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LA E-NEWSLETTER EN 5 POINTS CLES

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Présentation au sujet: "LA E-NEWSLETTER EN 5 POINTS CLES"— Transcription de la présentation:

1 LA E-NEWSLETTER EN 5 POINTS CLES
28 JANVIER 2013

2 1 UNE NEWSLETTER N’EST PAS UN PDF !
CE QUE LE CLIENT DOIT SAVOIR CE QUE LE CHEF DE PROJET DOIT SAVOIR UNE NEWSLETTER N’EST PAS UN PDF ! NON, UNE NEWSLETTER N’EST PAS UN PDF ! 1

3 Une e-newsletter, c’est quoi ?
Une e-newsletter (plus simplement newsletter), c’est une page web sans « artifices » : ni animation flash, ni vidéo, ni diaporama… Du texte et de l’image uniquement. En pratique, « livrer » une e-newsletter, c’est fournir une archive contenant un fichier HTML et un dossier contenant les images.

4 Newsletter VS e-mailing
Une newsletter est synonyme de contenus et de récurrence, alors qu’un ing s’entend plutôt comme un one-shot à but marketing. En pratique, une newsletter comprendra plus de texte et globalement une plus grande variété d’infos, quand l’ ing sera souvent plus court et plus visuel pour favoriser un acte d’achat, la participation à un jeu-concours... Cela dit, la tendance va de + en + à des cross-over entre ces 2 archétypes :

5 2 UNE NEWSLETTER EST VITE LUE… ET VITE JETEE
CE QUE LE CLIENT DOIT SAVOIR CE QUE LE CHEF DE PROJET DOIT SAVOIR L’OBJET, LA TITRAILLE,LES VISUELS ET LES CALL-TO-ACTION FERONT LE SUCCES DE VOTRE NEWSLETTER UNE NEWSLETTER EST VITE LUE… ET VITE JETEE 2

6 Comment réaliser une bonne newsletter ?
Utiliser un nom et une adresse d’expéditeur identifiable par le destinataire. Réfléchir à un objet qui « fait envie » : c’est un facteur déterminant dans la décision d’ouvrir ou non une newsletter. Un (bon) visuel est souvent plus efficace que du texte pour inciter le lecteur à cliquer et poursuivre sa lecture. Un (bon) titre est là encore un facteur important de clic : il doit être particulièrement réfléchi et visible (ne pas hésiter donc à le « surdimensionner » par rapport au reste du texte). Un bon call-to-action est un call-to-action explicite : toujours préférer un « Voir la vidéo », « Lire l’article », « Voir le diaporama »… plutôt qu’un « En savoir plus » ou un « Plus d’info », L’infographie qui résume tout :

7 Les critères d’évaluation d’une newsletter
Taux d’ouverture : sur 100 s aboutis*, combien ont été ouverts. Taux de clic : sur 100 s aboutis, combien ont été ouverts puis cliqués. Taux de réactivité : sur 100 s ouverts, combien ont été cliqués. Taux de NPAI : sur 100 s envoyés, combien n’ont pas aboutis. Taux de désabonnement : sur 100 s aboutis, combien de destinataires se sont désabonnés. * abouti : c’est un qui a correctement atteint la boîte du destinataire.

8 Quelques chiffres à connaître
ing B-to-B 2011, tous secteurs : Le taux moyen d’ouverture : entre 15% et 25% Le taux moyen de clic : entre 3 et 4% ing B-to-C 2011, tous secteurs : Le taux moyen d’ouverture : inférieur à 18% Le taux moyen de clic : entre 2,5 et 3,5% Source :

9 3 IL DOIT SE PASSER QUELQUE CHOSE AU-DELA DE LA NEWSLETTER
CE QUE LE CLIENT DOIT SAVOIR CE QUE LE CHEF DE PROJET DOIT SAVOIR PARCE QU’UNE NEWSLETTER NE PEUT TOUT DIRE, ELLE DOIT S’ENVISAGER COMME UN PORTAIL IL DOIT SE PASSER QUELQUE CHOSE AU-DELA DE LA NEWSLETTER 3

10 Une newsletter, c’est avant tout un relais
Il faut donc toujours réfléchir aux contenus vers lesquels va pointer ma newsletter : Le contenu existe-t-il déjà quelque part ? Sinon, qui se chargera de son intégration, sur quel site, sous quel forme… Ceci est d’autant plus fondamental qu’aujourd’hui plus de 30% des s sont consultés sur des terminaux mobiles* (smartphones, tablettes…) : mes contenus seront-ils lisibles sur ces types de supports ? * Source :

11 4 C’EST PAS PARCE QUE C’EST DU WEB QU’ON PEUT TOUT FAIRE
CE QUE LE CLIENT DOIT SAVOIR CE QUE LE CHEF DE PROJET DOIT SAVOIR C’EST PAS PARCE QUE C’EST DU WEB QU’ON PEUT TOUT FAIRE UNE NEWSLETTER DOIT ETRE PENSEE EN AMONT POUR ETRE « ADAPTABLE » 4

12 Besoin de flexibilité ? Anticipez !
Dès la conception, il est nécessaire de définir un gabarit moyen, puis d’envisager ensuite : Quelle sera sa version « maximale », cad. avec tous les contenus prévus présents, Quelle sera sa version « minimale », car un client n’a pas toujours les mêmes besoins de communication d’une news à l’autre. Et dans le cas d’une grosse production : quels process et outils de publication doit-on mettre en place pour assurer une publication de qualité et rentable sur le long terme.

13 5 LES EMAILS N’ARRIVENT PAS TOUJOURS
CE QUE LE CLIENT DOIT SAVOIR CE QUE LE CHEF DE PROJET DOIT SAVOIR LES S N’ARRIVENT PAS TOUJOURS NON, LES S N’ARRIVENT PAS TOUJOURS 5

14 L’envoi de newsletters n’est pas une science exacte !
De nombreux facteurs peuvent empêcher vos s d’aboutir (filtres anti-spam, problèmes de routage…). 2 solutions : En amont : testez ! Prenez le temps de faire des tests d’envoi et de lecture sur différents webmails ou clients de messagerie (en particulier celui de votre client…) En aval : ajustez ! Si vous avez accès aux résultats de la campagne, étudiez le comportement de vos lecteurs pour ajuster la conception et les contenus (les s sont-ils systématiquement rejetés par certains webmails ? Quels sont les zones les plus cliqués ? Etc.)

15 Quelques liens intéressants…
L’ ing en 2011 (et en infographie) : Quel est le meilleur moment pour envoyer un ing ?  Comment les Français utilisent l' ? Pratiques et tendances de l' ing : Les performances de l' ing secteur par secteur : ing et mobilité :

16 Merci !


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