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Noms des auteurs : Y. Z. A. Khedid, H. BOUTALLAKA, Y. KERRoum, R

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Présentation au sujet: "Noms des auteurs : Y. Z. A. Khedid, H. BOUTALLAKA, Y. KERRoum, R"— Transcription de la présentation:

1 FIABILITÉ DE L'ÉCHOGRAPHIE DANS LE DIAGNOSTIC DE L'APPENDICITE AIGUË AUX URGENCES
Noms des auteurs : Y.Z.A. Khedid, H. BOUTALLAKA, Y. KERRoum, R. M’Bida, M. Absi, M. Echerrab, M. ELOuanani, H. El Alami, A. Errougani, M. Amraoui, M.R. Chkoff Service : urgences chirurgicales viscérales- hôpital ibn sina Ville : rabat Congrès National de Chirurgie 2017

2 Introduction - Objectifs
L’appendicite aigüe est une des urgences chirurgicales les plus fréquentes. Le diagnostic positif repose sur les données cliniques, biologiques et radiologiques. Parmi les moyens d’imagerie, l’échographie représente le moyen le moins invasif, le moins couteux et le plus disponible pour le diagnostic de l’appendicite aigüe mais garde plusieurs limites. Objectif : Etudier la fiabilité de l’échographie dans les appendicites aigües, en comparant les données échographiques et opératoires, afin de conclure à la valeur diagnostique de l’échographie. Congrès National de Chirurgie 2017

3 Congrès National de Chirurgie 2017
Matériel – Méthodes Notre étude est une étude rétrospective descriptive et analytique réalisée au sein du CHU Ibn Sina dans le service de Chirurgie I « UCV », sur une période d’une année – de janvier 2014 à Décembre , incluant 130 cas de patients opérés pour une suspicion clinique ou échographique d’appendicite aigüe. Les dossiers des malades ont été analysés à l’aide de fiches d’exploitation regroupant les données anamnestiques, les paramètres de l’examen clinique initial, des examens paracliniques biologiques (Numération formule sanguine et protéine C réactive CRP), radiologiques (échographie abdominale, tomodensitométrie), et les données du compte rendu opératoire. Exclus : plastrons appendiculaires non opérés;péritonites appendiculaires généralisées. Congrès National de Chirurgie 2017

4 Congrès National de Chirurgie 2017
Résultats L’âge moyen de nos patients était de 33,4+/-15 ans, avec des extrêmes de 16 et de 75ans. Les adultes jeunes âgés entre 21 et 30ans étaient les plus touchés avec un pourcentage de 34,6% (n=45). Nous avons noté une nette prédominance masculine, le sexe ratio H/F était de 1,7. La duré d’hospitalisation moyenne était de 3+/-1,2 jours. Tous nos patients ont été opérés pour une suspicion d’appendicite aigüe, et ont donc bénéficié d’une appendicectomie. L’appendicite était vraie dans 79,2% des cas (n=103), et il s’agissait d’un appendice normal, et donc d’une appendicectomie blanche dans 20,8% des cas (n=27). Parmi les 103 cas d’appendicites aigües vraies, 53,4% (n=55) étaient des appendicites simples, il s’agissait de formes compliquées dans 46,6% des cas (n=48). Parmi les 27 cas d’appendice normal, 2 patients avaient un diagnostic autre que l’appendicite, retrouvés à l’exploration chirurgicale, à savoir un cas de pyosalpinx, et un cas de kyste hémorragique de l’ovaire droit. La voie d’abord la plus utilisée était la voie de Mac burney avec un pourcentage de 86,9% (n=113), venaient après les voies médiane et de Jalaguier. La coelioscopie n’était réalisée que dans 2 cas. Les données échographiques étaient en faveur d’une appendicite aigüe dans 80% des cas (n=104), et non en faveur d’une appendicite aigüe dans le reste (n=26). L’appendice était non vu dans 17,7% des cas (n=23), l’échographie était normale dans un cas, et en faveur d’un diagnostic différentiel dans 2 cas : un abcès du psoas et un cas d’iléite terminale faisant suspecter une MICI. La non visualisation de l’appendice était expliquée par des conditions d’examen difficile dans certains cas, à savoir un pannicule adipeux important dans 3 cas, et un écran gazeux gênant l’examen dans 5 cas. Parmi les cas où l’échographie était en faveur d’une appendicite aigüe (n=104), elle était en faveur d’une appendicite aigüe simple dans 79,8% des cas (n=83) et d’une appendicite aigüe compliquée dans 20,2% des cas (n=21), il s’agissait d’un abcès dans 15 cas, ou d’un plastron appendiculaire dans 6 cas. Parmi les patients ayant une vraie appendicite à l’exploration chirurgicale (n=103), 82,5% avaient une échographie positive (n=85), il s’agit donc de vrais positifs. 17,5% avaient une échographie négative (n=18), soit 18 faux négatifs. Dans notre série, nous avions 27 appendicectomies blanches. Parmi ces cas, l’échographie était faussement positive dans 19 cas soit 70,3% des cas. Elle était négative dans 8 cas soit 29,7% des cas. Congrès National de Chirurgie 2017

5 Congrès National de Chirurgie 2017
Conclusions Une échographie en faveur d’une appendicite aigüe demeure un argument fort en faveur du diagnostic mais pas toujours suffisant. Dans les cas ou l’échographie est négative, il faut savoir se référer aux données cliniques et biologiques avant de décider d’opérer ou pas le malade, voir même dans les cas les plus douteux, de réaliser une TDM abdominale, qui permets de réorienter le diagnostic dans la majorité des cas. Congrès National de Chirurgie 2017


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