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RÔLES DU MILIEU UNIVERSITAIRE EN MATIÈRE DE SCIENCE, DINNOVATION ET DE FORMATION DE PHQ À LAPPUI DU SYSTÈME AGROALIMENTAIRE CANADIEN PRÉSENTATION DE LASSOCIATION.

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1 RÔLES DU MILIEU UNIVERSITAIRE EN MATIÈRE DE SCIENCE, DINNOVATION ET DE FORMATION DE PHQ À LAPPUI DU SYSTÈME AGROALIMENTAIRE CANADIEN PRÉSENTATION DE LASSOCIATION DES FACULTÉS CANADIENNES DAGRICULTURE ET DE MÉDECINE VÉTÉRINAIRE (AFCAMV) AUX SOUS-MINISTRES FÉDÉRAUX, PROVINCIAUX ET TERRITORIAUX LE 23 AVRIL 2013 MONTRÉAL

2 AFCAMV Cinq collèges de médecine vétérinaire – Université de Calgary – Université de la Saskatchewan – Université de Guelph – Université de Montréal – Université de lÎle-du-Prince-Édouard Huit facultés dagroalimentaire – Université de la Colombie-Britannique – Université de lAlberta – Université de la Saskatchewan – Université du Manitoba – Université de Guelph – Université McGill – Université Laval – Université Dalhousie

3 MISSION DE LAFCAMV Agir à titre de catalyseur principal du Canada en matière de progrès scientifiques et dadoption de technologies vétérinaires au sein de lindustrie agricole et agroalimentaire au Canada et à létranger. Être la principale source denseignement des premier, deuxième et troisième cycles en vue de répondre aux besoins grandissants de lindustrie et des gouvernements.

4 RECHERCHES EN AGRICULTURE ET EN ALIMENTATION Recherches dans les huit facultés dagriculture – Plus de 350 millions de dollars en 2010-2011 – 12 517 documents publiés de 2003 à 2010 Agriculture et Agroalimentaire Canada – 6 363 documents publiés de 2003 à 2010 Les employés provinciaux ont également publié des documents Canada dans lensemble – Impact et intensité élevés – Huitième au monde en matière de documents publiés (2010) – Neuvième au monde en matière dimpact (2010) Sources : Assessment of the Scientific Output of CFAVM Members, Science Metrix : Préparé pour les Facultés canadiennes dagriculture et de médecine vétérinaire (AFCAMV). Étude interne de AFCAMV sur les investissements en recherche.

5 RECHERCHES EN AGRICULTURE ET EN ALIMENTATION « … les brevets canadiens dans les domaines des TIC, des produits chimiques et de lagroalimentaire ont un impact plus grand que la moyenne mondiale » « … le pays se classe au deuxième rang mondial en matière de recherche dans les domaines de lagriculture, des pêcheries et de la foresterie » « … la part du Canada dans la production mondiale de publications scientifiques est particulièrement élevée dans les domaines….de lagriculture, des pêcheries et de la foresterie » « … dans le monde….la production du Canada a augmenté moins rapidement que la moyenne mondiale dans près de la moitié des domaines, plus particulièrement lagriculture, les pêcheries et la foresterie… » – Seul point négatif Source : LÉtat de la science et de la technologie au Canada, 2012

6 AGRICULTURE AND FOOD RESEARCH 6

7 7

8 Analyse de la position des 20 pays chefs de file en matière dagriculture et de science vétérinaire (2003–2010) Nombre de documents publiés (cercles), impact scientifique (MCR), indice de spécialisation (IS) Source : Assessment of the Scientific Output of CFAVM Members, Science Metrix Impact scientifique Moins dimpact Moyenne mondiale Plus dimpact Suisse Pays-Bas Royaume - Uni Suède Belgique Danemark Allemagne États-Unis Australie Espagne Nouvelle-Zélande Italie Corée du Sud JaponAfrique du Sud Argentine MexiqueChine Turquie Brési l Pologne Inde Non spécialisé Moyenne mondiale Spécialisé Indice de spécialisation

9 Réseau de collaboration des membres de lAFCAMV dans les domaines de lagriculture et des sciences vétérinaires (2003–2010) Faculté des systèmes terrestres et alimentaires, Université de la Colombie-Britannique Faculté des sciences de lagriculture et de lenvironnement, Université McGill Collège dagriculture de la Nouvelle-Écosse College of Agriculture and Bioresources, Université de la Saskatchewan Faculté des sciences agricoles et alimentaires, Université du Manitoba Collège de médecine vétérinaire de lOuest, Université de la Saskatchewan Collège vétérinaire de lAtlantique Université de lÎle-du-Prince-Édouard Collège dagriculture de lOntario, Université de Guelph Collège vétérinaire de lOntario, Université de Guelph Faculté des sciences de lagriculture, de la vie et de lenvironnement, Université de lAlberta Faculté de médecine vétérinaire, Université de Calgary

