La production du miel en baser mondiale Moyenne =81,5%

Les types de miel Les types de miel Le miel de robinier dit « faux-acacia », vendu sous le nom de « miel d’acacia » bien que n'ayant aucun rapport avec l'acacia véritable, à saveur douce, est liquide, clair et ne cristallise qu'au bout de quelques années. Le miel de robinier dit « faux-acacia », vendu sous le nom de « miel d’acacia » bien que n'ayant aucun rapport avec l'acacia véritable, à saveur douce, est liquide, clair et ne cristallise qu'au bout de quelques années.robinieracaciarobinieracacia Le miel de châtaignier au goût corsé, amer, est visqueux et plus ou moins sombre selon qu'il provient de nectar ou de miellat. Le miel de châtaignier au goût corsé, amer, est visqueux et plus ou moins sombre selon qu'il provient de nectar ou de miellat.châtaignier Le miel de lavande, très parfumé, de couleur crème présente une granulation très fine. Le miel de lavande, très parfumé, de couleur crème présente une granulation très fine.lavande Le miel de tilleul, très délicatement parfumé, de couleur claire. Le miel de tilleul, très délicatement parfumé, de couleur claire.tilleul Le miel de colza, avec une légère saveur de chou, est de couleur claire, il cristallise rapidement en raison d'une forte teneur en glucose. Le miel de colza, avec une légère saveur de chou, est de couleur claire, il cristallise rapidement en raison d'une forte teneur en glucose.colza Le miel de sarrasin ou blé noir, corsé, de couleur brune, est emblématique du terroir breton. Le miel de sarrasin ou blé noir, corsé, de couleur brune, est emblématique du terroir breton.sarrasin Les miels de garrigue et de montagne sont toutes fleurs, leur saveur et leur aspect dépendent de leurs terroirs. Les miels de garrigue et de montagne sont toutes fleurs, leur saveur et leur aspect dépendent de leurs terroirs.garrigue Le miel de trèfle, produit à partir de ces derniers, miel blanc. Le miel de trèfle, produit à partir de ces derniers, miel blanc.trèfle Le miel de bleuet, à partir des fleurs de myrtilliers. Le miel de bleuet, à partir des fleurs de myrtilliers.bleuet Le miel de tournesol, de couleur dorée, jaune moutarde, à saveur fruitée et unique. Le miel de tournesol, de couleur dorée, jaune moutarde, à saveur fruitée et unique.tournesol

Le miel de ronce, très parfumé, de couleur dorée, est un miel rare qui provient des fleurs de mûre. Le miel de ronce, très parfumé, de couleur dorée, est un miel rare qui provient des fleurs de mûre.ronce Le miel de fleur d'oranger et d'autres agrumes, réputés dans les zones de culture d'agrumes en Espagne et en Corse (mandarinier) en particulier Le miel de fleur d'oranger et d'autres agrumes, réputés dans les zones de culture d'agrumes en Espagne et en Corse (mandarinier) en particulierfleur d'orangerfleur d'oranger Le miel de litchi, produit entre autres à la Réunion. Les ruches sont placées dans les vergers à litchi au moment de la pollinisation. Le miel de litchi, produit entre autres à la Réunion. Les ruches sont placées dans les vergers à litchi au moment de la pollinisation.litchi Le miel d'eucalyptus, réputé en Australie. Le miel d'eucalyptus, réputé en Australie.eucalyptus Le miel de callune, de couleur brun orangé, issu des Landes et des Cévennes. Il est très visqueux naturellement, se liquéfie lorsqu'on l'agite, mais gélifie de nouveau au repos ; cette spécificité est due à une protéine présente uniquement dans ce miel 14. Le miel de callune, de couleur brun orangé, issu des Landes et des Cévennes. Il est très visqueux naturellement, se liquéfie lorsqu'on l'agite, mais gélifie de nouveau au repos ; cette spécificité est due à une protéine présente uniquement dans ce miel 14.calluneLandesCévennes 14calluneLandesCévennes 14 Le miel de pissenlit, produit à partir de ces derniers, miel jaune franc. Le miel de pissenlit, produit à partir de ces derniers, miel jaune franc.pissenlit Le miel de manuka, provient de l'arbre de manuka que l'on trouve en Nouvelle- Zélande. Le miel de manuka, provient de l'arbre de manuka que l'on trouve en Nouvelle- Zélande.manuka

L’abeille domestique, Apis mellifera, est un insecte de l’ordre des Hyménoptères qui comprend plus de espèces. Elle appartient à la grande famille des Apoïdes, dont les membres ont pour caractéristiques communes de posséder une longue langue pour recueillir le nectar, de disposer, sur les pattes arrière, d’un astucieux système pour entreposer le pollen et d’être poilus. L’abeille domestique, Apis mellifera, est un insecte de l’ordre des Hyménoptères qui comprend plus de espèces. Elle appartient à la grande famille des Apoïdes, dont les membres ont pour caractéristiques communes de posséder une longue langue pour recueillir le nectar, de disposer, sur les pattes arrière, d’un astucieux système pour entreposer le pollen et d’être poilus.

L’espérance de vie des ouvrières varie selon les saisons : de 30 à 45 jours pour les abeilles au printemps et en été, à plusieurs mois pour celles qui naissent à l’automne et permettent à la colonie de survivre à l’hiver et redémarrer le cycle. Au fur et à mesure de leur existence et de leur maturation physiologique, elles changent de rôle. L’espérance de vie des ouvrières varie selon les saisons : de 30 à 45 jours pour les abeilles au printemps et en été, à plusieurs mois pour celles qui naissent à l’automne et permettent à la colonie de survivre à l’hiver et redémarrer le cycle. Au fur et à mesure de leur existence et de leur maturation physiologique, elles changent de rôle.

