AVEC MARIJO.

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Transcription de la présentation:

AVEC MARIJO

LAON

Laon est l’un des fleurons de la Picardie, située à 130 km au nord-est de Paris. Perchée sur une colline « la montagne couronnée », la cité médiévale est riche de monuments historiques et de maisons des XVI, XVII et XVIIIe siècles tandis que le sous-sol comporte souterrains, carrières et puits…. « D’argent aux trois merlettes de sable, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or »

La ville haute fut occupée vers le milieu du Ier siècle av.J.-C. Il existait, cependant, plusieurs sites gallo-romains au niveau de la ville basse. L’évêché de Laon fut fondé en 500 par Saint Remi, évêque de Reims et il nomma son neveu Génébaud, premier évêque. A l’époque mérovingienne, la ville possédait un atelier de frappe de monnaie… Elle fut capitale de France sous plusieurs rois carolingiens et elle vit naître, en 752, le fils de Berthe au grand pied et Pépin III dit le Bref, Charlemagne. A la fin du Xe siècle, après le début de la dynastie capétienne, la cité cesse d’être capitale, mais le fils d’ Hugues Capet est encore couronné en ces lieux.

Durant le Haut Moyen Age, seule la cité (à droite de la carte ci-contre), était emmurée. Au XIIIe siècle, la ville comptait 10 000 habitants, dont les 2/3 dans la ville haute. A droite, la cité médiévale que l’on peut parcourir de nos jours car, si la ville basse souffrit beaucoup des bombardements de 1944, la partie haute fut épargnée.

Dès le IXe siècle, la ville possédait déjà une école de médecine réputée. Et au XIe, MaîtreAnselme apparaît comme le rénovateur de la Théologie. Mentionnons aussi l’un des plus grands personnages de l’histoire du Laonnois, Barthélémy de Jur, qui fut à l’origine de la plupart des abbayes de l’Aisne et du renouveau de la Thiérache. Un Fac-similé de sa pierre tombale se trouve dans la cathédrale de Laon. Lorsque Philippe-Auguste réduisit à douze, les pairs de France, six laïcs et six ecclésiastiques, l’évêque de Laon en fit partie. Il avait la responsabilité de porter la Sainte Ampoule pour le sacre des Rois. Ce privilège fut conservé jusqu’à la Révolution!

Promenade sous les remparts.

Au début, la Cité emmurée, à l’est du plateau, enferme la cathédrale, la résidence de l’évêque, celle des chanoines, le Palais-Royal et l’abbaye Notre-Dame. Le Bourg s’étend ensuite, en éventail. C’est au XIIIe siècle, que furent construits les remparts, encore existants aujourd’hui, sur 7,5 km, englobant Bourg et Cité jusqu’à la porte de Soissons, un peu en-dessous de Saint-Martin. A l’extrémité opposée à la Cité, l’abbaye Saint-Vincent possède son enceinte propre, longue de 4 km. Ce site ne se visite pas car il est maintenant sinistré et propriété d’un promoteur immobilier.

Le 15 juin 2008, dans l’après-midi, éclata un incendie d’origine criminelle dans l’ancien logis abbatial de l’abbaye Saint-Vincent qui, détruisant la charpente, laissera quand même en place toute la maçonnerie du XVIIIe siècle.

Une première basilique fut Construite, sur ce site, par la Reine Brunehault, en 590. Elle fut pillée par les Normands, en 882, reconstruite, pillée à nouveau, et reconstruite à plusieurs reprises. En 1171, alors qu’un incendie l’avait détruite encore une fois en 1145, l’abbaye fut mise sous la protection du Saint-Siège par le pape Alexandre III. Ce n’est qu’en 1305, que la reconstruction fut achevée. En 1618, conséquences du long siège du début du siècle par Henri IV, voûte et clocher s’écroulèrent… Cette fois la reconstruction s’étendra de 1640 à 1771. Hélas, comme tous les édifices religieux, la Révolution la dévastera.

De l’abbaye Saint-Vincent subsiste le logis abbatial que l’on voit ici avant l’incendie. Son fronton montre, sur sa gauche, la façade de l’église construite au XVIe siècle, telle qu’on la voyait encore au XIXe siècle. Au centre, une statue représente la monarchie qui régnait sur l’abbaye.

