Leçon 4 pour le 23 avril 2016
« Si vous deviez faire une liste de ce que vous craignez le plus dans la vie, quels éléments comporterait-elle ? Pour beaucoup d’entre nous, elle comprendrait la mort d’un membre de notre famille, ou même notre mort personnelle. Si Dieu devait faire une liste de ce qu’il redoute le plus, il s’agirait certainement de la perte de la vie éternelle d’un proche, ou de vous-même. » surtoutmaladie spirituelle mort éternelle « C’est sûr, Dieu se préoccupe de la maladie et de la mort physique, mais il se préoccupe surtout de la maladie spirituelle et de la mort éternelle. » (Guide d’étude de la Bible, p. 24.)
La puissance de son toucher (Matthieu 8.1-4) La puissance de sa parole (Matthieu ) La puissance de son autorité (Matthieu ) La puissance du pardon (Matthieu 9.1-8) La puissance de son appel (Matthieu ; ) Dans les chapitres 8 et 9 de Matthieu nous pouvons voir la puissance de Jésus :
Jésus se retrouve de nouveau face au royaume de Satan, peuplé de gens gangrenés « Après avoir prêché le sermon sur la montagne, où il avait décrit les principes du royaume de Dieu, Jésus se retrouve de nouveau face au royaume de Satan, endroit froid et sombre, peuplé de gens gangrenés gémissant après la rédemption, un endroit dont les principes sont souvent contraires à tout ce que Jésus représente. » la misère du royaume de Satan, c’était la lèpre. un exemple fort et horrible « À cette époque-là, l’un des plus grands exemples de la profondeur de la misère du royaume de Satan, c’était la lèpre. Utilisée occasionnellement comme une forme de châtiment divin, comme dans le cas de Miriam (voir Nombre ), quand on la considère dans le contexte global de la Bible, c’est un exemple fort et horrible de ce que signifie vivre dans un monde déchu et disloqué. » (Guide d’étude de la Bible, p. 25.)
Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre purle toucha « Un lépreux survint, qui se prosternait devant lui en disant : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Il tendit la main, le toucha et dit : Je le veux, sois pur. Aussitôt il fut pur de sa lèpre. » (Matthieu 8.1-4) Après avoir utilisé le mot δυνασαι (dúnamai, "plein d'un pouvoir"), le lépreux exprimait sa foi que Jésus était plein d'un pouvoir pour soigner l'incurable. « En grec, le mot pour « peux » est dunamai, qui a donné « dynamite ». Il signifie plein de puissance. » ( Guide d’étude de la Bible, p. 25.) Pourquoi toucher le lépreux quand il pouvait simplement utiliser sa parole pour le soigner? Toucher un lépreux impliquait d’acquérir la lèpre. Cependant, le toucher de Jésus a laissé « l'homme immonde » sain. Jésus est toujours disposé à être en contact avec les pécheurs pour pouvoir les transformer et les nettoyer de leur péché.
Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. le toucha « Un lépreux survint, qui se prosternait devant lui en disant : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Il tendit la main, le toucha et dit : Je le veux, sois pur. Aussitôt il fut pur de sa lèpre. » (Matthieu 8.1-4) Pourquoi a-t-il touché le lépreux ? « En purifiant le lépreux de sa terrible maladie, le Christ a donné une image de son œuvre, cette œuvre qui consiste à nettoyer les hommes de leurs péchés. […] Il en est de même de la lèpre du péché, profondément enracinée, mortelle, et qu’aucun moyen humain ne peut guérir. » (E. G. White, Jésus-Christ, p. 250 )
Ce récit n’est pas un simple cas d’un lépreux recherchant la guérison. « Ce récit n’est pas un simple cas d’un lépreux recherchant la guérison. une espèce brisée et impie, sans aucun moyen de trouver le repos, la paix et la rédemption. Ce lépreux représente une espèce brisée et impie, sans aucun moyen de trouver le repos, la paix et la rédemption. le péché la lèpre de l’âme C’est le péché qui nous rend le plus intouchables. C’est la lèpre de l’âme, là où le tréfonds de l’être se met à pourrir, où se change en une pierre dure et froide, où la vision pour les choses nobles et élevées se mue en un égocentrisme orgueilleux et hautain. » (Andy Nash, Matériel auxiliaire pour le moniteur, p )
« Tous ont péché », tous sont des lépreux spirituels, des intouchables. « Tous ont péché », écrit l’apôtre Paul (Romains 3.23). Ainsi, tous sont des lépreux spirituels, des intouchables. Vu sous cet angle, l’histoire de Jésus touchant le lépreux nous donne à tous de l’espoir. Il n’a pas franchi une distance de six pieds, mais l’abîme entre le ciel et la terre. Il a quitté la présence de Dieu, et il est venu sur la terre pour nous toucher tous. » (Andy Nash, Matériel auxiliaire pour le moniteur, p )
« Le centurion répondit : Seigneur, ce serait trop d'honneur pour moi que tu entres sous mon toit ; dis seulement une parole, et mon serviteur sera guéri ! » (Matthieu 8.8) « […] Daniel passe beaucoup de temps à évoquer Rome (voir Daniel 7.7, 8,19-21 ; Daniel ,23-25). Et cette raison, c’est, qui dominait également au temps de Jésus. Pourtant, un officier romain, non seulement un symbole de la puissance de Rome, mais une expression de cette puissance, vient voir Jésus. Et cette raison, c’est sa grande puissance, qui dominait également au temps de Jésus. Pourtant, un officier romain, non seulement un symbole de la puissance de Rome, mais une expression de cette puissance, vient voir Jésus. L’homme est désespéré devant les épreuves et tragédies habituelles qui nous touchent tous. Véritablement, sans l’aide divine, quel espoir avons-nous, qui que nous soyons ? » (Guide d’étude de la Bible, p. 26.)
