Leçon 5 pour le 20 juillet 2016
Verset à mémoriser : « Jésus parcourait toute la Galilée, il enseignait dans les synagogues, prêchait la bonne nouvelle du royaume, et guérissait toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. » (Matthieu 4.23) Étude de la semaine : Luc ; ; Matthieu 5.13 ; Ésaïe 2.8 ; Jean ; Matthieu
(Guide d’étude de la Bible, p. 31.) « Nous avons en partie étudié ce que dit l’Ancien Testament sur le fait d’aider ceux qui en ont besoin. Nous allons à présent examiner de plus près ce qu’en dit le Nouveau Testament, et nous commencerons par Jésus. Parmi les enseignements bien connus de Jésus, il y a celui qui dit que nous devons être « la lumière du monde » (Mt 5.14). Ainsi, nous reflétons Jésus, la véritable Lumière du monde (Jean 8.12). »
« L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a conféré l'onction pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres ; il m'a envoyé pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le retour à la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour proclamer une année d'accueil de la part du Seigneur. » (Luc ) Il ne se limiterait pas à mourir pour l'humanité, mais il montrerait par ses actes l'amour du Père. Sa mission comprenait l'enseignement, la guérison et le ministère auprès des nécessiteux. Délibérément, il a omis la dernière phrase d'Ésaïe (un « jour de vengeance de notre Dieu »). Jésus n'est pas venu à se venger des Romains, comme tous espéraient. Cette facette de sa mission restait réservée à sa deuxième venue. Lorsque Jésus a lu Ésaïe dans la synagogue de Nazareth, il a clairement indiqué quelle serait la façon dont il mènerait à bien sa mission.
« Et vous sanctifierez la cinquantième année, vous publierez la liberté dans le pays pour tous ses habitants: ce sera pour vous le jubilé; chacun de vous retournera dans sa propriété, et chacun de vous retournera dans sa famille. » (Lévitique 25.10) Lors de sa visite à Nazareth, Jésus cite un passage messianique des Écritures et assure à ses auditeurs : « aujourd’hui, cette Écriture, que vous venez d’entendre, est accomplie » (Luc 4.21). Dans son sermon, il se révèle comme l’Oint qui prêche la bonne nouvelle aux pauvres, la liberté aux prisonniers, la vue aux aveugles, la libération aux opprimés, et la restauration du jubilé. Cette liste décrit bien son ministère terrestre, qui était centré sur l’enseignement, la guérison, et le soulagement de ceux qui en avaient besoin. » « Comme nous l’avons déjà vu, l’expression « une année de faveur pour le Seigneur » correspond à l’année du jubilé (voir Lévitique 25). (Guide d’étude de la Bible, p. 32.)
« Tu ne te vengeras pas ; tu ne garderas pas de rancune envers les gens de ton peuple ; tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis le SEIGNEUR (YHWH). » (Lévitique 19.18) Dans de diverses occasions, Jésus a déclaré que l'amour de Dieu et l'amour du prochain est le fondement de la Loi, la motivation qui doit régir chaque acte de notre vie (Matthieu ). Mais qui est mon prochain? Pour clarifier ce point, Jésus a raconté l'histoire d'un homme blessé et de ses trois «prochains» possibles (Luc ). Cette histoire nous apprend notre obligation d'être « le prochain » de toute personne qui est dans besoin, et le pouvoir est entre nos mains pour l'aider ou pallier à ses besoins … même si cela suppose un sacrifice ou un dérangement pour nous-mêmes.
« Mais lui voulut se justifier et dit à Jésus : Et qui est mon prochain ? » (Luc 10.29) « Qui est mon prochain ? ». « Notre prochain, c’est toute personne que nous croisons et qui est dans le besoin. Le prêtre et le Lévite s’inquiétaient davantage de préserver leur personne et leurs devoirs sacrés de la souillure.. Ou comment se servir de la religion comme excuse, pour ne pas mourir à soi-même en aidant quelqu’un qui, vraisemblablement, ne pourrait jamais s’acquitter de sa dette. Au contraire, le Samaritain a vu cet « étranger » et cet « ennemi » comme son prochain, en pourvoyant avec miséricorde à ses besoins au lieu de penser aux siens.» (Guide d’étude de la Bible, p. 33.)
«C'est vous qui êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, avec quoi le salera-t-on ? Il n'est plus bon qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les gens. » (Matthieu 5.13) La mission des enfants de Dieu est d'être « sel de la terre. » Le sel a des caractéristiques particulières qui le rendent utile que lorsqu'il est mélangé avec de la nourriture. Vous pouvez empêcher sa décomposition ou améliorer sa saveur. Le sel est efficace seulement s’il garde son identité spécifique, sa capacité à donner du goût. Quand le chrétien ne diffère pas de son environnement (il n'aime pas son prochain) il n'est pas utile et n'a rien de bon à apporter (Deutéronome 12.30). « […] imprégnés de la saveur de l’amour de Christ, nous désirerons devenir des « compatriotes » avec les « étrangers », en nous mêlant aux autres afin d’être des agents de transformation, faire une différence positive dans leurs vies, ce qui aura pour effet d’en entraîner d’autres vers ce qui compte vraiment dans la vie : le salut en Jésus. » (Guide d’étude de la Bible, p. 34.)