Du logis abbatial, ci-contre, le fronton nord avec les allégories de la justice, à droite, et de la religion , à gauche, encadrant le blason martelé des armes de l’abbé… … et le fronton sud montrant les arts libéraux : à gauche, la géométrie, à droite, l’écriture et l’astronomie. Au centre, on observe l’emblème des moines bénédictins.

A la Révolution, l’abbaye Saint-Vincent devint, successivement, magasin à fourrage, hôpital militaire et prison. Elle changea ensuite plusieurs fois de propriétaire et revint même à l’évêché pour une courte période, de 1854 à 1876, date où elle devint propriété de l’armée qui effectuera de multiples travaux de restauration, dont la charpente et la toiture. A l’heure actuelle, il faut attendre la fin des procès en cours pour connaître le sort qui sera réservé à ces murs.

La porte de Soissons

Entrés par la porte de Soissons, nous atteignons l’église Saint-Martin, malheureusement close lors de notre passage. Elle date des XII et XIIIe siècles, avec quelques parties du XIXe. En 1124, l’évêque considérant que les chanoines de Saint-Martin ne mènent pas une vie très édifiante, les remplace par des Prémontrés. Outre l’église abbatiale terminée au XIIIe siècle, subsistent une partie de l’abbaye transformée en bibliothèque, le logis de l’abbé et un pavillon d’agrément. A la Révolution, l’abbaye est transformée en hôpital et les locaux seront très endommagés par le bombardement de 1944.

L’église abbatiale Saint-Martin

Logis abbatial du XVIIe siècle et bâtiments conventuels du XVIIIe, utilisés par la bibliothèque de la ville.

Bâtiment de plaisance en brique et pierre ; construit en arrière, le nouvel hôpital.

En se promenant dans la ville, on peut se croire plongés en plein Moyen Age avec des rues pavées, des passages étroits et sans soleil, des maisons de pierre et de vastes portes cochères. Mais un peu partout on trouve aussi des chantiers de restauration et de magnifiques constructions qui abritent souvent des services publics, comme ici, la Trésorerie générale de l’Aisne.

Le Petit Saint-Vincent érigé au XVIe siècle. Les abbayes éprouvèrent le besoin de construire des refuges intra-muros. Ils leur servaient de logements pour leurs hôtes, mais aussi de refuges de protection.

L’hôtel-de-ville

La porte des Chenizelles, l’une des 11 portes de la ville, abritait, lors de sa construction, une partie des archives de la cité. Située à la limite de la Cité, elle fut construite en même temps que l’ensemble des remparts, au XIIIe siècle.

En 1112, les Laonnois se révoltent contre l’évêque Gaudri qui veut résilier la chartre de la commune, le tuent et incendient la cathédrale. Elle est reconstruite entre 1150 et 1235 sous l’épiscopat de Gautier de Mortagne. Pour financer la construction, on transporte les reliques dans les pays environnants et même jusqu’en Angleterre. Les fidèles apportent des offrandes en paiement des faveurs qu’elles pourront leur accorder! Cette nouvelle cathédrale servira de modèle pour celles de Chartres et de Paris. Elle comporte quatre tours campaniles ou clochers et une lanterne.

Les tours très ajourées, ce qui leur donne une impression de légèreté, sont hautes de Une légende, rapportée par le moine Guibert de Nogent, veut que, durant la construction, un bœuf mystérieux apparut, renforça un attelage insuffisant en l’aidant pour le transport des matériaux et disparut par la suite. Pour lui rendre hommage, on plaça un bœuf sur chaque angle des tours…

La façade de la cathédrale Notre-Dame et le porche principal qui illustre le couronnement de la Vierge. Au-dessus, l’arbre de Jessée, représentant l’ascendance du Christ.

Détails de la façade

Vue générale de la nef et le chœur.

Autour du chœur, un déambulatoire bordé de chapelles fermées.

Les sept arts, nom du vitrail de la cathédrale de Laon, transept nord. Le Quadrivium musique, géométrie, arithmétique et astronomie et le Trivium rhétorique, grammaire et dialectique. En réalité, s’y ajoutent la médecine et la philosophie au centre…

Dans une nef latérale, ce qui fut sans doute une dalle funéraire et, comme dans la cathédrale de Soissons, une plaque à la mémoire des morts de l’Empire britannique, durant la première guerre mondiale.

Dominant le rempart, tel que rebâti au XIIe siècle par l’évêque Gauthier de Mortagne, le Palais épiscopal. Pendant la Révolution, s’y installa l’administration du district et, en 1811, ce fut le Tribunal qui s’y trouve encore de nos jours.

