MENTON 2015 Je dois vous faire un aveu : je crois bien que je suis vraiment masochiste ! En effet, j'aime pratiquer le vélo en plaine et me voici à en.

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1 MENTON 2015 Je dois vous faire un aveu : je crois bien que je suis vraiment masochiste ! En effet, j'aime pratiquer le vélo en plaine et me voici à en baver des ronds de chapeau sur 9000 mètres de dénivelé soit 163 fois la côte de Guermantes !! Je suis maso! Arrivé à Menton, nous prenons possession de nos chambres. Certains commencent à se plaindre : ils ont le train sous leur fenêtre à l'extérieur. Et moi, alors! J'ai Chatillon à l'intérieur! C'est pas le train, c'est un B52! Ce gars là, il est pas dans les normes. Il est né doté d'un échappement libre. C'est pas autorisé par la loi ça! Chaque nuit, il me refaisait Ayrton Senna à l'accélération dans Sainte Dévote. Et pourtant, malgré toutes ces nuits sans sommeil, à me cautériser les tympans, je l'aime mon Pat et suis prêt à partager de nouveau mon dormitoire avec lui. Je vous le dis, je suis maso! J'ai une pensée pour Daniel L. qui n'aime pas les descentes et pourtant... il fait tout pour qu'elles durent le plus longtemps possible. Il doit être maso! Samir a été le plus courageux de nous tous. Il est le seul à avoir accepter de monter dans le camion de Jacinto. L'inconscient...! Le Fangio du Mercantour a copieusement centrifugé notre Sam dans la montée de Peille, lui coupant irrémédiablement l'envie de pédaler. S'en suivirent 7 heures de grand huit entrecoupé de courts arrêts pour... vomir. Il est vraiment maso Samir! Malgré tout ça, je suis prêt à remettre ça. Vivre une semaine pareille, hors du temps et des soucis, tout partager avec les copains (les heures de selle et la glace à la pistache) ça n'a pas de prix. Tant pis si je suis maso! J Pierre B

2 MENTON 2015 Comme d'habitude, l'organisation par les stages du soleil est au top. J'ai apprécié le stage, mais ce n'est pas le meilleur.Pour les points positifs, on a eu des cols, ce n'est pas toujours le cas. La dessus, j'ai été servi (encore que, les journées récup étaient trop cool à mon goût). Chambre et nourriture ok. Météo parfaite. Pour les points négatifs, pour sortir de Menton, trop de circulation, on se serait presque cru à Paris. Il manquait une piscine, à défaut d'aller à la plage. Anselmo

3 Salut philippe, voici ma petite bafouille. mon premier stage de vélo: pourquoi s'imposer la ontagne alors que j'arrive a peine a dépasser le 12kmh sur villejust ? Bon bref, y a pas de raison puisque patrick le fait aussi... Quelle satisfaction personnelle de m'apercevoir que je suis capable de monter des cols de 1500m et de cumuler 3000 sur la journée! En plus de ca, le soleil, la plage, la mer, une ambiance italienne, le buffet...froome qui me salue de la main! Un bain de mer tous les matins, et apres l'effort: une binouze avec les copains. Le reve quoi. ALBAN MENTON 2015

4 Premières sorties de la saison avec maillot court, cuissard court et surtout crème solaire obligatoire durant toute cette semaine inoubliable. Des journées chargées en particulier celle du lundi, la montée du col de Turini a été intensive, le pignon de 26 dents n’était en rien superflu, mais arrivé au col le pique-nique et la vue étaient à la hauteur des efforts précédents. Que dire de la descente, 34 km avec moins de 10 coups de pédales sur une route bien roulante. C’est une fois en bas, juste au début de la montée sur Peille, que les choses se sont franchement compliquées. Un bruit, un craquement, je me retrouve à terre, même pas une égratignure. En revanche, le dérailleur arrière est cassé et surtout le hauban droit est bien fissuré et sa courbure modifiée. Avec regrets je monte donc dans la voiture de Jacinto, ce monsieur a une conduite plus que « sportive », j’ai eu beaucoup de mal à garder les chips et la salade de riz du midi ; incontestablement c’était mon exploit de la journée. Samir je confirme être dans la voiture de Jacinto c’est largement plus éprouvant que sur le vélo. Le lendemain avec un vélo de location, un rayon de cassé. Je ne pensais pas utiliser 2 cadres et 5 roues. Il y avait aussi « Le Brazza » fabuleux repère pour les assoiffés de bière dont je fais partie. Sans oublier les boules de glaces portées à la bouche, mais également portées en triomphe dans coupe au-dessus de la tête par un copain dont je tairai le nom. DANIEL L MENTON 2015

