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Publié parJeanne Lussier Modifié depuis plus de 9 années
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Bérangère, Christian, Emeline, Ethan Carron Une histoire familiale
Une passion
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2009 obtention du cfc d’agricultrice pour Bérangère (1ère maman du Valais à le faire)
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2010 début de la fabrication de fromage de chèvre dans notre fromagerie villageoise
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2010 début des marchés pour la vente de nos produits
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2011 Lancement de parrainage de nos animaux de ferme
Nom du (de la) parrain (marraine) : Adresse : Code Postal / Localité : No de téléphone : Adresse Je désire parrainer : Mettre une croix sous l’espèce si vous avez choisi un animal en particulier mettez son nom après la croix Je désire être parrain (marraine) dès le (date) : Pour la durée de : un jour une semaine un mois une année Je verse le montant de : Frs. (voir les tarifs joints) Soit en espèces directement à Carron Bérangère Soit sur le compte : Banque Raiffeisen de Martigny et Région, ccp : no IBAN : CH au nom de Bérangère Carron, Fully, mention parrainage. Je suis d’accord que mes coordonnées soient diffusées sur le site oui Non En signant ce contrat, je m’engage envers Carron Bérangère, à payer le montant dû et à venir voir mon ou ma filleul(e). Je peux également profiter de prix préférentiels sur les produits de la fromagerie de Châtaignier (fromages de chèvre et/ou vache). En échange de mon parrainage, Bérangère Carron s’engage à me donner régulièrement des nouvelles de mon ou ma filleul(e) et de m’accueillir sur la ferme ou l’alpage pour le/la voir (e). Fait à (lieu) : Date : Signature : Espèce Cochez votre choix Le nom si vous l’avez choisi Vache Veau Cheval Poulain Ane Chèvre Cabri Lapin / cochon d’inde Poule
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2012 début au marché de Vevey tous les samedis matins
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2013 1ère participation au marché de la châtaigne de Fully
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2014 février appel à l’aide pour sauver la chèvrerie
, 16:19 - Valais Actualisé le , 16:30 Pour sauver ses chèvres, elle lance un appel sur... Facebook AGRICULTURE Chez Bérangère Carron, toutes les chèvres ont un nom et une histoire... qui ne doit pas se terminer. Crédit: Le Nouvelliste/Christian Hofmann Bérangère Carron doit faire correspondre ses installations aux normes en vigueur. Faute de fonds propres, elle cherche des solutions sur les réseaux sociaux. «Ce n’est pas facile de faire cette démarche mais je crois en la force de Facebook. Voilà, je m’appelle Bérangère, j’ai 35 ans et depuis 2009 j’ai lancé mon exploitation agricole. Actuellement, je possède 32 chèvres, 3 vaches, 4 ânes, 2 chevaux. Mon exploitation est autonome d’un point de vue financier. Depuis 2010 je dois me mettre en règle concernant mes installations et j’ai donc un projet de construction. Malheureusement, les fonds propres que j’ai sont bien maigres et ne suffiront pas pour ouvrir les portes des instances bancaires pour obtenir un prêt pour la construction. Je demande donc aujourd’hui, à toutes les personnes touchées par mon histoire, si elles le peuvent, à m’aider pour trouver les fonds propres manquants.» Cet appel vient d’être lancé sur Facebook par Bérangère Carron, une agricultrice de Fully. «Si j’ai besoin d’aide, ce n’est pas pour nourrir mes bêtes. Mon exploitation fonctionne bien», tient-elle à préciser. Mais un couperet la menace. Il pourrait tomber et mettre un terme à tous les rêves à la fin mars. Le problème de Bérangère Carron est qu’elle doit mettre son exploitation aux normes. Située à Charrat à proximité du Rhône, en zone de danger moyen, elle doit monter une structure en béton ou construire une butte pour protéger ses bêtes des crues, ce qui renchérit énormément le coût des travaux. Un projet doit être déposé avant la fin du mois prochain, faute de quoi, l’agricultrice se verra contrainte de prendre congé de ses bêtes.. N’y aurait-il pas d’autres possibilités, comme construire ailleurs? La jeune femme y a évidemment pensé, mais sans succès. «J’ai essayé de me déplacer à Saillon. Tout était top. Il était même possible de développer de l’agritourisme. Mais je détiens des boucs. Il faut 77 mètres entre l’animal et le premier bâtiment voisin, en raison de l’odeur. Et j’ai des ânes, il faut aussi des distances pour le bruit. J’ai dû abandonner ce projet… Je ne possède pas d’autres terrains. Si quelqu’un m’en propose un, pour un échange par exemple, je suis partante.» Bérangère Carron tente toutes les pistes. «Au point où j’en suis, j’essaie tout. J’ai monté un élevage et ma famille y a beaucoup sacrifié. Je ne peux pas tout arrêter aujourd’hui.» D’où l’appel lancé sur Facebook par cette mère de famille. Par Jean-Yves GABBUD
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Fin 2014 autorisation de construire nouvelle chèvrerie
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2015 août début des travaux
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2015 décembre 18 mise sous toit de la nouvelle chèvrerie
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