«C'est vous qui êtes le sel de la terre. Mais si le sel devient fade, avec quoi le salera-t-on ? Il n'est plus bon qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les gens. » (Matthieu 5.13) « Il ne se passera rien si nous restons bien à l’abri dans la « salière » qu’est l’église. Ne passons pas à côté de l’essentiel. On peut parfaitement être moral, c’est-à-dire ne pas fumer, ni boire, ni se saouler, ni jouer à des jeux d’argent, ou se lancer dans la criminalité. Tout cela est important. Mais il ne s’agit pas simplement de ce que nous ne faisons pas. Il s’agit plutôt de savoir : Que faisons-nous ? C’est-à-dire que faisons-nous pour aider la population et ceux qui ont besoin de nous ? » (Guide d’étude de la Bible, p. 34.)
« Celui qui moissonne reçoit déjà son salaire et il rassemble le grain pour la vie éternelle ; ainsi, celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble. » (Jean 4.36 BFC) Jésus a comparé la mission de l'église au processus agricole. Quelles phases pouvons-nous définir à partir de cette comparaison ? La préparation du terrain. Analyser la communauté où nous voulons introduire l'Évangile. Voir comment nous pouvons enlever les "pierres" et les " épines" qui peuvent être obstacle à la récolte. (Matthieu ) Les s les de la graine. S'occuper des nécessités de la communauté et réaliser des séminaires, initier des études bibliques et organiser des petits groupes.. Les soins apportés aux champs ensemencés. Prier pour le Saint- Esprit et persévérer dans les activités missionnaires. La moisson de la récolte. Des campagnes d'évangélisation ou d'autres activités mises au point de façon à ce que les personnes prennent leur décision pour Christ.
Jean 4.37 « En cela, en effet, ce qu'on dit est vrai : L'un sème, l'autre moissonne. » Jean « Beaucoup de Samaritains de cette ville-là mirent leur foi en lui à cause de la parole de la femme qui rendait ce témoignage : «Il m'a dit tout ce que j'ai fait.» Aussi, quand les Samaritains vinrent à lui, ils lui demandèrent de demeurer auprès d'eux ; et il demeura là deux jours. Ils furent encore beaucoup plus nombreux à croire à cause de sa parole ; ils disaient à la femme : Ce n'est plus à cause de tes dires que nous croyons ; car nous l'avons entendu nous-mêmes, et nous savons que c'est vraiment lui le sauveur du monde. » « Certains ouvriers font tout ce qu’il faut avant la récolte, et d’autres ouvriers récoltent les bénéfices de leur travail…Le sol doit être préparé bien avant que l’évangéliste ne vienne et commence à prêcher, s’il veut pouvoir récolter quoi que ce soit. » (Guide d’étude de la Bible, p. 35.)
« Autre est celui qui sème et autre celui qui moissonne.” Jean 4:34. Le Sauveur prononça ces paroles avant l’ordination des disciples. A travers la Judée, le Christ avait semé la vérité. Clairement et distinctement, il avait esquissé le plan du salut. Car il ne gardait jamais la vérité au-dedans de lui. L’œuvre terrestre du grand Maître devait se terminer rapidement. Puis les disciples la poursuivraient, moissonnant là où il avait semé, afin que le Semeur et les moissonneurs pussent se réjouir ensemble. (E. G. White, Le Ministère Évangélique, ch. 15, Semez et moissonnez, p. 401.)
« N'acquérez ni or, ni argent, ni monnaie de bronze pour l'emporter à la ceinture, ni sac pour la route, ni deux tuniques, ni sandales, ni bâton, car l'ouvrier mérite sa nourriture. » (Matthieu ) « Apparemment, Jésus a mis ses disciples dans cette situation pour leur apprendre à dépendre de Dieu, et à créer des amitiés en servant la population. Les gens devaient apprécier ce service au point de soutenir financièrement leur ministère. ». (Guide d’étude de la bible, p. 36.) Nous pouvons nous étendre notre communauté en suivant l'enseignement de Jésus et la manière dont il a vécu. L'une des meilleures manières de planter une église est « d’initier d'abord un ministère » qui s'occupe des nécessités de la communauté; et tout de suite, parler de l’amour de Jésus et nous verrons surgir des églises aux endroits jamais imaginés. (Lire le récit du Pasteur Frank, le jeudi 28 juillet.) Intéressez-vous aux nécessités de votre communauté et développez un projet pour suppléer à ces nécessités.
« Nous devrions tous devenir des témoins de Jésus. Les influences sociales, sanctifiées par la grâce du Christ, doivent servir à gagner des âmes au Sauveur. Montrons au monde que nous ne sommes pas absorbés égoïstement par nos propres intérêts, que nous désirons que d’autres partagent nos bénédictions et nos privilèges. Qu’ils voient que notre religion ne nous rend pas durs et autoritaires. Tous ceux qui affirment avoir trouvé le Christ doivent servir comme lui de manière à être utiles aux hommes. » (E. G. White, Le Foyer Chrétien, ch. 69, p. 414.)
Jésus-Christ est venu «Jésus-Christ est venu abattre toutes les murailles de séparation ; il a ouvert les différents compartiments du temple, afin que chacun accède librement auprès de Dieu. Son amour est si vaste, si complet, si profond qu’il pénètre partout. » ne connaît pas les distinctionsnationalité,racerang « Dieu ne connaît pas les distinctions de nationalité, de race ou de rang social social, car il est le Créateur de l’humanité entière. Par voie de création, tous les hommes font partie de la même famille, et tous sont aussi unis par le fait de la rédemption.. » ne connaît pas les distinctionsnationalité,racerang « Dieu ne connaît pas les distinctions de nationalité, de race ou de rang social social, car il est le Créateur de l’humanité entière. Par voie de création, tous les hommes font partie de la même famille, et tous sont aussi unis par le fait de la rédemption.. » (E. G. White, Les paraboles de Jésus, p. 339.) JE PRIE