais garantirent l'existence des nouveaux cantons. En revanche, Berne, Lucerne, Fribourg, Soleure, Uri, Schwytz, Unterwald et Zoug convoquèrent une Diète conservatrice à Lucerne, qui sera dissoute sur l'intervention des puissances alliées

8 1291: L’ancienne Confédération
1804

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10 „Some cantons were more equal“
13 Kantone Zugewandte Orte: GE, GR, VS, NE Untertanengebiete: VD, AG, TG TI

11 Fin de la Confédération – République helvétique
Oligarchie et exploitation Insurrections des sujets Les idées du "siècle des Lumières" (Diderot, Voltaire, Rousseau) – Sociétés d’Etat bourgeois La Révolution française 1789 Entrée des troupes napoléoniennes (25 Jan. 1798) Le 4 avril 1798, toutes les entités sujettes sont dissolues. Le 12 avril, la République Helvétique unitaire est proclamée. Hatten die alten Orte zunächst erfolgreich für die Befreiung von feudalistischer Herrschaft gekämpft, so hinderte sie das später nicht daran, sich selbst Untertanengebiete anzueignen und diese auszubeuten (Linder 1999: 27). Frei war die Alte Eidgenossenschaft vor allem gegen aussen (vgl. Kreis 1986), frei von fremden Herrschern. Eine innere Freiheit im heutigen Sinne gab es nicht. Keine Versammlungsfreiheit, keine Niederlassungs- und Gewerbefreiheit und keine Pressefreiheit. Das politische Mitbestimmungsrecht war in den meisten Orten auf eine dünne Oberschicht beschränkt. Die regierenden Familien der 13 Stadt- und Landorte geboten in den meisten Fällen über zwei bis drei Arten von Untertanenlanden. Über das eigene Territorium, über die im Turnus verwalteten gemeinen Herrschaften (Thurgau, Aargau) und über die eroberten oder gekauften Untertanengebiete (Leventina, Werdenberg). Ca. 90 Prozent der Bevölkerung lebte damals auf dem Land und in engster Abhängigkeit von den kantonalen Hauptorten. Immer wieder kam es zu Untertanenrevolten. In der Regel waren es Kaufleute, Wirtsleute, lokale Amtsleute der ländlichen Oberschicht. Die Tauner (Taglöhner) waren erst später dabei. Die Anführer wurde teilweise hingerichtet, teilweise eingesperrt. Die Aufklärung und die Französische Revolution zeigte auch in der Schweiz Ergebnisse. Man las Diderot, Voltaire und Rousseau 1770 findet man über das ganze Gebiet der Eidgenossenschaft verstreut Debattierklubs, Lesezirkel, patriotische Gesellschaften, Freimauererlogen, ökonomische und gemeinnützige Gesellschaften. Hier verschmolzen die alten Forderungen nach regionaler Autonomie und die Neue Lehre von der natürlichen Gleichheit. 1789 französische Revolution, Beschlüsse der Nationalversammlung vom 4. August. Beseitigung der alten Feudalordnung Abschaffung der Leibeigenschaft Aufhebung der Herrenrechte Beseitigung der gutsherrlichen Gerichtsbarkeit Teilweise Aufhebung des Zehnten Aufhebung der Privilegien für Adel und Klerus Gleichheit bei der Steuerpflicht In der Westschweiz war die Ausstrahlung der französischen Revolution besonders gross, vor allem in der Waadt, was den gnädigen Herren von Bern gar nicht gefiel. In der Deutschschweiz kam es zum Aufstand von Stäfa (Petition, Strafen, Begnadigung der Aufständischen als die französischen Truppen an der Grenze standen) Der Einmarsch der Franzosen (25. Jan. 1798) wurde in den Untertanengebieten teilweise freudig aufgenommen (Waadt, Basel). Freiheitsbäume Am 4. April 1798 gab es in der Schweiz keine Untertanengebiete mehr. Die Kantone wählten die Vertreter für die gesamtschweizerischen Kammern, den Senat und den Grossen Rat. Am 12. April wurde der neue Staat, die eine und unteilbare Helvetische Republik propagiert.

