M AURO P ALUMBO, UNIVERSITÉ DE GÊNES VICE-PRÉSIDENT RUIAP (RÉSEAU UNIVERSITAIRE ITALIEN POUR LAPPRENTISSAGE PERMANENT) WWW-RUIAP.IT PARIS, 17/10/2013 Reconnaissance.

Slides:



Advertisements
Présentations similaires
Accord de partenariat et Contrat pédagogique
Advertisements

"Expérience de l'assurance qualité à l'Université de Neuchâtel"
LA VALIDATION DES ACQUIS DE L’EXPERIENCE
Version destinée aux managers de l’entreprise
QUELLES PISTES POUR LES ETABLISSEMENTS DE SANTE ? Quels moyens mettre en œuvre pour gérer, demain, la FTLV à lhôpital ? Chantal MAIRESSE Responsable de.
LA DELIVRANCE DU CQP CRCA
La Validation des acquis non formels et informels
CAPATER Kick-off Meeting Centre TIME Grenoble Ecole de Management 20 avril Grenoble.
Éducation et formation tout au long de la vie Jaime Andreu Chef de lunité Communication et information DG Éducation et Culture Marseille, Février 2007.
Les points ECVET Outil de communication conçu à partir des documents développés pour l’organisation des réunions du projet.
1 Paris, janvier /18. 2 Paris, janvier 2008 Un droit individuel régi par la loi loi de modernisation sociale du 17 janvier /18.
Un Pacte pour la Recherche ? Débat public avec les parlementaires – 13 janvier 2006 Un pacte pour la Recherche ? Débat public Propositions damendements.
Les nouvelles voies d’accès à l’expertise comptables
Mission Régionale VAE Le parcours de la validation des acquis de lexpérience Universités de Bretagne.
Expression des besoins de la CONFRECO orientations stratégiques et objectifs opérationnels Ana GUTU Présidente du Comité scientifique du séminaire « Lapplication.
La validation des acquis de l’expérience ( VAE)
La réforme du CFG Circulaire n° du 22 juillet 2010
Jacques PERRIN Séminaire IEN STI Lycée Diderot - PARIS – 3 février 2009 Le système européen de transfert de crédits pour l'enseignement et la formation.
La prise en compte de lexpérience dans les processus de qualification des personnes Anne-Marie CHARRAUD Dublin 20 octobre 2005.
Présentation de la Coface
Reconnaissance et validation en Pologne
OBSERVATOIRE NATIONAL DE L'EMPLOI ET DE LA FORMATION
Le Brevet Professionnel Jeunesse, Education Populaire et Sports
Certifications Hanen KALLEL
LES CERTIFICATIONS DÉLIVRÉES PAR LE MINISTÈRE CHARGÉ DE L’EMPOI
La démarche « compétences »
L’ÉDUCATION EN FINLANDE
LE CONSEILLER DE L ’ENSEIGNEMENT TECHNOLOGIQUE
LA LOI DE MODERNISATION SOCIALE I. LA VALIDATION DES ACQUIS DE LEXPERIENCE POUR LES CANDIDATS, UN NOUVEAU DROIT « Toute personne engagée dans la vie active.
Politique de la Confédération dans le domaine de la formation continue Mise en place de lart. 64a Cst. « Etats généraux de la formation continue »,
Riccardo Mazzarella Vers un système européen des qualifications et des crédits Riccardo Mazzarella ISFOL Atelier thématique international Naples, le 8.
Journées Bruxelles & 23 Janvier - Sylvie Bonichon 1 Pour un partenariat européen de lEnseignement Catholique Hautes Ecoles de la Belgique Francophone.
Conseil dorientation pour lemploi Orientation professionnelle: Quelle politique publique? Paris, 23 septembre 2008 Bernard Hugonnier Directeur adjoint.
Formations courtes de lenseignement supérieur Quel devenir dans lespace européen? Journées détude Formiris Paris, 5 et 6 Mai 2010 Sylvie Bonichon Expert.
Portefeuille de compétences
Faire évoluer le système « formation /évaluation »