La cour du Palais épiscopal abrite, de nos jours, plusieurs services judiciaires. On peut constater que l’un des bâtiments était accolé à la cathédrale et qu’un passage était pratiqué.

Vue arrière de la cathédrale, de la cour du Palais épiscopal.

La Place du Parvis, avec, ci-dessus, ce qui fut l’église Saint-Martin du Parvis des XIIe et XIIIe siècles.

A proximité de la Place du Parvis, subsiste un édifice du XVIe siècle, qui fut l’Auberge du Dauphin. Une autre légende affirme que Louis XIII et Anne d’Autriche y auraient couché, au retour d’un pèlerinage au cours duquel ils auraient prié pour obtenir un héritier. Leur prière fut exaucée : c’est là qu’ils auraient conçu Louis XIV!

L’Auberge du Dauphin.

Rue commerçante de l’ancienne Cité, piétonnière … … et décorations de l’une de ses vieilles maisons.

C’est le plus ancien Hôtel-Dieu conservé en France C’est le plus ancien Hôtel-Dieu conservé en France. Il date de 1167 et si les malades réguliers étaient soignés à l’étage, une grande salle gothique, à trois nefs, accueillait les malheureux au sous-sol!

Non loin de la cathédrale, l’ancienne maison des chanoines qui comporte des parties des XIIe, XIIIe et XVIe siècles.

Certainement, de grand admirateurs de la cathédrale!!!

Une commanderie des Templiers fut installée à Laon en 1134. La chapelle octogonale, sur le modèle de la Basilique du Saint-Sépulcre de Jérusalem, fut construite autour de 1140. Lors de la dissolution de l’Ordre, en 1312, ses biens furent transférés aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem (Ordre de Malte). Dans l’ancien logis, est installé le musée de Laon qui renferme une belle collection de céramiques antiques françaises, des vestiges de l’archéologie locale et une galerie de peinture.

La chapelle des templiers.

Le musée des Templiers renferme un transi remarquable, celui de Guillaume de Harcigny, célèbre médecin qui traversa une partie de la guerre de cent ans et qui fut appelé au chevet de Charles VI. Il ne joint pas les mains dévotement, mais tente de cacher un sexe pourri depuis longtemps… Le transi, apparu au XIVe siècle, marque un tournant dans l’art funéraire du Moyen Âge, en remplaçant le gisant, le montrant dans le réalisme de la mort pour faire réfléchir les humains…

Ce monument évoque un autre citoyen illustre de la ville Ce monument évoque un autre citoyen illustre de la ville. C’est un Jésuite, le Père Jacques Marquette qui, en 1666, s’embarqua pour rejoindre la Nouvelle-France (devenue le Canada) où il reste personnalité fort connue, ayant suscité beaucoup de récits de ses aventures. En 1673, il participa aussi à la mission d’exploration qui va découvrir le Mississipi.

C’est entre 1595 et 1598 qu’Henri IV fit construire la Citadelle de Laon, qui fut améliorée en 1840. Elle abrite, de nos jours, la Cité administrative du département et , à l’exception des remparts, ses principaux vestiges se trouvent en sous-sol. Sous la surface, existe, en effet, un réseau de 700 m de tunnels visibles, creusés dans le calcaire. Carrières au début, ils servirent à l’édification de la ville gallo-romaine, puis offrirent des niches pour la conservation du grain. Durant la guerre de 14, les Allemands s’ y installèrent durant 4 ans, y abritant un hôpital et y retenant des prisonniers.

Dans le rempart, sous la construction actuelle, un ancien pont-levis.

La porte d’Ardon est sans doute la plus belle de Laon La porte d’Ardon est sans doute la plus belle de Laon. Construite au XIIIe siècle, elle s’appelait, autrefois, la Porte Royale. Après plusieurs mois de siège, c’est par cette porte qu’Henri IV entra dans la ville en 1594. C’est aussi par cette voie que, le 13 octobre 1918, le Général Mangin entra, marquant alors la libération de la ville.

De la porte d’Ardon, la vue porte sur la verdoyante Cuve Saint-Vincent et, de l’autre côté du croissant, l’église Saint-Martin d’où nous avons débuté notre promenade.

Musique : Ensemble médiéval Xeremia Troubadour (Fremosura) Informations prises sur place et sur différents sites internet Photos, conception et réalisation : Marie-Josèphe Farizy-Chaussé Avril 2010 marijo855@gmail.com

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