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Faline Présente Indian Spirits 2 « Mon père m'a fait appeler. J'ai vu qu'il allait partir. J'ai pris sa main dans la mienne. J'ai pressé la main de mon.

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2 Faline Présente Indian Spirits 2

3 « Mon père m'a fait appeler. J'ai vu qu'il allait partir. J'ai pris sa main dans la mienne. J'ai pressé la main de mon père et je lui ai dit que je protègerai sa tombe de ma propre vie. Mon père a souri et s'en est allé vers la Terre des Esprits. J'ai l'ai enterré dans cette belle vallée où l'eau serpente. J'aime cette Terre plus que tout le reste au monde. Un homme qui n'aimerait pas la tombe de son père serait pire qu'un animal sauvage. » Joseph, Chef des Nez Percé « Qu’est-ce-que la vie ? C’est l’éclat d’une luciole dans la nuit. C’est le souffle d’un bison en hiver. C’est la petite ombre qui court dans l’herbe et se perd au coucher du soleil. » Crowfoot, Chef des Blackfeet « L'homme blanc nous propose cent millions de dollars pour nos Black Hills. Mais cent millions de dollars ne suffiraient pas pour acquérir notre Montagne Sacrée. Pas plus que quatre cents milliards. Ils ne paieraient même pas les dégâts que vous avez faits. Vous ne pourrez jamais nous dédommager pour tout ce que vous nous avez volé et détruit. Vous ne pourrez jamais rembourser les milliers d'Aigles que vous avez tués, ni les bisons et autres bêtes sauvages. Et vous ne pourrez pas effacer votre dette pour tous les Indiens que vous avez massacrés. Les Black Hills ne sont pas à vendre : nous sommes sortis de cette Terre, nos ancêtres y sont enterrés et nous y célébrons nos cérémonies sacrées. C'est le berceau et la Terre des Lakotas. Que diriez-vous si nous vous offrions cent millions de dollars pour acquérir le Vatican ? Croyez-vous que c'est un hasard que vous nous avez ramenés de force dans les Black Hills et les Badlands, pour vous apercevoir ensuite que ces Terres sont riches en or, cuivre, charbon et uranium ? Aujourd'hui vous convoitez l'uranium. Mais vous ne l'aurez pas. Nous sommes les gardiens de l'uranium de Grand-Mère Terre. Si vous l'obteniez, vous ne vous en serviriez que pour détruire le monde créé par Dieu. » Mathew King Oceti Sakowin Oyate Oglala. (Années 1980)

4 « Le cercle est rond et j'ai entend du dire que la Terre est ronde comme une balle et que toutes les étoiles le sont aussi. Le vent, dans sa plus grande puissance, tourbillonne. Les oiseaux font leur nid en rond, car leur religion est la même que la nôtre. Le soleil s'élève et redescend dans un cercle. La lune fait de même, et ils sont ronds l'un et l'autre. Même les saisons, dans leur changement,forment un grand cercle et reviennent toujours où elles étaient. La vie d'un homme est un cercle d'enfance à enfance, et ainsi en est-il de toute chose où le Pouvoir se meurt. Aussi nos tentes étaient rondes comme les nids des oiseaux et toujours disposées en cercle,le cercle de la nation, nid fait de nombreux nids où nous couvions nos enfants selon la volonté du Grand Esprit. » Elan Noir, Indien Sioux Oglala « Je ne comprenais pas alors tout ce qui c'est achevé là. Quand je regarde maintenant vers le passé du sommet de mon vieil âge, je peux encore voir les femmes et les enfants étendus, massacrés, les corps jonchant le sol du ravin. Je les vois aussi clairement que lorsque je les ai vus avec mes yeux encore jeunes, et je peux voir qu'autre chose est mort dans cette boue sanglante, enseveli dans la tourmente de neige, le rêve d'un peuple à été brisé là. C'était un beau rêve, et moi à qui une si grande vision a été donnée dans ma jeunesse, vous me voyez maintenant comme un vieil homme pitoyable qui n'a rien fait, car le cercle de la nation est brisé. Il n'y a plus de centre depuis longtemps et l'arbre marqué d'une cicatrice est mort. » Black Elk, Chef Sioux (Survivant du massacre de Wounded Knee)