5 Ce n'est pas sans une petite appréhension que je suis arrivé au stage, compte tenu du peu de kilomètres parcourus avant ce stage. Dés le dimanche sortie de sélection, le col de la Madone, 14 km d'ascension pente moyenne 7%, pour moi ascension difficile,les groupes se forment j'intègre le G3. Le lendemain le col du Turini, 1607 m, pente moyenne 7.24% après 49 km et 14 km d'ascension je monte dans la voiture balai accompagné par mon ami Samir. Je suis cuit. Mardi visite en Italie SAN REMO, 72 km de "récupération" belle ballade je me sent mieux à part mes fesses, problème de selle que je vais devoir régler rapidement. Mercredi retour en Italie pour l'ascension du fameux Poggio, je m'attendais à autre chose, je suis resté sur la réserve, je fût surpris en voyant mes collègues d'Ivry arrêtés en train de faire des photos, c'était le sommet...... Jeudi, journée annoncé par Guillaume l'organisateur, comme étant la journée la plus difficile (135 km, 3350m de dénivelé, je crois). Sur proposition de l'organisation, le soir au briefing, je décide, avec Cathy, Samir, Patrick et Jean Pierre B de raccourcir le parcours en début de sortie. Finalement le lendemain au départ seuls Cathy, Samir et moi décidons raccourcir le parcours, Patrick et Jean-Pierre sont au départ du grand circuit. (parcours raccourcis 93km 2250 m de dénivelé) Vendredi dernier jour, le col d'Eze que du bonheur. Conclusion: Super stage, belle région, bonne organisation, beaucoup de progrès, très bonne ambiance et de nouveaux amis. Merci au club d'Ivry, merci aux organisateurs. Ps: je crois que nous avons battu le record de boules de glaces mangées en une semaine. René. MENTON 2015

6 « MENTON, ou la vérité si je Mens…. : « Paysage désastreux, plat et sans aucun relief, aucun intérêt à venir faire du vélo dans cette région. SAMIR : mauvais mécano, mais grimpeur devant l’éternel RENE : Trop bruyant, trop bavard, trop trop, personnage sans intérêt !!! DAN. R : ne progresse pas, n’oublie jamais rien, est toujours à l’heure, et …………….. PAT : Il a gagné son duel face à Phil avec 45mn d’avance, il a horreur des glaces au café, il ne laisse jamais un relai aux autres…. DANIEL. L : Le plus grand descendeur de sa génération et ne case jamais de matériel !!! JEAN PIERRE.C : Egoïste au possible, Misogyne, aucun regard pour les grands-mères …. CHRISTOPHE : bruyant et intenable, ne sait ni grimper, ni descendre, ni rouler. JEAN PIERRE.B : dort très bien sans « BOULLE » kies, très mauvais descendeur. ANSELMO, ERIC, FRANCK : La discrétion ils ne connaissent pas, si au moins ils roulaient convenablement. Incapable de rivaliser avec les meilleurs et n’ont pas été capable de ramener le maillot jaune et à pois… CATHY : l’inverse des 3 autres, elle est discrète et maitrise son vélo dans toutes les conditions… ALBAN : Pour gagner un triathlon, il faut apprendre à pédaler et à nager. De plus une cure en Bavière s’impose pour aimer la bière … PHILIPPE : Certainement le meilleur grimpeur du stage et a battu le record de la montée du col d’Eze !!! Ne plus jamais retourner dans ces séjours avec ces personnes-là ……………………. La vérité rien que la vérité, je le ……………………………………………….. Phil MENTON 2015