Voici les rôle des abeille Voici les rôle des abeille Les Apis mellifera ouvrières tiennent différentes fonctions au cours de leur vie. Dès le 6 e jour suivant leur naissance, ces abeilles endossent un rôle de nourrice. Elles se chargent d'alimenter les larves grâce à des sécrétions produites par leurs glandes hypopharyngiennes et mandibulaires. À l’âge de 21 jours, et après avoir rempli d’autres tâches, elles deviennent des butineuses. Leur rôle consiste alors à quitter la ruche dans le but d’aller récolter du pollen, un élément nutritif nécessaire à la survie de la colonie. Tous ces changements laissent des traces repérables sur leur ADN. Ces deux types d’ouvrières présentent ainsi des patrons de méthylation différents. Les Apis mellifera ouvrières tiennent différentes fonctions au cours de leur vie. Dès le 6 e jour suivant leur naissance, ces abeilles endossent un rôle de nourrice. Elles se chargent d'alimenter les larves grâce à des sécrétions produites par leurs glandes hypopharyngiennes et mandibulaires. À l’âge de 21 jours, et après avoir rempli d’autres tâches, elles deviennent des butineuses. Leur rôle consiste alors à quitter la ruche dans le but d’aller récolter du pollen, un élément nutritif nécessaire à la survie de la colonie. Tous ces changements laissent des traces repérables sur leur ADN. Ces deux types d’ouvrières présentent ainsi des patrons de méthylation différents.Apis melliferalarvessécrétionsglandesrécolter du pollensurvie de la colonieApis melliferalarvessécrétionsglandesrécolter du pollensurvie de la colonie Pour tester la réversibilité des adaptations génétiques, toutes les nourrices de deux ruches (6.000 à abeilles par unité) ont été prélevées durant une absence des butineuses. Dès leur retour, la moitié d’entre elles se sont transformées en nourrices afin de remplacer les absentes. Elles ont à leur tour fait l’objet d’un échantillonnage. Leur épigénome a été analysé grâce à un séquençage au bisulfite (WGBS), les méthylations étant recherchées selon une technique nommée comprehensive high- throughput array-based relative methylation (Charm). Pour tester la réversibilité des adaptations génétiques, toutes les nourrices de deux ruches (6.000 à abeilles par unité) ont été prélevées durant une absence des butineuses. Dès leur retour, la moitié d’entre elles se sont transformées en nourrices afin de remplacer les absentes. Elles ont à leur tour fait l’objet d’un échantillonnage. Leur épigénome a été analysé grâce à un séquençage au bisulfite (WGBS), les méthylations étant recherchées selon une technique nommée comprehensive high- throughput array-based relative methylation (Charm).rucheséchantillonnageépigénomeséquençagerucheséchantillonnageépigénomeséquençage Les résultats obtenus ont été comparés avec des données récoltées chez des butineuses et des jeunes en charge des soins aux larves. Ils sont sans appel. Les nourrices reconverties ont présenté les mêmes motifs de méthylation que les jeunes ouvrières. De plus, les gènes ayant perdu des groupements méthyles correspondent bien à ceux qui ont été adaptés durant la vie de l’abeille. Les comportements de ces insectes sont donc réversibles, tout comme les adaptations faites sur leur ADN. butineusescomportementsréversiblesbutineusescomportementsréversibles

Voici la reine La reine a pour unique mission d’assurer le renouvellement permanent des membres de la colonie. La pérennité de la ruche dépend entièrement de ses pontes et quelles pontes ! À la belle saison et au mieux de sa forme, une reine pond plus de oeufs par jour, soit plus d’un oeuf par minute ! Pour atteindre ces formidables performances, elle est abondamment nourrie de gelée royale et fait l’objet des soins attentifs de sa cour. La reine a pour unique mission d’assurer le renouvellement permanent des membres de la colonie. La pérennité de la ruche dépend entièrement de ses pontes et quelles pontes ! À la belle saison et au mieux de sa forme, une reine pond plus de oeufs par jour, soit plus d’un oeuf par minute ! Pour atteindre ces formidables performances, elle est abondamment nourrie de gelée royale et fait l’objet des soins attentifs de sa cour.

En France, depuis une trentaine d’années, les populations d’abeilles diminuent. Ce phénomène touche d’autres pays d’Europe, l’Amérique du Nord et l’Asie. Cette surmortalité alarmante s’est accélérée depuis le milieu des années 1990, des ruchers entiers ont été dévastés en quelques années. Les causes de ce désastre ? L’usage intensif de produits phytosanitaires, qui intoxiquent les abeilles, favorise en diminuant les défenses immunitaires les infections parasitaires, dont le redoutable varroa. Et l’apparition d’un nouveau et terrible prédateur, le frelon asiatique. En France, depuis une trentaine d’années, les populations d’abeilles diminuent. Ce phénomène touche d’autres pays d’Europe, l’Amérique du Nord et l’Asie. Cette surmortalité alarmante s’est accélérée depuis le milieu des années 1990, des ruchers entiers ont été dévastés en quelques années. Les causes de ce désastre ? L’usage intensif de produits phytosanitaires, qui intoxiquent les abeilles, favorise en diminuant les défenses immunitaires les infections parasitaires, dont le redoutable varroa. Et l’apparition d’un nouveau et terrible prédateur, le frelon asiatique.