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Publié parThéophile Carignan Modifié depuis plus de 9 années
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Leçon 12 pour le 19 décembre 2015
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« Que le Seigneur soit contre nous un témoin loyal et sûr, si nous n’agissons pas exactement selon la parole que le Seigneur, ton Dieu, t’aura envoyée pour nous ! » (Jérémie 42.5) Étude de la semaine : Jérémie 40.7-16 ; Jérémie 41-43 ; Exode 16.3 ; Nombres 16.13 ; Jérémie 44.
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Guedalia est nommé gouverneur du petit reste de Juda (Jérémie 40.6-12). Ismaël tue Guedalia et emporte le reste en captivité (Jérémie 40.13-41:10). Yohanân libère le reste et demande à Jérémie de consulter Dieu (Jérémie 41.11-42:6). La réponse divine : retournez à Juda et soumettez-vous à Babylone (Jérémie 42.7-22). Yohanân refuse d’obéir à Dieu et retourne en Égypte (Jérémie 43.1-7). Jérémie prophétise en Égypte (Jérémie 43.8-13). Rejet et orgueil de Juda (Jérémie 44).
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Jérémie alla trouver Guedalia, fils d'Ahiqam, au Mitspa, et il resta avec lui au milieu du peuple qui était resté dans le pays. (Jérémie 40.6) Alors Ismaël, fils de Netania, et les dix hommes qui étaient avec lui, tuèrent d'un coup d'épée Guedalia, fils d'Ahiqam, fils de Shaphân. Ainsi il mit à mort celui que le roi de Babylone avait nommé à la tête du pays.(Jérémie 41.2)
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« Tous les officiers, Yohanân, fils de Qaréah, Yezania, fils de Hoshaya, et tout le peuple, depuis le plus petit jusqu'au plus grand, s'avancèrent et dirent à Jérémie, le prophète : S'il te plaît, que notre supplication parvienne devant toi ; prie pour nous le SEIGNEUR, ton Dieu, pour tout ce reste. Car nous étions beaucoup et nous ne sommes plus qu'un petit reste, ainsi que tes yeux le voient. Que le SEIGNEUR, ton Dieu, nous dise la voie que nous devons suivre et ce que nous avons à faire ! (Jérémie 42.2-3)
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« Que ce soit bon ou mauvais, nous écouterons le SEIGNEUR, notre Dieu, vers qui nous t'envoyons ; nous serons heureux pour avoir écouté le SEIGNEUR, notre Dieu. » (Jérémie 42.6) Face au choix entre aller en Égypte ou retourner à Mitspa, le peuple demande un conseil à Dieu – enfin ! – à travers le prophète Jérémie. Le peuple s'est engagé à obéir à Dieu, comme l’avaient fait ses parents après être sortis d’Égypte (Exode 24.7). « Si nous prenons Jésus-Christ comme guide, il nous conduira en sûreté. Le plus grand des pécheurs peut trouver la bonne route. » (E. G. White, Heureux ceux qui, p. 113)
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« Dieu nous a donné la faculté de choisir. Il n’est pas en notre pouvoir de changer nos cœurs, ni de dominer nos pensées, nos impulsions et nos affections. Nous ne pouvons-nous purifier et nous rendre dignes de servir Dieu, mais il nous est possible de prendre la résolution de le servir et de lui soumettre notre volonté. Alors il produira en nous “le vouloir et le faire, selon son bon plaisir” (Philippiens 2.13), et toute notre nature sera soumise au Christ. » (E. G. White, Le Ministère de la Guérison, p. 148)
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« Azaria, fils de Hoshaya, Yohanân, fils de Qaréah, et tous ces hommes arrogants dirent à Jérémie : Ce que tu dis est faux ; le SEIGNEUR, notre Dieu, ne t'a pas envoyé pour dire : « N'allez pas en Égypte pour y séjourner en immigrés. » (Jérémie 43.2)
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Le désir de chercher la direction divine était apparemment sincère. Mais, en réalité, ce qu'ils voulaient c’est que Dieu soit d’accord avec leur plan : aller en Égypte. Ils ont justifié leur conduite en accusant Jérémie de mentir et de se laisser influencer par son scribe Baruch. Quand le pécheur n'est pas disposé à abandonner ses chemins, la raison est laissée de côté. Si la Parole ne concorde pas avec ses désirs, elle n'est pas écoutée. Si vous voulez vraiment être guidé par Dieu, vous devez être prêt à aller où il vous mène, et faire ce qu'il demande.
