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QUALITÉ DE L’AIR INTÉRIEUR
Tedd Nathanson, ing. Conseiller - Qualité de l’air ambiant (613) QUALITÉ DE L’AIR INTÉRIEUR Syndicat des employé-e-s de l’Impôt 24-25 août 2007
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FACTEURS CONCERNANT LA QAI
Qualité de l’air extérieur gaz, particules, saisons et endroits Qualité de l’air intérieur enveloppe du bâtiment, matériaux, mobilier, taux d’occupation et activités ainsi que procédés Système de CVC conception, fonctionnement et maintenance
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Polluants / agresseurs de la QAI
Polluants – monoxide de carbone, formaldéhyde, COV, particules, micro-organismes Agresseurs – température, HR, odeurs, mouvement/circulation de l’air, bruit, éclairage, vibration, intimité, ordre et propreté, social Solutions – contrôle des sources, ventilation, circulation d’air (P), isolation, temps d’utilisation, hermétisation, substitution
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CODE CANADIEN DU TRAVAIL : PARTIE II
L'employeur veille à la protection de ses employés en matière de santé et de sécurité au travail. [124]; l'employeur est tenu de veiller à ce que tous les ouvrages et bâtiments permanents et temporaires soient conformes aux normes réglementaires [125 (a)]; de veiller à ce que l'aération, l'éclairage, la température, l'humidité, le bruit et les vibrations soient conformes aux normes [125 (1)(n)]; de veiller à ce que les concentrations des substances dangereuses se trouvant dans le lieu de travail soient contrôlées conformément aux normes réglementaires 125(a)].
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Code canadien du travail PARTIE II RÈGLEMENT SST, 2000
Division lll, Systèmes CVC : lors de leur construction ou modification, doivent respecter la norme ASHRAE les renseignements sur la conception doivent être disponibles tous les systèmes doivent être accompagnés d’instructions relatives au fonctionnement, à l’inspection, aux essais, au nettoyage, à la maintenance et à l’étalonnage les rapports doivent être préparés une « personne qualifiée », puis affichés l’enquête sur la QAI doit être effectuée lorsqu’elle est justifiée (Guide technique)
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NORMES Valeurs limites d’exposition (TLV) de l’ACGIH, substances chimiques et agents physiques {l’Ontario utilise la « TWAEV »} ASHRAE , Ventilation pour une QAI acceptable ASHRAE , Conditions thermiques ambiantes pour l’occupation humaine
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Lignes directrices, bonnes pratiques, politiques
Santé Canada, Guide technique pour l ’évaluation de la qualité de l’air dans les immeubles à bureaux, 1995 CSA Z204-94, Lignes directrices pour la gestion de la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments à usage de bureaux Association canadienne de la construction, Lignes directrices sur la correction des problèmes de moisissure, 2004 TPSGC, Procédures d’intervention en cas de dégâts causés par l’eau dans un bâtiment Obligation d’adaptation
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EFFETS SUR LA SANTÉ LIÉS AUX IMMEUBLES
Maladies liées aux immeubles Syndrome des bâtiments malsains Trouble psychologique de masse Polysensibilité chimique, sensibilité environnementale
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SYNDROME DES BÂTIMENTS MALSAINS
Irritation des yeux, du nez et de la gorge Maux de tête Fatigue Diminution de la concentration Irritabilité Peau sèche Saignements de nez
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52 % ATTRIBUABLE À LA CONTAMINATION
Micro-organismes COV et formaldéhyde Particules Monoxyde de carbone
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48 % ATTRIBUABLE À LA VENTILATION
amélioration du fonctionnement maintenance insuffisante mauvaise circulation recirculation de l’air rejeté à l’extérieur température élevée faible humidité relative forte concentration de dioxyde de carbone
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Procurer un milieu de travail sain, confortable et productif
BUT Procurer un milieu de travail sain, confortable et productif
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QAI ET PRODUCTIVITÉ Coûts de construction : Terrain, conception et construction Mobilier et matériel de bureau Exploitation Services publics Services de nettoyage et d’entretien ménager Taxes et assurances Gestion, services et vacances Coûts liés aux employés : salaires et avantages sociaux Mise à jour – Qualité de l’air intérieur, août 1989, amortissement de 9 % sur 30 ans $/pi2/an 16,00 $ 15,90 $ 2,00 $ 1,00 $ 8,50 $ 265,00 $
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COMPOSÉS ORGANIQUES VOLATILS (COV)
Gaz dégagés par des produits chimiques sources : matériaux de construction mobilier produits de consommation pesticides
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TVOC from recarpeting = COVT émis par le nouveau tapis
Days after area recarpeted =Nombre de jours après la pose du tapis Exponential fit line = Courbe exponentielle Background concentrations subtracted =Concentration de fond défalquée
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Agents biologiques et sources
Bactéries : humains / eau / aliments Champignons ou moisissure : plantes / sol / aliments Virus : humains / animaux Allergènes/antigènes : animaux (animaux de compagnie), coquerelles / acariens, sous-produits de bactéries (endotoxines) et moisissures (COVM, mycotoxines) et fragments.