5 « Le Grand Esprit nous a donné une vaste terre pour y vivre et des bisons, des daims, des antilopes et autre gibier. Mais vous êtes venus et vous m'avez volé ma terre. Vous tuez mon gibier. Il devient dur alors pour nous de vivre. Maintenant vous nous dites que pour vivre, il faut travailler. Or le Grand Esprit ne nous a pas fait pour travailler, mais pour vivre de la chasse. Vous autres, hommes blancs, vous pouvez travailler si vous le voulez, nous ne vous gênons nullement. Mais à nouveau vous nous dites pourquoi ne devenez-vous pas civilisés ? Nous ne voulons pas de votre civilisation ! Nous voulons vivre comme le faisaient nos pères et leurs pères avant eux. » Crazy Horse, Chef des Sioux Oglalas « Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre. Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même. Laisserons-nous détruire notre peuple sans combattre, abandonnerons-nous notre pays légué par le Grand Esprit, les tombes de nos morts et tout ce qui nous est cher et sacré ? » Tecumseh, Chef des Shawnees « Je suis fatigué de me battre. Nos chefs ont été tués. Looking Glass est parti pour un autre monde. Too - Hul - Sote est aussi parti. Tous les anciens sont également partis. Celui qui dirigeait nos jeunes gens, Ollokot, est parti. Oh, il fait si froid et nous n'avons pas de couvertures. Nos petits enfants meurent de froid. Certaines personnes parmi mon Peuple se sont enfuies dans les collines, elles n'ont ni couvertures ni nourriture. Personne ne sait où elles sont allées, peut-être sont-elles déjà morte de froid. Je veux qu'on me laisse du temps pour rechercher mes enfants, et voir combien je peux en retrouver vivants. Il se peut que je les retrouve parmi les morts. Ecoutez-moi et dite au général Howard que je connais son coeur. Le mien est triste et tourmenté. A partir de ce jour, de l'endroit où se tient le soleil, je ne combattrais plus jamais… » Joseph, Chef Indien Nez Percé

6 « Il est temps que les Indiens fassent connaître au monde ce qu'ils savent sur la Nature et sur Dieu - Dieu c'est le Grand Esprit, l'Esprit, le Créateur, tous sont des termes utilisés pour signifier que toutes les choses sont reliées entre elles et sont égales, que nous sommes semblables à des gouttes de pluie appelées à rejoindre l'océan, à des bougies embrassées par le feu du soleil, faisant à tout jamais partie de Lui. Je vais donc vous dire ce que je sais et qui je suis. Nos vies sont très simples. Nous faisons ce que nous voulons. La seule loi à laquelle nous devons obéir est la loi naturelle, la loi de Dieu. Nous n'en connaissons aucune autre. Nous n'avons pas besoin d’église. Les Black Hills sont notre église. Nous n'avons pas non plus besoin de votre bible. Notre bible, ce sont le vent, la pluie, le soleil et les étoiles. Le monde est une bible ouverte, et nous autres, Indiens, l'étudions depuis des millions d'années. Nous avons appris que Dieu dirige l'Univers, et que tout ce qu'Il a crée a reçu la vie. Même les pierres sont vivantes. Lorsque nous les utilisons pour nos rites sacrés, nous leurs parlons et elles nous répondent. C'est aussi simple que cela. » Mathew King, Sioux Oglala (Années 1980) « Les morts des blancs oublient le pays de leur naissance quand ils s'en vont pour cheminer sous les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre merveilleuse, car elle est la mère des Indiens. Nous faisons partie de la terre et elle fait partie de nous. Les fleurs odorantes sont nos soeurs, les chevreuils, le cheval, le grand aigle sont nos frères. » Seattle, Chef des Suquamish

7 « Le ciel au-dessus de nos têtes qui a pleuré des larmes de compassion pendant des siècles et des siècles, qui nous paraît immuable et éternel est soumis au changement. Aujourd'hui il est clair, demain il sera peut- être recouvert de nuages. Chaque parcelle de ce pays est sacrée dans l'esprit de mon Peuple, chaque flanc de montagne, chaque vallée, chaque plaine, chaque bocage a été sanctifié par un évènement heureux ou malheureux survenu à une époque depuis longtemps révolue. Les rochers eux-mêmes apparemment muets et morts transpirent sous le soleil le long du rivage silencieux et frémissant du souvenir important lié à la vie des miens. » SEATTLE, Chef DWAMISH (Déclaration faite à Port Elliott, 1855) « C'est l'histoire de toute vie qu'il est bon de narrer, et nous autres créatures bipèdes qui la partageons avec les créatures à quatre pattes et aux créatures ailées et à toutes choses vertes ainsi qu'aux pierres car ils sont les enfants d'une seule Mère et leur père un Esprit Unique. Nous devons bien comprendre que toutes choses sont oeuvre du Grand Esprit. Nous devons savoir qu'Il est en toutes choses : dans les arbres, les herbes, les rivières, les montagnes, et tous les quadrupèdes et les Peuples ailés; et ce qui est encore plus important, nous devons comprendre qu'Il est aussi au delà de toutes ces choses et de tous ces êtres. Quand nous aurons compris tout cela profondément dans nos coeurs, nous craindrons, aimerons et connaîtrons le Grand Esprit ; alors nous nous efforcerons d'être, d'agir et de vivre comme Il le veut. » Chef de guerre et leader Spirituel des OCETI SAKOWIN OYATE. (Décembre 1947)

