Projet d’histoire Marie-Lynn, Valerie, Erika, Myriam
L’autochtonisme Les caractéristiques: - né, vers 1969, lorsque le gouvernement canadien a voulu enlever le statut particulier aux Indiens, de retirer la Loi sur les Indiens et de tout transférer ce pouvoir aux gouvernements de chaque province du Canada -ils pensent plutôt qu’ils devraient pouvoir s’occuper de ces responsabilités. Les objectifs majeurs de l’autochtonisme sont de protéger leurs terres d’origine, ainsi que leurs droits acquis, qui peu à peu se font retirer par les gouvernements -Les droits les plus défendus sont surtout aux niveaux culturels, donc tout ce qui englobe leurs coutumes, leurs langues et leurs traditions.
L’autochtonisme Manifestations culturelles: -festival Innu Nikamu (festival musical) -Le peuple invisible de Richard Desjardins et Robert Mondérie (film) -le festival présences autochtones (festival musical) - Les chants de gorge Inuits Pour préserver leur culture
L’autochtonisme Les acteurs qui incarnent l’autochtonisme -Samian (musicien algonquien) -Élisapie Isaac (chanteuse, animatrice, réalisatrice de documentaires et activiste) -Jean-Luc Hervieux (peintre) -Alanis Obomsawin (cinéastre) -Bernard Assiniwi (écrivain, chercheur en histoire autochtone, un producteur et un acteur)
L’Américanisme
Définition de l’Américanisme L'américanisme est l'imitation de la culture américaine (mode de vie, loisirs, habitudes de consommation, idées modernes, etc.). Cette situation est en lien avec l'apparition des médias de masse (radio, télévision).
Depuis les années 1920, la culture d'ici est fortement influencée par la culture américaine, comme la musique et le cinéma américain. Au niveau musical, le jazz, le charleston et la musique swing sont omniprésents notamment à la radio.
Avec le début des années 1950 arrive la télévision. Les Québécois y écoutent des émissions locales, mais aussi des productions en provenance des États-Unis. Les émissions américaines font inévitablement la promotion des valeurs américaines. On y fait la promotion de la liberté, de l'individualisme et de la réussite économique.
HOWARD HUGHES Certains hommes d'affaires de la région mettent sur pied une industrie dans le secteur du divertissement. C'est le cas d'Howard Hughes, qui est à la fois un aviateur, un homme d'affaires, un constructeur aéronautique et un producteur cinématographique. I’m nummy-nummy
ED SULLIVAN Certaines émissions comme The Ed Sullivan Show influencent la culture québécoise pendant les années 1950 et I’m less nummy- nummy than that guy (-_-)
OSCAR PETERSON Le jazz est un style de musique très populaire aux États-Unis, mais aussi au Québec où plusieurs musiciens se font connaître, comme Oscar Peterson de Montréal considéré comme l'un des plus grands pianistes de jazz. I’m not very nummy-nummy at all but I sing real naaaasse
Il doit encourager les échanges commerciaux par une plus grande liberté de commerce, notamment en diminuant les tarif douanier entre les pays et en dérèglement le commerce Pour les néolibéraux, la culture, comme tous les autres secteurs économique, doit obéir aux lois du marché. Dans ce contexte, l'État devrait abolir ou diminuer ses subvention culturelle: musique, cinéma, etc. Ils suppose a une plus grande responsabilisation individuelle dans la vie collective Caractéristiques
Plusieurs acteurs de la société, comme les milieux financiers, les multinationales et certains partis politiques, remettent en question le rôle de l'État providence et prônent le néolibéralisme Brian Mulroney (ALENA) Jean Chrétien, Paul Martin et Stephen Harper Acteurs
Mouvement Altermondialiste (contre le néoliberalisme) Les écrits consacrés à l’émergence du mouvement altermondialiste français oscillent entre deux tendances opposées. La première est celle du surgissement de l’inédit, qui envisage l’apparition de la contestation altermondialiste en termes de radicale nouveauté. Souvent soucieuse d’identifier l’événement fondateur de la mobilisation.cette lecture en valorise les traits les plus novateurs, tels que la jeunesse des militants, l’inventivité de leurs formes d’action ou l’usage de technologies innovantes (comme Internet). À cette première tendance – qui relève de ce que Verta Taylor appelle une « conception immaculée » des mouvements sociaux – s’opposent les études de type généalogique qui, à l’inverse, portent l’accent sur ce que l’altermondialisation doit aux mouvements qui l’ont précédée et sur lesquels elle s’est construite. La seconde grille de lecture est de toute évidence la plus heuristique pour comprendre l’émergence du mouvement altermondialiste, et notre propre démarche s’inscrit résolument dans cette perspective. Le second est inhérent à une vision téléologique de l’histoire des mobilisations antérieures à l’altermondialisation : celles-ci ne pouvaient que déboucher sur la constitution du mouvement contre la mondialisation libérale, au sein duquel elles auraient en quelque sorte trouvé, en s’unifiant, leur aboutissement et leur achèvement.