« Le centurion répondit : Seigneur, ce serait trop d'honneur pour moi que tu entres sous mon toit ; dis seulement une parole, et mon serviteur sera guéri ! » (Matthieu 8.8) Malgré son pouvoir et son autorité, le centurion était sans défense contre la maladie de son serviteur. Comme le lépreux, le centurion a la foi que la parole de Jésus est si puissante qu'il peut faire l'impossible. Jésus est émerveillé par une telle foi. Parmi le peuple privilégié de Dieu, il n'a pas trouvé la même foi. « Je vous le dis, beaucoup viendront de l'est et de l'ouest pour s'installer à table avec Abraham, Isaac et Jacob dans le royaume des cieux. Mais les fils du Royaume seront chassés dans les ténèbres du dehors ; c'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents. » (Matthieu )
« Étonnés, ils se disaient : Quelle sorte d'homme est-il, celui-ci, que même les vents et la mer lui obéissent ? » (Matthieu 8.27) « Ceux qui les faisaient paître s'enfuirent et allèrent raconter dans la ville tout ce qui était arrivé — l'affaire des démoniaques. Alors toute la ville sortit au-devant de Jésus ; dès qu'ils le virent, ils le supplièrent de s'éloigner de leur territoire. » (Mateo 8:33-34) Lorsque Jésus utilise son autorité sur les éléments et les démons, les gens sont dans la crainte (voir Luc 8.25, 35). La crainte des disciples les a amenés à s'étonner et à adorer Jésus. La crainte des citoyens de Gadara les a amenés à demander à Jésus de s'éloigner d’eux. Jésus a le pouvoir de défaire tout le travail que le diable fait dans nos vies. Allons-nous continuer à faire paître nos porcs (en vivant dans le péché) ou bien allons-nous nous placer sous la merveilleuse autorité de Jésus et lui permettre de déraciner notre péché ?
« Étonnés, ils se disaient : Quelle sorte d'homme est-il, celui-ci, que même les vents et la mer lui obéissent ? » (Matthieu 8.27) « Ceux qui les faisaient paître s'enfuirent et allèrent raconter dans la ville tout ce qui était arrivé — l'affaire des démoniaques. Alors toute la ville sortit au-devant de Jésus ; dès qu'ils le virent, ils le supplièrent de s'éloigner de leur territoire. » (Matthieu 8:33-34) Que nous enseignent ces deux récits sur la puissance de Dieu ? Dans la pensée juive, dominer la nature et les démons constituait la prérogative de Dieu seul. Après avoir calmé une violente tempête par une simple parole (Matthieu ), Jésus pose le pied sur la rive est de la mer de Galilée, non seulement en territoire païen, mais là où vivaient des possédés. Marc et Luc donnent des détails supplémentaires à l’histoire des hommes possédés. Les démons se présentent comme étant légion. Une légion dans l’armée était constituée de six mille soldats. Les démons ont été envoyés dans deux mille cochons. (Guide d’étude de la Bible, p. 27.)
« Étonnés, ils se disaient : Quelle sorte d'homme est-il, celui-ci, que même les vents et la mer lui obéissent ? » (Matthieu 8.27) « Ceux qui les faisaient paître s'enfuirent et allèrent raconter dans la ville tout ce qui était arrivé — l'affaire des démoniaques. Alors toute la ville sortit au-devant de Jésus ; dès qu'ils le virent, ils le supplièrent de s'éloigner de leur territoire. » (Matthieu8:33-34) […] l’idée la plus importante dans tout cela est la suivante : la condition ravagée des hommes dans cette histoire est exactement la condition ravagée que Satan veut pour les enfants de Dieu. Mais Jésus a complètement transformé leurs vies. Tout ce que Satan cherche à faire dans nos vies, Jésus peut et veut le défaire pour ceux qui choisissent de se donner à Christ. Dans le cas contraire, nous sommes impuissants face à Satan. « Le voleur ne vient que pour voler, abattre et détruire ; moi, je suis venu pour qu’ils aient la vie et l’aient en abondance. » (Jean 10.10). (Guide d’étude de la Bible, p. 27.)
