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PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007

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Présentation au sujet: "PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007"— Transcription de la présentation:

1 PROGRAMME DE FORMATION EN HYGIÈNE ET SALUBRITÉ 2007

2 Chapitre 2 Environnement et gestion des déchets

3 Chapitre 2 2.1 Environnement

4 PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
L’objectif : maintenir un environnement propre grâce à un entretien régulier et consciencieux Les surfaces horizontales et celles fréquemment touchées peuvent jouer un rôle important dans la transmission des infections nosocomiales Les murs et planchers sont rarement associés à la transmission des infections De nombreux micro-organismes peuvent survivre sur des objets inanimés pendant une longue période La qualité du travail effectué par les personnes d’hygiène et salubrité est en lien direct avec la prévention des infections

5 OBJECTIFS Connaître l’approche du nettoyage et de la désinfection de l’environnement « High touch » et « Low touch ». Différencier les procédures spécifiques selon certains secteurs d’activités. Manipuler de façon sécuritaire les différents types de déchets (ordinaires, cytotoxiques, biomédicaux).

6 DÉFINIR L’ENVIRONNEMENT
Ce sont les diverses surfaces de sols, de murs, les équipements fixes et mobiles, le mobilier et les accessoires susceptibles d’entrer en contact direct ou indirect avec les patients et qui peuvent, de ce fait, constituer un réservoir d’agents pathogènes pouvant être transmis aux patients, aux visiteurs et aux membres du personnel. Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006 p.6

7 DÉFINIR LES SURFACES « HIGH TOUCH » ET « LOW TOUCH »

8 SURFACE « HIGH TOUCH » Une surface « High touch » représente toute surface ou matériel pouvant être potentiellement en contact avec le patient, incluant les surfaces susceptibles d’être contaminées par le sang ou les liquides biologiques OU Des surfaces fréquemment touchées par divers intervenants. Cette zone est habituellement maximale à l’intérieur d’un mètre autour du patient, mais n’est pas exclusive à ce périmètre. Le lavabo, la robinetterie, la poignée de chasse d’eau et autres peuvent être des surfaces « High touch » bien que ces éléments ne soient pas situés dans le périmètre immédiat du patient. Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

9 EXEMPLE ZONE « HIGH TOUCH »

10 SURFACE « LOW TOUCH » Une surface « Low touch » représente toute surface ou matériel peu susceptible d’être en contact avec un patient OU Non fréquemment touchée par d’autres intervenants. Par exemple: le haut des murs, une grille de ventilation, une toile de fenêtre, etc Une surface « Low touch » peut cependant devenir une surface « High touch » par effet cumulatif dans le temps. Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

11 PRATIQUES À ADOPTER… Respecter les pratiques de base
Augmenter la fréquence des interventions selon l’achalandage et les épidémies saisonnières Protéger les surfaces de sol pour réduire les risques de contamination Réduire l’encombrement des locaux Mise en place de protocoles avec des procédures incluant la technique et la fréquence des interventions et la mise à jour de ceux-ci Importance du grand ménage Enlever les souillures avant le nettoyage et la désinfection Le NETTOYAGE est essentiel à une désinfection efficace

12 PRINCIPES À APPLIQUER…
Le nettoyage et la désinfection s’effectuent des surfaces les moins souillées vers les surfaces les plus souillées La zone « Hight Touch» représente la zone d’intervention la plus importante Plier le linge de travail pour l’utilisation sur toutes les surfaces et changer celui-ci lorsque souillé Changer de linge entre les chambres et ne jamais retremper celui-ci dans la solution Utiliser du matériel dédié pour l’entretien des salles de bain Pour les chambres en isolement, n’y entrer que le matériel nécessaire Éviter la vaporisation des produits afin d’en limiter l’inhalation