7 Comme à chaque stage c’est avec un grand plaisir que j’y participe. Sachant que pour moi avec peu de kilomètre depuis le début de l’année, donc ce n’est pas la grande forme mais plutôt les formes sont bien là, Me disant avec une telle surcharge pondérale, la solution et vite trouver, développement concocter par moi-même un 33/32 va me sauver. -Dimanche, la fameuse sortie de sélection col de la madone à 7% c’était bien clair pour moi que je ferais partie du G3 et dans ma tête un G4 serait pas mal non plus. -Lundi allez courage mon 33/32 me sauvera encore une fois !!! Sauf que le col du Turini avec ses 8% de pente, ma réserver un autre sort, au bout d’une 50taine de km et de 14km de monter qui ont dû m’obliger à mettre les pieds à terre à trois reprise, j’ai même dû marcher un peu afin de décontracter les muscles, Deux lacets plus loin, j’aperçois notre ami Italien avec son camion balai qui demande à moi et à René mon compagnon de galère du jour de monter dans le camion. Trop de retard me dit-il et que Guillaume l’organisateur du stage s’impatiente ainsi que le reste du G3 qui commence à bien se refroidir, et qu’il aimerait bien rentrer avant la nuit. Ouf ! Parlez-vous d’une proposition je saute dans le camion, mon vélo je ne me suis même pas occupé. -Mardi Italie San Remo, quel plaisir de pas souffrir, sortie balade 72 km en cyclotourisme. -Mercredi encore l’Italie avec son ascension du Poggio arriver en haut j’étais resté sur ma faim, c’est plutôt un grand soulagement. -Jeudi, ah le fameux jeudi où j’ai dû rendre presque mes tripes, journée difficile qui était annoncer par Guillaume 135km avec 3350m de dénivelé, lors du briefing de la veille il propose aux personnes souhaitant raccourcir le parcours de 35km de prendre le camion au départ. Décision prise le jeudi au matin, Cathy à l’avant du camion René et moi-même à l’arrière pour nous déposer plus loin comme prévu, sauf que j’ai oublié que notre chauffeur Italien dont j’ai oublié son prénom il a une conduite sportive pour ne pas dire dangereuse, les virages, lacets qui n’en finissait pas je commencer à avoir le mal du transport et au bout de 20 borne j’ai dû l’arrêter pour descendre du véhicule rendre le repas de la veille en suivant Patrick et ses glaces ainsi que le petit déjeuner. Je vous passe les détails, j’étais complétement vider, on me propose donc de passer devant et le faite de voir la route en roulant la conduite de notre ami est mieux passé, Arriver au point départ vélo, je décide de prendre le vélo, petite portion de plat sur 3km début ascension et là je découvre que plus rien dans les jambes un coup de bambou au moral, je déclare forfait, Je passe donc la journée en compagnie de notre pilote qui commence à s’énerver à force de monter Cathy dans le camion à chaque décente et lui descendre le vélo dans les monter, quant à moi jambe vidée corps vidée mais ma tête se remplie de plus en plus à force de l’entendre jacter… Je dirais que ma journée n’était pas complètement perdu, j’ai pu par la suite profiter du beau paysage, et dû faire la mécanique dépanner quelques-uns. -vendredi dernier jour, col d’Eze je dirai génial à mon niveau. Comme à chaque fois stage réussi au niveau organisation, ambiance, j’ai pu profiter des quelques baignade en mer avec Patrick, jean pierre Bouteiller et mon ami de chambre René que j’espère ne pas l’avoir déranger par mes ronflement, J’aurais préféré avoir quelques bornes de plus avant stage et moins de kilo, et là plaisir total. Merci à nous tous que l’usi cyclo continue. SAMIR