« On lui amena un paralytique couché sur un lit. Voyant leur foi, Jésus dit au paralytique : Courage, mon enfant ! Tes péchés sont pardonnés. » (Matthieu 9.2) Fascinant : la première chose que Jésus a réglée quand le paralytique a été amené devant lui, c’est la condition spirituelle de l’homme. [..] Connaissant le désir de l’homme d’être pardonné, Jésus prononce les paroles les plus merveilleuses et réconfortantes que peut entendre celui qui comprend la réalité et le prix du péché : « Tes péchés sont pardonnés » « Quelques scribes se dirent alors : Il blasphème. Jésus, qui voyait leurs pensées, dit : Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées ? Qu'est-ce qui est le plus facile, de dire : « Tes péchés sont pardonnés », ou de dire : « Lève-toi et marche ! » Eh bien, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a l'autorité sur la terre pour pardonner les péchés — il dit alors au paralytique : Lève-toi, prends ton lit et retourne chez toi. L'homme se leva et s'en alla chez lui. » (Matthieu 9.3-7) (Guide d’étude de la Bible, p. 28.)
« On lui amena un paralytique couché sur un lit. Voyant leur foi, Jésus dit au paralytique : Courage, mon enfant ! Tes péchés sont pardonnés. » (Matthieu 9.2) Ce paralytique n'avait pas besoin d'une autre guérison que l'assurance du pardon de ses péchés. Il était physiquement guéri afin de faire taire les scribes! Au-dessus des circonstances et des problèmes de chacun, il y a une chose dont nous avons tous besoin : le pardon de nos péchés. Sans le pardon, peu importe si nous restons malades ou si nous sommes guéris. Nous avons perdu la vie éternelle. Heureusement pour notre santé spirituelle, « le Fils de l'homme a l'autorité sur la terre pour pardonner les péchés » (Matthieu 9.6).
Lisez Matthieu et 9.9. En observant la façon dont Jésus a appelé ces gens et comment, dans certains cas, ils ont été mis en garde contre les problèmes auxquels ils seraient confrontés, nous pouvons conclure que suivre Jésus signifie : « Un scribe vint lui dire : Maître, je te suivrai partout où tu iras. » « Jésus lui dit : le Fils de l'homme n'a pas où poser sa tête. » (Matthieu ) Sommes-nous disposés à renoncer à tout et à subir des désagréments pour Lui ? « Un autre, parmi ses disciples, lui dit : Seigneur, permets-moi d'aller d'abord ensevelir mon père. Mais Jésus lui dit : Suis-moi et laisse les morts ensevelir leurs morts. » (Matthieu ) Mettre Jésus avant notre propre famille. « En passant plus loin, Jésus vit un homme appelé Matthieu assis au bureau des taxes. Il lui dit : Suis-moi. Celui-ci se leva et le suivit. » (Matthieu 9.9) Nous lever. Mettre notre vie au service de Jésus. Dans Matthieu , nous voyons deux hommes s’approcher de Jésus pour devenir ses disciples. Tous deux sont sincères. On trouve un autre appel à devenir disciple dans Matthieu , avec l’histoire de Matthieu, un collecteur d’impôts méprisé.
« Il est des personnes qui ont appris à connaître l’amour et le pardon de Jésus-Christ, et qui désirent sincèrement être des enfants de Dieu; toutefois, elles voient les imperfections de leur caractère et les insuffisances de leur vie, et elles en viennent à douter de la réalité de leur régénération par le Saint-Esprit. Je leur dirai: Ne vous laissez pas abattre. Nous devrons souvent nous prosterner aux pieds de Jésus pour y venir pleurer sur nos manquements et nos erreurs, mais ce n’est pas une raison pour nous laisser aller au découragement. » (E. G. White, Le meilleur chemin, La pierre de touche, p. 61)
« Même si nous sommes vaincus par l’ennemi, nous ne sommes pas repoussés, délaissés ni rejetés par Dieu. […] Priez avec plus d’ardeur; que votre confiance soit plus implicite. À mesure que nous nous défions de nos propres forces, apprenons à nous confier en celles de notre Rédempteur, … et nous glorifierons celui qui est notre vie et notre joie. » (E. G. White, Le meilleur chemin, La pierre de touche, p. 61)
« Dans la routine de la vie quotidienne, souvenez-vous d’occasions où vous avez dit à Christ de vous laisser tranquille, ou bien d’attendre un peu. Citez des manières imperceptibles de garder Christ à distance. Christ dérange. « Pourquoi est-ce que tu nous déranges ? Laisse-nous tranquilles » est le cri de ceux qui vivent dans les zones de confort de l’aise et le silence du cimetière. Mais heureux ceux qui ouvrent les portes et invitent le Christ crucifié à entrer et à le laisser dîner avec eux. » Matériel auxiliaire pour le moniteur, p. 55.) « Je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un m'entend et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je dînerai avec lui et lui avec moi. » (Apocalypse 3.20) JE MEDITE Amen !