13 Relié au risque potentiel de transmission d’infection
DIFFÉRENCE ENTRE L’ENTRETIEN DES BUREAUX ET LA DÉSINFECTION EN MILIEU DE SOINS Relié au risque potentiel de transmission d’infection La présence de patient L’état clinique ou la sévérité de la maladie Le comportement d’hygiène du patient et du personnel et le risque relié Les micro-organismes (virulence et potentiel de transmission) et leur capacité de survie Les activités fonctionnelles L’intensité de contact Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai p.24

14 RISQUE INFECTIEUX EN LIEN AVEC LES PRATIQUES DE BASE
Présence de micro-organismes dans les milieux de soins (environnement) et la présence de patients plus ou moins affectés et vulnérables par ces micro-organismes en raison de leur condition de santé (ou) des soins qu’ils ont à recevoir. Nous ne sommes pas toujours en mesure de savoir si une personne est porteuse ou non d’une infection potentiellement transmissible (infectieuse ou pas)

15 DIFFÉRENCE ENTRE NETTOYAGE ET DÉSINFECTION
LE NETTOYAGE Opération qui consiste à enlever les saletés, la poussière et autres substances pouvant héberger des micro-organismes ou permettre leur multiplication; la propreté est l’objectif visé par le nettoyage. LA DÉSINFECTION Opération qui permet de détruire la plupart des micro-organismes ou, à tout le moins, d’en empêcher la multiplication sur un objet ou une surface PRINCIPE: LE NETTOYAGE EST ESSENTIEL À UNE DÉSINFECTION EFFICACE Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006

16 CONDITIONS DE RÉUSSITE: 4 PARAMÈTRES (CERCLE DE SINNER)
La température et la qualité de l’eau L’action mécanique L’action chimique Le temps de contact 1 2 3 4

17 Respecter les consignes
CERCLE DE « SINNER » Dans les opérations de nettoyage, le résultat final est influencé par 4 facteurs inter-dépendants, regroupés dans le Cercle de Sinner. Si l'un des facteurs est diminué, on doit obligatoirement compenser cette perte en augmentant un ou plusieurs des autres facteurs. Respecter les consignes

18 CLASSIFICATION DES LOCAUX SELON LES ACTIVITÉS DU SECTEUR

19 EXEMPLES DE SECTEURS OÙ LES ACTIVITÉS SONT À PLUS HAUT RISQUE
Service de grands brûlés Bloc opératoire (salles) Néonatalité et pouponnière Soins intensifs Salle d’accouchement Endoscopie Oncologie Service de greffe Hémodialyse Hémodynamie Radiologie interventionniste Stérilisation centrale Lignes directrices en hygiène et salubrité MSSS, Mai 2006 p.26

20 POURQUOI CES SECTEURS REPRÉSENTENT-ILS UN RISQUE ?
Bloc opératoire et stérilisation centrale Intervention invasive Préparation de matériel servant à des soins invasifs Unité néonatale Vulnérabilité des nouveaux-nés: système de défense immunitaire immature, beaucoup d’appareillage (invasif) Unité de greffe osseuse et grands brûlés Système immunitaire très faible, sensible aux infections Altération de la peau : voie d’entrée des infections Oncologie, préparation et administration Risque pour la santé en raison des produits utilisés Patient vulnérable: système immunitaire affecté

21 MESURES SPÉCIFIQUES … Soins intensifs Unités de soins diverses IL FAUT
Traitement invasif, vulnérabilité des patients Unités de soins diverses Patients ayant des pathologies différentes IL FAUT Respecter les procédures et protocoles pour les secteurs spécifiques Habillement, devis, fréquences, produits Notre cible: désinfecter l’environnement

22 RISQUES MOYENS Salle de réadaptation Centre de soins de longue durée
Pharmacie

23 FAIBLE RISQUE Donnez des exemples...
Bureau administratif Donnez des exemples...

24 QUESTIONS Une salle d’urgence peut-elle être une zone à risques et pour quelles raisons ? Une salle de traitement dans une unité de soins ? Les toilettes de la salle d’urgence en période d’épidémie de diarrhée ?


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