CHAPITRE 3 Histoire du Canada

La Colombie- Britannique- p.32 L’économie de la côte Ouest se portait beaucoup mieux que celle de la côte Est La présence dans les eaux du Pacifique de diverses espèces de saumon attirait les investisseurs. En 1902, l’industrie de la pêche était dominée par une entreprise américaine- “La British Colombia Packer’s Association” La Colombie Britannique diversifiait son économie en investissant dans les autres secteurs de l’économie primaire.

Il y avait tellement de fôrets que le Canada allait devenir le premier pays producteur du papier au monde. Les mines de la Colombie Britannique ont benificé d’investissements venus du Canada, de la Grande Bretagne et des Etats Unis En 1910 la Colombie Britannique n’était surpasée que par l’Ontario pour la valeur de son industrie minière.

Le Canada Industriel Le sud du Québéc et l’Ontario connaissait une véritable révolution industrielle. La production de vêtements comme le textiles, les vêtements, et les chaussures a assuré la prosperité des usines.

Après 1900, le Québec et l’Ontario ont profité d’investissements canadiens et étrangers pour se lancer dans la production des machines nécéssaires à la transformation des matières premières qui viennent des autres regions. L’industrie minière, forstière l’agriculture et même la pêche avaient besoin de nouveaux équipements pour rester compétitives.

Le raffinage du pétrole, la production des substances chimiques et la production de l’éléctricité ont eu croissance considérable dans le centre du Canada.

Le Quebec en mutation- p.33 L’économie du Québec s’est dévéloppée au même rythme que l’économie ontarienne. Ceci était grace à l’énergie hydroélectrique, aux mines du Nord et aux villes industrielles Certaines personnes pensaient que l’industrialisation menacaient la société canadienne-français

La moitié des Canadiens francais vivaient encore à la campagne; les autres été forces de quitter leur village natal pour aller gagner leur vie en ville, et même aux Etats Unis. Les Canadiens francais craignaient pour la survie de leur langue, et de leur culture.

Cette emigration vers les Etats Unis étais très mal vue par les elites du Québec, particulièrement de l’église. La première solution a été la colonisation de nouvelles terres au Québec: au Lac-Saint-Jean, en Gaspésie, dans l’Outaouais, et en Abitibi.

L’autre option pour les Canadiens francais était d’installer dans le nord d’Ontario qui developpaient à cause du chemin de fer. Trois secteurs économiques ont permis à l’époque le développement du nord de l’Ontario: les mines, le bois et l’agriculture

Les francophones qui ont immigré dans les régions de North Bay, de Sudbury et de Timmons ont surtout travaillé dans les secteurs forestier, agricole et minière. L’Eglise catholique romaine n’était pas oppose à l’industrialisation, mais elle tenait que les Canadiens français conservent leurs traditions, rurales, leur langue, leurs libertés et leurs religion catholiques. L’anglais était langue des affaires et les anglophones