Lecture 3. Zola and the Crowd: Strikes and Socialism
Lecture plan I. Z OLA, E CRIVAIN ENGAGÉ Biography Political and literary engagement II. G ERMINAL, A REVOLUTIONARY NOVEL ? Socialist leaders and doctrines The germinating revolution Utopian futures? III. G ERMINAL AND THE T HIRD R EPUBLIC Socialists Anarchists and trade unionists
Henri Mitterand on Zola « La grandeur de Zola tient au fait que son œuvre littéraire est une œuvre politique, même quand il ne la pas voulu, et que son œuvre politique est toujours restée littéraire…»
Zola: biography Born in Paris in 1840 to a French mother and Venetian father (Francesco Zola), Zola spent his childhood in Provence. He failed his bac in 1859 but acquired a job with the Hachette publishers and began to publish his own works in the mid-1860s. In the late 1860s he began to map out the Rougon-Macquart series Subsequently Zola worked on two further series: Les Trois Villes and les Quatre Vérités. He was also involved in political journalism, criticizing the Second Empire in La Cloche in the late 1860s, and writing a political chronicle of the Assembly at Bordeaux. Later, disappointed by the early Third Republic, he published a fiery series of articles under the general heading Une campagne in Le Figaro in His most dramatic political involvement came with the Dreyfus Affair.
Zola on the parliamentary regime « Le Parlementisme est une belle invention qui permet de causer des après-midi entiers sans rien dire… » (1871)
Claude Bernard, Introduction à létude de la médecine expérimentale (1865) « On peut annoncer, sans crainte de se tromper, lheure où les lois de la pensée et des passions seront formulées à leur tour. Un même déterminisme doit régir la pierre des chemins et le cerveau de lhomme. » (Emile Zola, Le Roman expérimental (1880)
Socialists and socialism in Germinal Souvarine: «Il allait, de son air tranquille, à lextermination, partout où il y aurait de la dynamite pour faire sauter les villes et les hommes... » Lantier: « Son éducation était finie, il sen allait armé, en soldat raisonneur de le révolution… »
Revolution and Germinal «Germinal est une oeuvre de pitié et non une oeuvre de révolution» (Zola, 1885) « Cétait la vision rouge de la révolution qui les emporterait tous, fatalement, par une soirée sanglante de cette fin de siècle. » « Plus de deux mille cinq cents forcenés, brisant tout, balayant tout, avec la force accrue du torrent qui roule. »
Zola to Jules Lemaître « Vous isolez lhomme de la nature, je ne le vois pas sans la terre, doù il sort et où il rentre. Lâme que vous renfermez dans un être je la sens épandue partout, dans lanimal dont il est le frère, dans la plante et dans le caillou.»
Workers and the earth « ils invoquaient la terre, cétait la terre qui se vengeait… » « toute une vie germait, jaillisait de cette terre, pendant quil geignait sous elle, là-bas, de misère et de fatigue. » « Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse…dont la germination allait faire bientot éclater la terre. »
La violence de nos ennemis prouve leur faiblesse. Ils assassinent; les républicains combattent; la République vaincra! (Communard proclamation, 7 April 1871) Tuileries Palace on fire, 24 May 1871
Jean Jaurès and Jules Guesde
Paul Pourot, Paroles danarchiste, Art social, June 1892 « Se sentant menacés, les bourgeois sont donc devenus féroces. Mais derrière leur férocité, on découvre la peur... Oui, ils ont peur dune chose vague et formidable, dune sorte de soulèvement populaire qui symboliseraient la Justice suprême, devant laquelle ils ne se soucient guère de comparaître – car au fond deux-mêmes ils ne sont pas bien sûrs, en la foule des travailleurs déshérités, dêtre à bon droit les détenteurs des richesses sociales. »
Strikes in the Third Republic Strike action increased rapidly in the pre-war period, to peak in Between 1890 and 1900 the average annual rate of strikes was 421, but in 1899 alone there were 799 strikes. The number of workers on strike rose from an average of 92,000 per annum to 509,224 in 1906, the first year in which a general strike was attempted. The determination of the strikers was evident in the increasing average length of the strike: 7 days in 1875, but 21 days in 1902.