12 French troupes invaded Switzerland and proclaimed the Helvetic Republic (1798-1803)

13 La République helvétique (1798-1802)
L'occupation française modifie radicalement le paysage politique suisse, avec l'instauration d'une "République helvétique" unitaire. Ce bouleversement entraîne des luttes internes entre unitaires, favorables à la centralisation, et fédéralistes, qui réclament un retour à la souveraineté des cantons. Mit dem Diktat Napoleons werden die Kantone zu einer Republik nach dem Muster der franz. Direktoralverfassung. z. B.: Die Bezirksvertreter nahmen an den Gemeindeversammlungen teil. Erreicht wurde die Gleichstellung der Kantone. Es gelang allerdings nicht, die Kantone zu einer homogenen Helvetischen Republik zusammen zu ziehen.

14 La « République helvétique une et indivisible », sur le modèle de la Constitution française, qui prévoit une nouvelle organisation politique, l'abolition des droits féodaux et l'introduction de certaines libertés (de culte, de la presse ou de la propriété par exemple). Les cantons ne deviennent que de simples unités administratives dirigées par un préfet sur le modèle des départements français. Le pouvoir central reçoit, de par la constitution, de grandes responsabilités avec en particulier, l'unification des poids et des mesures, des lois, de l'armée et de la monnaie.

15 1803 Après plusieurs coups d'État et dans un climat de guerre civile, Napoléon promulgue une nouvelle Constitution, dite "Acte de médiation", par laquelle les cantons retrouvent leurs droits. Six nouveaux cantons viennent s'ajouter aux treize premiers: l'Argovie, la Thurgovie, le Tessin et Vaud (anciens pays sujets), ainsi que les Grisons et St-Gall (anciens alliés). Les douanes qui existaient entre les cantons avant 1798 ne sont pas rétablies mais remplacées par des péages. Le franc suisse est confirmé comme monnaie officielle du pays, mais chaque canton garde sa propre monnaie. L'organe directeur du pays redevient la Diète fédérale, qui se réunit normalement une fois par an au chef-lieu du canton directeur qui change chaque année.

16 Avec la chute de la médiation qui précède celle de son médiateur en avril 1814, la Suisse retrouve son indépendance et quitte la sphère de domination française.

17 1814: Trois nouveaux cantons rejoignent la Confédération helvétique: Genève, le Valais et Neuchâtel.
Ende der Helvetik. 1803: Auf Geheiss Napoleons kommen die Mediationsakte zustande, welche die gliedstaatliche Autonomie der Kantone wieder herstellt. Vgl. TG, AG, GR, SG, TI und VD, welche unlängst ihr „200 jähriges Bestehen“ feierten.

18 1815: Le Congrès de Vienne fait de la Suisse une "Confédération d'États", tout en reconnaissant sa neutralité perpétuelle In Wien wird über die Zukunft Europas beraten. Der Schweiz wird die Gewährleistung der immerwährende Neutralität in Aussicht gestellt, die Grossmächte waren bei Ihrer Suche nach stabilen Verhältnissen im nachrevolutionären Europa nicht unfroh über eine neutrale Zone in der Mitte Europas Veltlin, Bormio und Chiavenna gehen verloren. Die Schweiz gewinnt die volle Eigenständigkeit. Die Gleichberechtigung der Kantone bleibt als Errungenschaft der franz. Revolution Sie ist ein lockerer Staatenbund. Kein Parlamanent, keine Exekutive, keine Freiheitsrechte, Damit fehlen wichtige Elemente eines Nationalstaates.

