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Publié parGermain Paris Modifié depuis plus de 9 années
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Doc. b taille de l’entreprise et coûts de transaction D’après Ronald COASE, «La nature de la firme », 1937 Coûts marginaux de transaction Coût marginal interne de transaction Q* Coût marginal externe de transaction Taille de l’entreprise
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Doc. c Faire ou faire faire ?
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Doc. d la firme U D’après Alfred CHANDLER, La main visible des managers, 1977
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Doc. e la firme M D’après Alfred CHANDLER, La main visible des managers, 1977
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Marlène BENQUET, Encaisser ! Enquête en immersion dans la grande distribution, 2013
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Doc. f les patrons des grandes entreprises Thomas PHILIPPON, Le capitalisme d’héritiers, 2007
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GG ≻ C ≻ C Doc. h les modèles principal-agent Ces modèles formalisent la relation entre un principal et un agent. -L’agent fournit un effort e. Cet effort produit une recette R qui dépend également de la réalisation d’un aléa : R(e, Ө), avec et. D’après Michael C. JENSEN & Williamn H. MECKLING, "Theory of the Firm : Managerial Behavior, Agency Cost, and Ownership Structure", Journal of Financial Economics, 1976 Le principal perçoit la recette de l’activité de l’agent. Son objectif est alors de maximiser l’espérance de son profit, c’est-à-dire de la différence entre la recette perçue et la rémunération versée à l’agent : -Le principal verse à l’agent une rémunération w. L’agent perçoit la rémunération w versée par le principal en contrepartie d’un effort. Son objectif est alors de maximiser son utilité U A : avec et Le principal n’observe pas directement l’effort consenti par l’agent. Il propose à l’agent un contrat de rémunération w(R(e, Ө)), c'est-à-dire qu’il lui annonce le montant de sa rémunération en fonction de la recette dégagée par son activité.
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GG ≻ C ≻ C Doc. h les modèles principal-agent Le principal n’observe pas directement l’effort consenti par l’agent. Il propose à l’agent un contrat de rémunération w(R(e, Ө)), c'est-à-dire qu’il lui annonce le montant de sa rémunération en fonction de la recette dégagée par son activité. D’après Michael C. JENSEN & Williamn H. MECKLING, "Theory of the Firm : Managerial Behavior, Agency Cost, and Ownership Structure", Journal of Financial Economics, 1976 - une contrainte de participation : le contrat de rémunération doit être assez attractif pour que l’agent l’accepte : Ce contrat de rémunération doit respecter : - une contrainte d’incitation : le dispositif de rémunération doit inciter l’agent à fournir l’effort attendu. On peut identifier plusieurs types de contrat : * Rémunération fixe : * Loyer / fermage : * partage des recettes / métayage : : l’agent verse un loyer L au principal et jouit de la recette de son activité. : l’agent reçoit une part α des recettes de son activité. Le principal conserve une part 1-α.
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variations du cours du pétrole et de la rémunération totale des PDG des entreprises du secteur pétrolier Marianne BERTRAND et Sendhil MULLANAITHAN, « Are CEOs rewarded for luck ? The ones without principal are », Quaterly Journal of Economics, 116, 2001
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Modèle du salaire à l’ancienneté salaire productivité du travail ancienneté Ce modèle vise à rendre compte de faits stylisés : - La progression du salaire au cours de la carrière professionnelle jusqu’à un stade avancé. D’après Edward LAZEAR, « Age, Experience, and Wage Growth », American Economic Review, 1976 - Des variations dans le même sens, mais moins fortes, de la productivité du travail. Par rapport à leur productivité, les salariés tendent à être sous-rémunérés lorsqu’ils sont jeunes, et sur-rémunérés en fin de carrière.
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L’impact du degré de centralisation des négociations collectives salaire - emploi + décentralisation centralisation Les négociations collectives s’effectuent à un échelon plus ou moins centralisé : accord interprofessionnel à l’échelon national, accord de branche, accord d’entreprise. Ainsi pendant longtemps en France ont dominé les accords de branche s’appliquant à un bassin d’emploi. D’après L. CALMFORS & J. DRIFILL, « Bargaining structure, Corporatism and Macro- economic Performance », Economic Policy, 1988 Empiriquement on observe une relation statistique « en cloche » entre le degré de centralisation des négociations collectives, le niveau du salaire et le niveau de l’emploi. entreprise branche interprofessionnel Royaume-Uni France Pays scandinaves Etats-Unis salaire + emploi -
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Taux de syndicalisation et part des personnes qui répondent « Il est possible de faire confiance aux autres »à la question : « En règle générale, pensez-vous qu’il est possible de faire confiance aux autres ou que l’on est jamais assez méfiant ? » Y. ALGAN & P. CAHUC, La société de défiance: comment le modèle social français s'autodétruit, 2007, p.72. http://www.cepremap.ens.fr/depot/opus/OPUS09.pdfhttp://www.cepremap.ens.fr/depot/opus/OPUS09.pdf
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Doc. i les politiques salariales Nicolas CASTEL, Noélie DELAHAIE, Héloïse PETIT, « Des rémunérations plus complexes : un défi pour les négociations salariales », Connaissance de l’Emploi n°88, janvier 2012 www.cee-recherche.fr/fr/connaissance_emploi/88-remunerations-complexes-negociations-salariales.pdf
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Doc. i les politiques salariales Nicolas CASTEL, Noélie DELAHAIE, Héloïse PETIT, « Des rémunérations plus complexes : un défi pour les négociations salariales », Connaissance de l’Emploi n°88, janvier 2012 www.cee-recherche.fr/fr/connaissance_emploi/88-remunerations-complexes-negociations-salariales.pdf
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Part des profits dans la valeur ajoutée en France Thomas PIKETTY, Le capital au XXI ème siècle, 2013 http://piketty.pse.ens.fr/files/capital21c/pdf/G6.6.pdf http://piketty.pse.ens.fr/files/capital21c/pdf/G6.6.pdf
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Doc. j le mode de régulation fordiste Robert BOYER, Economie politique des capitalismes, 2015, p.241
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