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« La nature humaine reste la nature humaine, elle cherche toujours quelqu’un à blâmer pour ses problèmes, et cherche toujours une excuse pour faire comme bon lui semble. […] Sous le coup des émotions et des passions, les gens n’avaient peut-être pas de raisons réelles de penser cela. Combien il est crucial que nous gardions nos passions et nos émotions assujetties au Seigneur ! Laissons-nous souvent nos émotions ou nos passions brouiller notre jugement, ou même l’emporter sur un clair « Ainsi parle l’Éternel » ? » (EDS, 15 décembre 2015)
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« Prends de grandes pierres et cache-les, sous les yeux des Judéens, dans l'argile de la terrasse en briques qui est à l'entrée de la maison du pharaon, à Tahpanhès » (Jérémie 43.9) A travers des symboles, Dieu avait un nouveau message pour le peuple désobéissant : le pays où ils se réfugiaient ne leur donnerait pas de sécurité, mais ils seraient nouvellement attaqués dans ce lieu. En 568 av. J.-C., tandis que l'Égypte se trouve dans une guerre civile, Nabuchodonosor lève son pavillon dans le lieu où Jérémie a caché de grandes pierres « dans l'argile de la terrasse en briques, à l'entrée de la maison du pharaon, à Tahpanhès » (Jérémie 43.10-11). Notre seule vraie protection et sécurité dans ce monde est d'obéir à Dieu, Il est le seul chemin sûr.
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« Quand le sacrifice de soi deviendra partie intégrante de notre religion, nous comprendrons alors la volonté de Dieu et nous la ferons. Car nos yeux seront oints de collyre, de sorte que nous verrons des choses merveilleuses dans sa loi.» «Nous verrons le sentier de l’obéissance comme le seul chemin sûr. Dieu tient son peuple pour responsable proportionnellement à la mesure de lumière de vérité que reçoit leur compréhension.» «Les demandes de sa loi sont justes et raisonnables, et par la grâce de Christ, il attend de nous que nous remplissions ses exigences.» (E. G. White, The Review and Herald, 25 février 1890)
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« Nous ne voulons pas écouter la parole que tu nous as dite au nom du SEIGNEUR. » (Jérémie 44.16) Quelques années plus tard, les Juifs continuaient de commettre en Égypte les mêmes abominations qu'à Jérusalem. Cette fois, ils ont ouvertement défié le message de Dieu donné par Jérémie. Loin de se repentir de leurs péchés, ils se vantaient eux-mêmes. Ils disaient que, tandis qu'ils (elles) priaient ouvertement les idoles dans les temps de Manassé, "nous avons eu une abondance de le pain, et nous avons été joyeux, et nous n'avons vu aucun malheur" (Jérémie 44.17). Le fait de ne pas avoir reçu dans ces temps le châtiment pour leur péché leur a fait penser que les malheurs qu'ils avaient subis étaient la conséquence d'avoir cessé de pécher (culte rendu à la reine du ciel) !
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« Nous ne voulons pas écouter la parole que tu nous as dite au nom du SEIGNEUR. » (Jérémie 44.16) « La dureté de leur cœur et la tromperie qui les avait dépassés sont stupéfiantes. En gros, ils ont regardé Jérémie bien en face et l’ont défié, lui et ce qu’il leur disait au nom du Seigneur.. La logique était implacable : au départ, avant les réformes de Josias, quand ils baignaient dans le culte des dieux païens jusqu’à faire brûler de l’encens pour la reine du ciel et de répandre des libations pour elle, tout allait bien pour eux. Alors pourquoi devaient-ils écouter Jérémie et tous ses avertissements ?. La réponse de Jérémie (Jérémie 44.20-30) fut celle-ci : Non, vous ne comprenez pas. C’est précisément parce que vous avez fait toutes ces choses que ces calamités se sont abattues sur vous. Pire encore, votre refus obstiné de changer signifie que des catastrophes plus nombreuses encore vont venir. La sécurité que vous pensiez trouver en Égypte n’est qu’un leurre et un mensonge, tout comme les dieux païens que vous adorez. À la fin, vous connaîtrez la vérité, mais il sera trop tard.! (EDS, jeudi 17 décembre 2015)
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(EDS, samedi 12 décembre 2015) « La leçon de cette semaine nous rapproche de la fin de la saga de Jérémie le prophète. Pourtant, ce n’est pas une fin du type « conte de fées ». En un sens, on pourrait résumer la leçon de cette semaine, ainsi qu’une bonne partie du livre de Jérémie, en disant que nous assistons à un exemple des limites de la grâce.
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(EDS, samedi 12 décembre 2015) Peu importe le nombre de fois où le Seigneur leur a parlé, pour leur offrir le salut, sa protection, sa rédemption, sa paix, et la prospérité. Tous, excepté un petit reste fidèle, ont méprisé et rejeté l’offre de Dieu. Combien nous devons être prudents ! La grâce, c’est la grâce, car elle est accordée à des gens qui ne la méritent pas, certes. Mais elle n’est imposée à personne. Nous devons être disposés à l’accepter. »
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« La révolte et l’apostasie existent dans l’air que nous respirons. Nous en subirons l’influence si nos âmes impuissantes ne s’appuient pas sur le Christ. » (E. G. White, Message choisis, vol. 2, p. 455)
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