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SOURCES MICROBIENNES tapis, carreaux de plafond, isolants, murs et autres matériaux humides humidificateurs à pulvérisation et réservoirs plateaux à condensat réservoirs surélevés
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Précédent juridique : 1989, Hôpital, Saint-Foy, Québec
Précédent juridique : 1989, Hôpital, Saint-Foy, Québec. « La moisissure ne doit pas pousser dans les édifices. » [adapté par TPSGC, U.S.EPA, Association canadienne de la construction, etc.] SCHL (1993) : « Les gens ne devraient pas vivre dans des maisons moisies. »
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Interprétation de l’analyse microbienne
Les micro-organismes ne devraient pas croître à l’intérieur Les quantités à l’intérieur devraient être inférieures aux quantités à l’extérieur Les compositions à l’intérieur/ à l’extérieur devraient être similaires La présence de toute espèce toxigène à des concentrations > 1 UFC est inacceptable
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Sensibilité aux facteurs environnementaux
La SE peut-elle être classée comme déficience? L’employeur a une « obligation de prendre des mesures d’adaptation » et les employés ont un « droit de travail ». L’employeur doit agir ainsi jusqu’au point de « contrainte excessive ». Ceci exige « une bonne tentative » pour effectuer l’adaptation. Exige le soutien et la collaboration de tous.
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LEGIONELLOSE : pneumonie
Conventions de la American Legion Philadelphie 1976 Hôtel Bellevue Stratford (182 atteints, 29 décédés} Humidificateurs contaminés, surfaces humides, systèmes à eau chaude, cuves thermales, vaporisateurs, refroidisseurs atmosphériques, condensateurs
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AMIANTE Isolation : tuyau, murs, plafond, conduits, chaudières
Carreaux de plafond et de plancher Plâtre et peintures Programme de gestion proactif pour les perturbations, modification en rattrapage « Les matériaux contenant de l’amiante intact et non dérangés ne posent pas de risque pour la santé » EPA, NIOSH, OSHA
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RADON Désintégration radioactive de particules de radium Þ, incolores, inodores SC : Seuil d’intervention 800 Becquerels/m³ (réduit de 200 en 2007) EPA : Seuil d’intervention 4 picocurie/litre (160 Bq/m³)
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AUTRES « problèmes » Histoplasma capulatum : un champignon tellurique qui pousse en présence d’excréments d’oiseaux et de chauve-souris. Provoque l’histoplasmose, maladie pulmonaire. Hantavirus : infection virale aérogène; dans l’urine, la salive ou les excréments de souris silvestres infectées, peut être mortel. (CB) Anthrax ou charbon : bactérie, Bacillus anthracis, touche les animaux qui paissent, toxique. Escherichia coli : bactérie présente dans les matières fécales. Qualité de l’eau; plomb et bactéries. SRAS, etc., de pays du Tiers-Monde Plomb dans l’eau potable et dans la peinture
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La QAI et l’avenir Conformité et diligence raisonnable – (vérifications environnementales des immeubles.) Questions juridiques, de responsabilité et d’assurance – indemnisation des travailleurs, évaluation des risques, obligation du propriétaire d’immeuble, de l’employeur, des professionnels et des gens de métiers. (Certification). Sélection des matériaux – émissions, dégagement de gaz, « produits verts ». (Immeubles certifiés LEED et Go-Green.) Information et sensibilisation – WWW, affaires judiciaires, médias, plus de « consultants et experts ».
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Conclusions On peut prévenir de nombreux problèmes de QAI en sensibilisant les gestionnaires d’installations, le personnel et les occupants aux questions et aux facteurs de QAI. La dépense et l’effort requis pour prévenir la plupart des problèmes de QAI sont nettement moindres que ce qu’il faut pour régler les problèmes constatés plus tard. Lorsque surgissent des problèmes de QAI, il y a souvent moyen de les régler avec les compétences disponibles à l’interne. S’il faut une aide de l’extérieur pour régler un problème de QAI, les meilleurs résultats seront atteints si les propriétaires, les gestionnaires et les occupants d’immeubles sont des clients informés. La communication ouverte et entière fait partie de la solution positive d’un problème de QAI.
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