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Journée Alzheimer 21 septembre 2015.

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1 Journée Alzheimer 21 septembre 2015

2 Thème 3 L’Unité d’Hébergement Renforcé (U.H.R) Ses spécificités :
Dans les critères d’admission (et de réorientation) Dans la prise en soin L. MARTINEZ, médecin coordonnateur E. CASSAR, psychologue

3 Début de création des U.H.R
Mesure 16 du plan Alzheimer 2008/2012 Visant à créer des structures au sein des E.H.P.A.D (U.H.R et P.A.S.A) Permettant une prise en charge adaptée des résidents présentant une D.T.A ou maladie apparentée avec troubles du comportement perturbateurs

4 Définition de l’U.H.R Population ciblée : DTA ou apparentée
Se situe obligatoirement dans un E.H.P.A.D (ou dans une USLD) Accueille 12 à 14 personnes Personnel qualifié, formé et volontaire Environnement architectural adapté et identifié par rapport au reste de la structure

5 Un cahier des charges : des critères très spécifiques
La population accueillie Les critères d’admission Les critères de réorientation Coordination des différents services Le projet de l’U.H.R (prise en soin) Environnement architectural (prise en soin)

6 1. La population accueillie
Résidents souffrant de D.T.A ou maladie apparentée, compliquée de troubles du comportement sévères altérants la sécurité et la qualité de vie de la personne et des autres résidents Evaluation de ces symptômes réalisée à l’aide d’échelles spécifiques

7 2. Les critères d’admission
Diagnostic posé et annonce faite par un professionnel qualifié, avant l’admission Consentement de la personne recherché Evaluation des troubles du comportement réalisée Entrée et sortie de l’unité validée par le médecin coordonnateur de la structure

8 3. Les critères de réorientation
Diminution ou disparition des troubles du comportement pendant une période assez longue (réorientation vers une prise en charge plus classique au sein de la structure) L’altération de l’état physique peut aussi être un des critères de réorientation Décision prise en réunion d’équipe pluridisciplinaire sur avis du médecin coordonnateur, en lien avec le médecin traitant Recherche du consentement du résident ou de l’entourage proche Formalisation écrite de la décision

9 4. Coordination des différents services
Avec le pôle psychiatrique Avec la consultation mémoire Avec les autres E.H.P.A.D Avec le reste de la filière gériatrique

10 5. Le projet de l’U.H.R Mettre en place un accompagnement personnalisé : de vie et de soins approprié à chaque résident avec une thérapie non médicamenteuse visant à limiter voire supprimer l’usage des neuroleptiques

11 Cet accompagnement demande d’avoir une excellente connaissance :
de la maladie (elle est très singulière, d’où un accompagnement spécifique à mettre en place) du résident (lui aussi est très singulier, comme chacun d’entre nous, d’où notre intérêt à bien le connaître) de sa manière de faire avec la maladie (évaluations psychologiques)

12 La singularité de la maladie
Des difficultés pour : Communiquer Se situer dans son vécu Se situer dans l’espace et le temps Reconnaître les personnes et parfois même les objets Troubles du comportement (liés à la maladie elle-même ou aux difficultés que cause la maladie)

13 La singularité du résident
A chaque difficulté rencontrée correspond une compétence de prise en charge en repérant de quel ordre sont ces difficultés Difficultés pour : Communiquer  Dans quelles situations la personne communique le mieux ? Se situer dans son vécu  Comment permettre à la personne d’accéder au maximum à ses souvenirs ? Se situer dans l’espace et le temps  Outils adaptés à chaque personne pour les orienter dans l’espace et dans le temps Reconnaître les personnes et parfois même les objets  Relations de confiance et réassurance, s’appuyer sur ce que la personne reconnaît le mieux Troubles du comportement  Observations de ce qui les rend anxieux, en colère,… et mise en place d’attitudes spécifiques, voire d’aménagements spécifiques de l’espace pour éviter au maximum ces moments difficiles pour eux

14  Véritable travail autour de la personnalité du résident
Au-delà de la maladie perçue en termes de « pertes » et de « compensation » L’homme se laisse « prendre au piège des apparences, de ce qui est le plus visible, il a tendance à considérer que son caractère spécifiquement humain réside dans l’accès au langage, à la pensée, c’est-à-dire plus généralement à la puissance de ses fonctions cognitives », M. CARIOU « Une personne ne se résume pas uniquement à sa mémoire. L’être humain a des sentiments, de l’imagination, de la volonté et des principes », O. SACKS  Véritable travail autour de la personnalité du résident

15 L’intérêt de la stimulation sensorielle et des médiations thérapeutiques
Mobilisation des capacités préservées : les sens (pas de sentiment d’être mis en échec) Situation donc propice à la prise de plaisir La prise de plaisir permet de repositionner la personne dans un environnement qu’elle perçoit comme agréable (mise en confiance) Possibilité de libération de l’expression de soi, qu’elle mobilise la parole ou non La personne peut se sentir reconnue dans sa personnalité  Travail d’adaptation de nos attitudes et de l’environnement à la singularité de la personne âgée malade

16 Ce travail des équipes a pour objectif de maintenir ou réhabiliter :
Les capacités fonctionnelles restantes (ergothérapie, activités physiques…) Les fonctions cognitives restantes (ateliers mémoire, lecture du journal…) Le lien social (musicothérapie, photo-expression, participation des familles, repas thérapeutique…) L’accès au bien-être (stimulation sensorielle : snoezelen, balnéothérapie…) L’estime de soi (jardin thérapeutique, toilette thérapeutique, activités créatives…)  Les activités sont donc thérapeutiques… et les soins aussi, puisque très adaptés eux aussi après réflexion et concertation en équipe

17 Réévaluations et ajustements
Des protocoles Bonne utilisation des thérapies sédatives Les ajustements se font : selon l’évolution du résident et de sa maladie selon son environnement : importance de son entourage proche dans la participation de sa prise en charge

18 L’environnement architectural
L’environnement doit favoriser le confort et l’usage : caractère familier convivial et rassurant Nous vous invitons à venir le découvrir sur notre stand crée avec la collaboration des résidents de l’U.H.R.


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