19 : Parallèlement au rétablissement (Restauration) des pouvoirs de l'aristocratie, le développement se poursuit à une vitesse accélérée, malgré le frein que constituent les frontières et les disparités cantonales (barrières douanières, poids et mesures, monnaie). In der Folge kam es zu einer zunehmende Polarisierung zwischen der politischen Bewegung des Freisinns (in den industrialisierten, protestantischen Kantonen) und den Konservativen (kath. Ländlichen Gebieten). Als Minderheiten lehnten die Katholiken die Aufhebung der Einstimmigkeitsregel für Beschlüsse der Tagsatzung ab, wiedersetzten sich der Idee einer starken Zentralisierung und wollten vor allem die starke politische und kulturelle Stellung der Kirche bewahren. Die Freisinnigen erreichten in 11 Kantonen (Regenerationskantonen; AG, BL, BE, FR, LU, SH, SG, SO, TG, VD und ZH) ihr politisches Ziel der Demokratisierung, welches unter dem Zeichen der Volkssouveränität und des Fortschritts liberale Verfassungen zustande brachten, die das Stimm- und Wahlrecht für die erwachsenen Männern, die Gewaltentrennung, die Öffentlichkeit von Parlamentsdebatten und die Trennung von Staat und Kirche brachten. , c'est la Régénération: dans de nombreux cantons, l'aristocratie est renversée, et de nouvelles Constitutions d'inspiration libérale garantissent aux citoyens des droits aussi bien politiques qu’économiques. Tenants d'un État unifié, les cantons libéraux s'opposent aux cantons conservateurs.

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21 La guerre du Sonderbund
Les tensions entre cantons catholiques et cantons libéraux-radicaux débouchent sur la "guerre du Sonderbund". Au terme d'une brève campagne, les cantons conservateurs capitulent devant les troupes du général Dufour. Konfliktpunkte: Religionsfrage freischärlerische Truppen, die den Kanton Luzern von seiner konservativen Regierung befreien wollte 1845 schlossen sich die katholischen Kantone zur Vertretung ihrer gemeinsamen Interessen im Sonderbund zusammen. Zudem suchten sie die aussenpolitische Unterstützung von Österreich, Frankreich und Sardien. Nach erfolglosen Versuchen zur Änderung des Bündnisses von 1815 verliessen sie 1846 die Tagsatzung. Dies wurde als Sezession ausgelegt. Die protestantischen Kantonen intervenierten mit Truppen. Nach 26 Kampftagen mit etwa hundert Toten waren die Sonderbundskantone besiegt. Für die siegreichen Freisinnigen war der Weg nun frei für die Einrichtung eines schweizerischen Bundesstaat, an welchen die 25 Kantone einen Teil der Hoheitsrechte abtraten. Für eine Aufgabenteilung zwischen Bund und Kantonen, wobei ersterer für die Wahrung der Unabhängigkeit und die Förderung der gemeinsamen Wohlfahrt verantwortlich war Das Prinzip des Föderalismus, das in Angelegenheiten des Bundes jedem Gliedstaat eine gleiche Stimme einräumte Für die Einrichtung einer gemeinsamen demokratischen Grundordnung mit Exekutive und eigenem Parlament, mit Grundrechten, Gewaltentrennung und freien Wahlen, deren Minimalanforderungen für alle Kantone als verbindlich erklärt wurden.

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24 La Constitution de 1848 acceptée
Der Verfassungsvorschlag wurde 1848 der Volksabstimmung unterbreitet. Gabe es hier nicht einen Trick? -> Linder, S. 29. Da es noch kein Schweizervolk gab, stimmten die Kantone im Rahmen ihrer eigenen politischen Ordnung darüber ab. In GR und FR entschied das Parlament im Namen des Volkes In LU kam die Zustimmung deshalb zustande, weil die 30 Prozent Abstinenten den Ja-Stimmen zugerechnet wurden. Für den Zusammenschluss des Staatenbundes zum Bundesstaat wäre eigentlich die Zustimmung aller Stände notwendig gewesen. Die freisinnige Mehrheit definierte die Regeln jedoch anders und verlangten eine genügende Mehrheit. Nachdem zwei Drittel der Kantone zugestimmt hatten, gab die Tagsatzung bekannt, dass die neue Bundesverfassung angenommen war.

