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Publié parFrançois-Xavier Jobin Modifié depuis plus de 9 années
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Guillaume d’Ockham VIème partie
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Critiques du principe d’Ockham On voit sans peine où Russell veut en venir. Le sceptique n’a pas à démontrer que les fondements de la religion (que l’on ne peut vérifier puisqu’ils sont issus de la révélation, laquelle est transmise par des témoins, puis de génération en génération) sont erronés.
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C’est au croyant qu’il appartient de les poser et de les justifier. Son exemple est amusant mais pourquoi faudrait-il que les sceptiques ou les croyants justifient quoi que ce soit ? Quel en serait l’intérêt ? Pourquoi faudrait-il prouver l’existence de Dieu? Nous ne sommes plus au Moyen-âge et chacun croit ou ne croit pas ce qu’il lui plaît sans avoir besoin de prouver que sa croyance ou son incroyance est fondée.
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Contrairement à ce qu’aurait voulu Guillaume d’Ockham, les athées utilisent souvent son principe pour soutenir la non-existence de Dieu, qui serait une hypothèse inutile. Il semblerait que les craintes de l’Eglise de Jean XXII étaient fondées. Guillaume envisage les choses autrement.
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Dans son Commentaire sur les Sentences, il se demande « Si un ange de haut rang utilise moins de connaissance, moins d’espèces qu’un ange de rang inférieur ». La réponse semble évidente puisque le multiple ne devrait pas être envisagé sans nécessité. Pourtant s’agit-il vraiment d’une évidence? Il raisonne à partir de la certitude de l’existence des anges. On pourrait se demander si ceux-ci aiment prendre le thé entre la Terre et Mars.
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