10 Source : Assessment of the Scientific Output of CFAVM Members, Science Metrix Réseau de collaboration des institutions canadiennes chefs de file en agriculture et en sciences vétérinaires (2003–2010) Université de Regina Université Brock Université de Victoria Université de Waterloo Université McMaster Université QueensUniversité York Université Trent Université de Western Ontario Université de Calgary Université de Toronto Université Simon Fraser Université de la Colombie-Britannique Université de lÎle-du-Prince-Édouard Université Memorial de Terre-NeuveUniversité de la Saskatchewan Environnement Canada Université de Guelph Agence de la santé publique du Canada Université de lAlberta Gouvernement de lAlberta – Agriculture, Alimentation et Développement rural Pêches et Océans Canada Agence canadienne dinspection des aliments Université du Manitoba Agriculture et Agroalimentaire Canada Université Carleton Université dOttawa Santé Canada Université McGill Conseil national de recherches du Canada Université de Montréal Université Dalhousie Université du Nouveau-Brunswick Collège dagriculture de la Nouvelle-Écosse Ressources naturelles Canada Université de Lethbridge

11 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES N = 8210 Inscriptions au premier cycle des facultés dagriculture 2010-2011 UCB N.-É.

12 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES Inscriptions au premier cycle par spécialisation 2010-2011 Alimentation Environnement Agrocommerce Génie Autres « Alimentation » comprend la diététique et la nutrition; « Génie » comprend le génie des biosystèmes; « Environnement » comprend lécologie

13 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES Inscriptions par programme détude supérieure 2010-2011 Diplôme Certificat DDC Maîtrise Doctorat Autres

14 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES Diplômés par spécialisation 2010-2011 Animaux Agronomie Écologie Environnement Génie Alimentation Végétaux Agrocommerce Sols Autres

15 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES Inscriptions stables ou en hausse après une légère baisse – Lorsque les budgets limitent laugmentation des inscriptions, les exigences dadmissibilité sont plus serrées. – Croissance : Au cours des sept dernières années, lUniversité du Manitoba a doublé son nombre détudiants de premier cycle. Le nombre détudiants des cycles supérieurs a augmenté de 40 % à lUniversité de lAlberta au cours des cinq dernières années. – Les 2/3 des étudiants sont des femmes. – Hausse du nombre détudiants des cycles supérieurs; plus de 50 % sont des étudiants étrangers. Les universités offrent plus de cours – Agroécologie, environnement, gestion des ressources, nutrition, diététique, bioressources, génie des biosystèmes. Les diplômés trouvent un emploi! – Les diplômés en agriculture de lUniversité du Manitoba reçoivent chacun 1,85 offre demploi. – Il ny a aucun étudiant diplômé en médecine vétérinaire qui ne trouve pas demploi, à moins que ce ne soit volontaire.

16 DÉVELOPPEMENT DES RESSOURCES HUMAINES Facultés de médecine vétérinaire – Niveau dinscription stable Limité par la capacité et les ententes Davantage détudiants pourraient être acceptés – Nombre important et croissant détudiants des cycles supérieurs Étudiants canadiens et étrangers – Animaux domestiques et sauvages et poisson – Accréditation internationale – Port dattache de Vétérinaires sans frontières

17 INVESTISSEMENTS EN RECHERCHE Les gains de productivité en agriculture sont différents. – Les nouvelles variétés et les caractères nouveaux ont une durée de vie limitée. – Les maladies et les organismes nuisibles sattaquent éventuellement à presque toutes les variétés; la rapidité et la virulence varient. – Les maladies animales/zoonoses évoluent (mutation) également avec le temps. Des investissements majeurs sont nécessaires pour maintenir le rendement des cultures et de la production animale. Seuls les investissements permettant daller au-delà des travaux de recherche de mise à jour permettront dobtenir des gains de productivité.

18 Dépenses en recherche par source Trois conseils Autre - Fédéral Producteurs Autres « Autres » comprend les fondations privées, les ventes, les revenus de placement et les redevances. Données relatives à sept facultés dagriculture seulement.

19 RÉALITÉS Universités – Lavancement professionnel des professeurs dépend des extrants scientifiques Les articles publiés, la PI et les brevets sont des « produits finaux » dans les universités. Reconnaissance croissante accordée aux innovations réalisées de concert avec le secteur privé. Les innovations sont souvent commerciales et confidentielles et ne peuvent pas être publiées. – Létendue du secteur des sciences des facultés dagriculture est beaucoup plus large aujourdhui : pour attirer des étudiants; pour répondre aux priorités du Canada en science et technologie. mais ceci ralentit la recherche sur la productivité agroalimentaire.

20 RÉALITÉS Grâce aux fonds publics et privés, la recherche universitaire génère de la PI. Les universités ont réellement trois options : – Donner laccessibilité à tous. – Protéger la PI; attendre que lindustrie sy intéresse et soit disposée à payer. – Donner la propriété aux bailleurs de fonds ou à un bassin de PI. Plusieurs obstacles au transfert de la technologie des universités au Canada – Prix surélevés – Écheveau de brevets – Protection de la PI et non-divulgation La PI découlant des recherches donne souvent lieu à la conclusion dententes confidentielles et négociées individuellement entre le gouvernement et les universités.