8 « Je suis sensible au fait que des cérémonies à caractère Sacré sont plagiées et vendues par des non-Indiens ainsi que par des Indiens. Nous devons unir nos efforts pour que cela cesse. Nous sommes les héritiers légitimes de ceux à qui ces cérémonies ont été révélées afin que notre peuple reste uni et fort. Il nous a été enseigné de manière à protéger ce savoir et de le transmettre à nos enfants et aux enfants de nos enfants. Cela fait déjà trop longtemps que nous assistons aux effets néfastes que produisent ces abus sur notre peuple. Il est grand temps de réagir et de prendre position afin de préserver notre patrimoine sacré. Nous lançons un appel afin que cesse immédiatement ce lamentable spectacle. Les gourous du nouvel âge et les " hommes - médecine " bon marché exploitent et singent sans scrupule nos cérémonies les plus sacrées, et en donnent des représentations pâles et bâtardes. La danse du soleil, la loge de sudation, la quête de vision ainsi que l’usage de la pipe constitue l’héritage qui nous a été légué par notre créateur. Cet héritage a permis aux nations indiennes de survivre à 500 ans de massacre. Ces traditions sont très précieuses pour nous et nous ne pouvons tolérer toutes ces utilisations qui les désacralisent. C'est notre patrimoine sacré et non le vôtre. Il n’appartient qu’a nous et nous nous le transmettons de génération en génération. » WILMER MESTETH Chef SPIRITUEL ET TRADITIONNEL LAKOTA (Juillet 1993 et redit en 1999) « Ce que je demande au gouvernement, c'est d'être traité comme tous les autres hommes sont traités. Si je ne peux pas aller dans mon propre foyer, donnez-moi un foyer où mon Peuple ne mourra pas si vite. Je sais que ma race doit changer. Nous ne pouvons rester tels que nous sommes à côté de l'homme blanc. Nous ne demandons qu'une chance égale de vivre comme tous les hommes vivent. Nous demandons à être reconnus comme des hommes. Nous demandons que la même loi soit appliquée pareillement à tous les hommes. Si un Indien viole la loi, punissez-le par la loi - si un homme blanc viole la loi punissez-le aussi. Rendez-moi ma liberté, liberté de voyager, liberté de m'arrêter, liberté de travailler, liberté de faire du commerce là où je le choisis, liberté de suivre la religion de mes pères, liberté de penser et d'agir pour moi-même et j'obéirai à chaque loi ou je me soumettrai au châtiment. » Prononcé le 14 Janvier 1879 devant le congrès par Chef Joseph de la tribu des Nez Percés

9 « Tout ce que fait le Pouvoir de l'Univers se fait dans un cercle. Tu enseigneras à d'autre medecine men. Nous, les oiseaux, les aigles, les hiboux,nous sommes une nation et tu seras notre frère. Tu ne tueras pas ou tu ne feras de mal à aucun d'entre nous. Tu nous comprendras toujours lorsque tu viendras chercher une vision sur cette colline. Tu apprendras les herbes et les racines et tu guériras les gens. Tu ne demanderas rien en contrepartie. La vie d'un homme est courte. Fais en sorte que la tienne soit remarquable. » Lame Deer, Chef spirituel des Mniconjou « Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos moeurs. Une parcelle de Terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la Terre ce dont il a besoin. La Terre n'est pas sa soeur, mais son ennemi, et lorsqu'il la conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux, et cela ne le tracasse pas. Il enlève la Terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli. Il traite sa mère la Terre, et son frère le Ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la Terre et ne laissera derrière lui qu'un désert. » Chef SEATTLE de la tribu des Suquamish (Extrait du discours s'adressant au président Grover Cleveland -1854-)

10 « Le temps est glacial et nous n'avons plus de couvertures. Nos enfants meurent de froid. Une partie de mon peuple s'est enfui dans les montagnes où il n'a ni couvertures ni nourriture. Je veux avoir le temps de rechercher mes enfants, de voir combien je pourrai en retrouver. Peut être les trouverai-je parmi les morts. Écoutez-moi mes chefs, mon cœur est triste et malade. A partir de cette heure que marque le soleil, jamais plus je ne combattrai. Nos pères nous ont transmis de nombreuses lois, qu'ils avaient apprises eux-mêmes de leurs pères. Elles disaient de traiter les hommes comme ils nous traitent, que nous ne devions jamais rompre un accord les premiers, que c'était une honte de dire des mensonges, que seule la vérité devait être dite. » Joseph, Chef des Nez Percés « Nous secouons les glands et les pommes de pin dans les arbres. Nous n'utilisons que du bois mort. L'homme blanc, lui retourne le sol, abat les arbres, détruit tout. L'arbre dit: " Arrête, je suis blessé, ne me fais pas de mal ". Mais il l'abat et le débite. Il scie les arbres. Cela leur fait mal. La roche dit: " Arrête tu me fait mal". Mais l'homme blanc n'y fait pas attention. Quand les Indiens utilisent les pierres, ils les prennent petites et rondes pour y faire leur feu. la Terre dit : " C'est de moi que l'homme a été fait". Le Grand Esprit, en plaçant les hommes sur Terre, a voulu qu'ils en prissent grand soin et qu'ils ne fissent point de tort l'un à l'autre. » Vieille femme Wintu

11 Indian Spirits Création Faline

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