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Promouvoir une coopération durable entre les très petites entreprises : mythes, réalités et bonnes pratiques L’artisanat et les réseaux d’entreprises Paris.

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Présentation au sujet: "Promouvoir une coopération durable entre les très petites entreprises : mythes, réalités et bonnes pratiques L’artisanat et les réseaux d’entreprises Paris."— Transcription de la présentation:

1 Promouvoir une coopération durable entre les très petites entreprises : mythes, réalités et bonnes pratiques L’artisanat et les réseaux d’entreprises Paris le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

2 « (il convient) d’encourager d’intenses coopérations, sous forme de projets communs et de circulation des personnes, entre des organisations qui tendent naturellement à s’ignorer: les PME concurrentes entre elles; les entreprises (surtout les petites), le monde de l’enseignement et de la recherche, les grandes firmes et les start up. Lorsque ces coopérations prennent vigueur, se créent des réseaux d’entreprises et d’institutions associatives ou publiques qui comprennent un riche tissu de clients, de fournisseurs et de financeurs, et un bassin de compétences scientifiques et technologiques adapté (…) moteurs de croissance de toute une économie. » ( Christian BLANC Interrégions été 2004) Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

3 Nature des réseaux d’entreprises  Des réseaux d’entreprises peuvent se créer à partir de motivations de nature différentes : zLe « club » : espace de rencontres. –Cela peut constituer la première étape d’une démarche plus élaborée en devenir. zLe réseau: facteur d’opportunités d’affaires. –On observe le développement de ce type de réseaux facilement identifiables via Internet. –exemple: http://www.placedesreseaux.com qui recense ainsi plus de 10 réseaux d’entreprises artisanales dans différents métiers. zLe réseau : facteur de dynamisme territorial. –La dynamique du réseau d’entreprises rejoint la préoccupation des Collectivités Territoriales. Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

4 Le pouvoir d’incitation des Pouvoirs Publics Les dynamiques de réseaux doivent faire l’objet d’incitation et d’encouragement de la part d’acteurs publics. Sauf exception, les réseaux d’entreprises n’émergent pas par génération spontanée. Ainsi, l’Etat a encouragé et soutenu les dynamiques SPL et promeut actuellement les Pôles de compétitivité. À noter que ce sont principalement les grandes entreprises ou les PME d’une certaine taille qui sont le plus susceptibles de bénéficier de ces initiatives. Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

5 Cette logique de réseaux est-elle pertinente pour les petites entreprises ? L’exemple des SPL. Dynamique de SPL Innovation Tradition Sous traitants Réseaux indépendants Dynamique de REPS (1) Réseau Entrepreneurial de Production et de Services Oyonnax Cholet Textile (Lille) Espadrilles (Pays Basque) Brodeurs (Nord) Bijouterie (Lyon) Glisse (Bayonne) Source : Petites entreprises et artisanat, acteurs des SPL ; étude-action ISM Février 2003

6 Les petites entreprises peuvent constituer des réseaux, connectés sur les réseaux d’entreprises préexistants, et fonctionnant avec des caractéristiques qui leur sont propres : –Adaptation de la TPE aux exigences des donneurs d’ordre: yRelative dépendance ? –Faible gouvernance interne propre au réseau: yBesoin d’une animation externe au réseau ? –Forte emprise territoriale: yLiens étroits entre enjeux territoriaux locaux et devenir des entreprises ? –Diffusion sur le territoire des entreprises constitutives du réseau : yDifficulté à se faire identifier comme force économique. Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND Les motivations des entreprises

7 Les conditions de pérennité d’un réseau d’entreprises L’étude réalisée par l’ISM sur les réseaux d’entreprises artisanales a montré que le développement et la pérennisation de réseaux d’entreprises artisanales nécessite à la fois :  Une animation collective qui permet l’émergence d’une dynamique territoriale et favorise l’implication des entreprises dans cette dynamique collective,  Une démarche de médiation permettant de rapprocher les attentes des différents acteurs de la dynamique territoriale en fonction de leurs enjeux respectifs, (entrepreneuriaux, emploi,…)  Une inscription dans une démarche de développement et d’aménagement notamment dans le cadre des contrats territoriaux (CPER, contrats de Pays, d’Agglomération, …) Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

8 L’intérêt des EPCI pour le développement économique Une étude du CNER (2004) met en lumière l’importance croissante des Collectivités Territoriales et notamment des EPCI dans le soutien aux réseaux d’entreprises, en vue de :  Renforcer l’ancrage des entreprises sur le territoire,  Optimiser les actions de soutien au développement économique,  Encourager des formes modernes d’organisation entrepreneuriale. Par ailleurs, une étude publiée en 2005 par le CESR de Bretagne a montré que pour près de 70% des Maires de la Région, le développement économique constitue la question prioritaire à résoudre au sein de l’EPCI auquel adhère leur commune. Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

9 Quelle faisabilité pour les réseaux d’entreprises artisanales ? Les entreprises artisanales ne peuvent, à elles seules, engager des initiatives prenant en compte ces trois dimensions d’un réseau performant que sont :  L’animation,  La médiation,  La contractualisation. Une caractéristique des réseaux artisanaux : l ’importance de leur ancrage sur un territoire (rural ou urbain). Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

10 Trois constats :  L’intérêt des Collectivités Territoriales et notamment les EPCI pour les réseaux d’entreprises est croissant,  Les entreprises artisanales restent peu « visibles » en tant qu’acteur économique, par les Collectivités,  Les entreprises artisanales ne peuvent, pour de multiples raisons (culturelles, économiques, …) faire émerger et vivre un réseau d’entreprises par elles mêmes. Une conséquence :  Il est nécessaire d’identifier un acteur en charge de nouer la relation entre les Collectivités et les entreprises artisanales. Une condition pour l’émergence et le développement des réseaux d’entreprises artisanales Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND

11 Quel médiateur entre Collectivités et Entreprises ? Les organismes consulaires et notamment les Chambres de Métiers peuvent jouer un rôle prédominant dans cette fonction d’interface, en mettant en avant des éléments tels que :  Le fort ancrage territorial des entreprises artisanales,  La volonté des chefs d’entreprises de se maintenir en tant qu’acteur économique local,  Leur capacité d’innovation,  Le poids économique réel de ces entreprises tant en terme d’emplois que d’aménagement du territoire. Rencontres du Développement économique Palais du Luxembourg, le 29 mars 2005 Jean-Michel RIVALLAND


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