21 RÉALITÉS Nombreux obstacles à linnovation et à lutilisation de la PI – Les gouvernements ont peur quune entreprise privée tire profit des résultats prometteurs des recherches publiques. – Les sociétés hésitent à collaborer avec leurs concurrents. – Les innovations financées par le secteur public et accessibles au public sont souvent ignorées; le secteur privé ne peut pas recouvrer les dépenses de conception, de mise à niveau et de commercialisation dun produit axé sur une innovation accessible à tous. Source : Harvey Drucker, Technology Transfer: A View from the Trenches. Proceedings from the conference ``Maximizing the Return From Genome Research,'' 23 et 24 juillet 1993. 21

22 RÉALITÉS Il y a très peu dentreprises canadiennes de transformation des aliments – Seulement quatre entreprises canadiennes parmi les 50 chefs de file nord-américains au chapitre des ventes daliments et de boissons (2011) – Les ventes combinées sont inférieures à celles de chacun des quatre chefs de file. – Il ny a pas de fabricant canadien déquipement de transformation. Le financement de la recherche est en majeure partie contrôlé par des administrations centrales se trouvant à létranger. « Projets » de recherche au Canada appuyés par des entreprises internationales – Rare appui aux « programmes » de recherche. – La position na toutefois pas encore été réellement défendue. Linnovation est souvent intégrée aux investissements étrangers directs.

23 La part du Canada en recherche dans le secteur privé est inférieure à celle des États-Unis et de lEurope. Variation en pourcentage des dépenses intérieures brutes en R et D 2005-2011 Calculé en dollars 2005 – Prix constants et PPA Estonie Slovénie Pologne Slovaquie Turquie Corée République tchèque Irelande Hongrie Israël Danemar k Allemagne Espagne Norvège Autriche Belgique Union Européenne (27) Finlande Pays-Bas Total OCDE Italie États-Unis Mexique Royaume-Uni Suède Japon OCDE 2013, Principaux indicateurs de la science et de la technologie Remarque : Pour certains pays, le calcul est fondé sur la période 2005-2010 (Turquie, Corée, Total OCDE, Mexique et Japon)

24 CONSTATATIONS La formation de PHQ semble robuste. – Mais collaboration très limitée entre les universités – Cloisonnements administratifs; plus douverture à léchelle internationale Collaboration en matière de recherche entre de nombreuses universités. – Dans lensemble, bonne position à léchelle internationale….impact et spécialisation. – Axée sur les projets davantage que sur les « programmes ». La recherche à long terme menant à linnovation est une des faiblesses. – Linnovation progressive est courante, rôle majeur des IDE – La recherche menant à des innovations denvergure majeure est moins courante. Écart majeur entre la recherche et linnovation dans le secteur privé – Trop risqué à entreprendre pour les entreprises de transformation.

25 CONSTATATIONS Le financement provenant des producteurs et des transformateurs doit être augmenté. – Ententes nationales de financement pour les producteurs. – Obtention de financement des transformateurs par le biais de « programmes » de recherche. Besoin de plateformes de partenariats intérieures pour les « programmes » de recherche. – Pour le financement et les réseaux de recherche axés sur les objectifs. – Il ne sagit pas tellement dinciter les transformateurs à faire de la recherche, mais plutôt à les habiliter à financer la recherche.

26 CONSTATATIONS Réseaux de recherche axés sur les objectifs – Large éventail de disciplines et plusieurs partenaires, incluant des innovateurs. – Lindustrie a-t-elle besoin dune protection antitrust pour favoriser la collaboration? Exemples : – Productivité du secteur bovin, nutrition, gestion de la santé, amélioration des aliments pour animaux, environnement, cartographie génétique pour la sélection entre de multiples caractères. – Salubrité des aliments. – Durabilité de lenvironnement et des ressources, incluant ladaptation aux changements climatiques. – Adaptation des animaux, des végétaux et de la viande aux demandes des utilisateurs et des consommateurs. Exemples cités dans le rapport de lAFCAMV au Comité sénatorial permanent, juin 2012.

27 EN TERMINANT…. Principales forces en matière de recherche gouvernementale et universitaire – Chaque partie a un rôle précis. – Il y a toutefois des chevauchements de rôles. Le secteur privé a un rôle, mais de nombreuses faiblesses. – Propriété dentreprises externes – Peur de linnovation intérieure Peut-on trouver des modèles daffaires communs aux partenaires afin de tirer parti de nos forces?

28 LAFCAMV remercie les sous-ministres fédéraux, provinciaux et territoriaux de lui donner loccasion dœuvrer à létablissement de partenariats de collaboration dans les domaines de la formation de PHQ, de la recherche et de linnovation à lappui du secteur agricole et agroalimentaire.

29 Dépenses intérieures brutes en R et D (DIBRD) au Canada, 1981-2011 Calculé en dollars 2005 – Prix constants et PPA OCDE 2013, Principaux indicateurs de la science et de la technologie. Téléchargé le 2013-04-12.


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