25 «Les» constitutions suisses
La première constitution moderne de la Suisse fut celle de la République helvétique, entrée en vigueur en 1798. L'acte de Médiation octroyé par Bonaparte lui succéda en 1803. Après la chute de l'Empire napoléonien, les Alliés vainqueurs imposèrent le Pacte fédéral de 1815, La Constitution fédérale de 1848 fut la première que le peuple suisse se donna lui-même. Révision: 1874,

26 D'une Confédération d'États à un État fédéral (1848)
Primauté de la Constitution et transfert de compétences, mais la Constitution fédérale de 1848 est un compromis entre vainqueurs et vaincus. Les signes de ce compromis sont le bicamérisme parfait, le principe de subsidiarité, et la règle de la double majorité -> le fédéralisme

27 Chef-lieu de la Suisse, ville fédérale, capitale
– 1712: Baden – 1798: Frauenfeld 1798 – 1802: Aarau, Luzern, Bern 1804 – 1813: six cantons directoriaux 1815 – 1847: Zürich, Bern, Luzern 1848: „Siège des autorités fédérales“: Berne

28 Les premiers conseillers fédéraux

29 Les premiers conseillers fédéraux (2)
Jonas Furrer (ZH, président de la confédération) Ulrich Ochsenbein (BE, ancien président de la Diète fédérale) Henri Durey (VD) Wilhelm Näff (SG) Joseph Munzinger (SO) Friedrich Frey-Herosé (AG) Stefano Franscini (TI)

30 Les premières élections
Sièges CN: 111 (1 siège par 20‘000 habitants) Selon les lois cantonales, mais élections directes, âge minimal: 20 ans BE: 20; ZH: 12; VD: 9; AG: 9; SG: 8; TI: 6 BE, ZH, VD, SG -> plusieurs districts électoraux AG, TI, SO -> pas de districts => Loi sur les élections du CN du

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32 „Gerrymandering“ (par ex. BE, LU)
Nombre de sièges possibles pour les conservateurs: env. 27 – 40 (Kölz 2004: 493). Président de la commission: Alfred Escher (ZH)

33 Gerrymandering (2) Canton X: 10'000 électeurs, 10 sièges

34 La composition de la première assemblée nationale
* dont 5 protestants Kölz 2004: 478

35 Le développement de la « Confédération » après la fondation
D’abord: créer un espace économique unifié (les droits de douane, la poste, le droit de battre monnaie et la régulation des poids et mesures reviennent à la Confédération) Ensuite: l‘infrastructure, ……, l‘Etat social, la protection des citoyens contre de nouveaux risques sociaux et naturels. En revanche: la Confédération obtient des droits accrus en matière de prélèvement des contributions Nécessité pour la prospérité d‘un pays ou bouche-trou? Le grand pas du principe de l’unanimité au principe majoritaire.

36 La révision totale de la constitution 1874: la résistance en baisse en Suisse romande (« avec harmonisation judiciaire moins exigeante »)

37 Stratégie 1872: Les catholiques de Suisse centrale et les Romands refusent la première modification (l’unification du droit au niveau fédéral en est la principale) 1874: Le second projet, dans lequel on a atténué les éléments centralisateurs mais renforcé le contenu anticlérical, est accepté par les Romands

38 La constitution de 1874 Renforce le pouvoir de l‘État central (aussi vis-à-vis de l’influence de l’Église, « lutte des cultures ») Introduit le droit de vote général des hommes suisses et le référendum au niveau national -> démocratie directe (1)

39 Du référendum à la concordance
Entre 1874 et 1891, deux tiers des 19 propositions ont été refusées par le peuple Il s’agissait davantage de propositions modernistes, centralistes et sécularistes Pendant ce temps, 140 propositions ont été adoptées sans être soumises au peuple Vgl. Kölz (2004: 633)

40 La politique d‘obstruction

41 Concordance et démocratie directe - 1891
L’initiative populaire 1er août Le premier conseiller PDC (Joseph Zemp) -> concordance

42 Synthèse de l'évolution historique
Intégration réussie sur la base du « power sharing » avec les trois piliers « fédéralisme », « démocratie directe » et « concordance » dont nous avons discuté dans leur contexte historique. Question: Quelle est l’influence de ces particularités du système politique sur l’administration?


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