Formation des spécialistes francophones dans les universités de la République de Moldavie Séminaire régional en partenariat BECO-ULIM janvier 2012.
projet PREVENTeur CONSTRUIRE LA SANTE AU TRAVAIL:
LES SECTIONS DE TECHNICIENS SUPERIEURS (STS)
Réunion parents –professeurs classes de 3 ème Lundi 3 octobre 2011.
19 mars 2007Michel TROQUET, Promoteur de Bologne 1 XX ème Colloque Annuel PROMOSCIENCES La Licence Sciences et Technologies : de nouveaux objectifs LORIENT.
Projet de Politique d’évaluation des apprentissages
La mobilité…au service des compétences Dominique Figa LEONARDO DA VINCI Leonardo da Vinci.
Intervention de Corinne HUGON
1er janvier 2007 : nouveau cycle de programmation pour les Fonds structurels pour 27 États membres (avec la Roumanie et la Bulgarie). Cadre d'action les.
Phil Bélanger, Directeur exécutif Travailler en collaboration afin d’améliorer la mobilité pour les apprenants.
Article L du Code du travail
Validation des acquis de l’expérience
EN ROUTE VERS UNE POLITIQUE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Josée Deschênes Lise Poirier Proulx RAC 2007.
UNSD Conférence internationale sur la divulgation des standards internationaux et la coordination dans le domaine des comptes nationaux, pour une croissance.
LA MICRO FINANCE: VERS UNE PREMIERE REFORME QUI FAVORISE UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DU MICRO CREDIT Ministère des Finances Présentation du 04 novembre.
EXPERIMENTATION PIIODMEP PARCOURS INDIVIDUEL D’INFORMATION, D’ORIENTATION ET DE DECOUVERTE DU MONDE ECONOMIQUE ET PROFESSIONNEL Novembre – décembre.
Compétences des enseignants
Validation des Acquis de l’Expérience (VAE)
BAD- BERD Conférence régionale sur les Marchés Publics Marrakech 22 et 23 Avril 2013 Délégation jordanienne.
Vers un Système National de validation des acquis non formels: relation entre le niveau national et régional en Italie Atelier VAE – Paris 13/14 Avril.
UNSD Conférence internationale sur la divulgation des standards internationaux et la coordination dans le domaine des comptes nationaux, pour une croissance.
PROJET DE SOCLE COMMUN DE CONNAISSANCES, DE COMPÉTENCES ET DE CULTURE
Anne-Marie Charraud CIEP -21 Juin 2012
Bureau d’orientation relatif aux titres de compétences étrangers Conférence de l'ARAISA St. John’s, le 21 septembre 2010 Charles Bernard.
Principes et définitions
Project IDÉAL L’Université de Lisbonne et le procès de VAE Maryline de Almeida UL, Institut d´Orientation Professionnelle Novembre 2011.
Education et formation 2010 Atelier 2 : reconnaissance, validation et valorisation des savoirs et compétences à tous les niveaux de l’enseignement et de.
Le conseil en mobilité Graziana BOSCATO, DCIO Strasbourg
Partenariat Université – Monde socio- économique Rencontres franco-néerlandaises du 13/11/2015 Présentation: Rachid Dahmani, responsable du BAIP.
LA FORMATION PROFESSIONNELLE. Objectif essentiel : combattre les inégalités d’accès aux droits sociaux les plus fondamentaux qui existent entre salariés,
Vers un meilleur développement des compétences & &
Les Validations des Acquis de l’Expérience Colloque national La Reconnaissance des Acquis et des Compétences 6-7 avril 2005, Montréal, Québec Serge Ravet,
Education et formation tout au long de la vie Vannes,7 mars 2008 Journées Internationales 2008 Pascal Level
LE PROJET STRATÉGIQUE UN PROJET STRATÉGIQUE. POUR PERMETTRE A CHACUN DE… Donner du sens à l’action Partager une vision commune Se mobiliser.
Transcription de la présentation:

M AURO P ALUMBO, UNIVERSITÉ DE GÊNES VICE-PRÉSIDENT RUIAP (RÉSEAU UNIVERSITAIRE ITALIEN POUR LAPPRENTISSAGE PERMANENT) WWW-RUIAP.IT PARIS, 17/10/2013 Reconnaissance et validation des acquis dans le contexte du processus de Bologne Exemple de lItalie

Quelques mots sur RUIAP Association dUniversités, établie le 16 Novembre, 2011 à Gênes Adhérent 30 universités italiennes Objectifs: développer l'apprentissage tout au long de la vie comme une mission centrale de l'Université, et en particulier améliorer les services et acquérir les compétences nécessaires pour encourager la reconnaissance, la validation et la certification, à la fois à l'université et extra- universitaire des acquis (connaissances et compétences) ;

La situation en Italie : un décalage des crédits reconnaissables dans le temps : En général, on a introduit la possibilité de reconnaitre des crédits universitaires sur la base des expériences acquises suite le Processus de Bologne. Dans le temps (de 1999 à 2010) la quantité de crédits qui était possible reconnaitre est diminué, jusquaux actuels 12. En plus, le Ministère nait jamais donné des lignes-guide pour le faire et les Universités ont utilisé des façons très différents de le faire. 1999: crédits à la choix des Universités; 2006: 60;

Loi 240/2010 art. 14 Limite à 12 crédits La reconnaissance doit être effectuée uniquement sur la base des compétences démontrées par chaque étudiant. Les formes de reconnaissance attribués collectivement sont exclues. alinéa 3: un décret ultérieur définira les critères pour la reconnaissance des crédits (le décret na jamais été fait)

problèmes a) Avant de la loi 240, l'autonomie excessive des universités en reconnaissant crédits a empêché de faire une bonne politique de VAE. Pas de lignes guide nationaux, pas de culture de la VAE b ) avec la loi du 2001 les accords avec les administrations publiques ont donné lieu a des d'abus et des «dumping» du côté de quelques universités (quelques petite Université a été extrêmement généreuse avec certaines catégories de travailleurs publiques et a connu un augmentation importante dinscrits …)

Suite … c) la loi du 2001 ne fait aucune mention à un dossier individuel, ou à un portefeuille VAE. Plutôt à des accords avec les catégories les plus puissantes de lemploi publique d) Par la loi 240, une situation opposé sest crée : peu d'intérêt pour 12 crédits seulement, bien le dossier individuel, mais personne va les demander

La situation réelle Plusieurs universités ont signé (dans le passé) des accords avec les administrations publiques pour la reconnaissance collective de crédits Beaucoup d'universités ont créé des centres de formation continue, qui travaillent à la conception des Masters et des cours de perfectionnement et spécialisations. Mais il n'existe pas de centres importants pour lApprentissage Permanente, qui traitent également dorientation et de la reconnaissance de crédits, qui est fait par les Conseils des Cours d'études Universitaires.

La « révolution » de la loi n. 92 du 28 Juin 2012 prévoit la construction d'un système national de certification publique de compétences, articulé au niveau régional, ancré à «répertoires codées au niveau national ou régional » (alinéa 67). Un système beaucoup plus large de VAE généralisé, qui intéresse aussi lUniversité, mais pas spécifique pour elle.

formation continue est définie comme « toute les activités entreprises par des personnes dans un cadre formel, non- formel et informel, dans les différentes étapes de la vie, afin d'améliorer les connaissances, aptitudes et compétences, dans une perspective personnelle, civique, sociale et demploi " La reconnaissance n'est donc pas limitée au domaine du travail, qui reste central, cependant, comme site pour la construction et l'exercice des compétences (voir le alinéa 58, lettre C), mais couvre tout le spectre de la vie et de la gamme complète des mondes vitales des personnes.

même statut aux apprentissages formels, non formels et informels. La loi veut garantir un système unitaire, bien que articulé régionalement, de reconnaissance et de certification des compétences, auquel contribuent tous les organismes de formation qui opèrent déjà (l'école, la formation professionnelle, les universités, les entreprises). Pas de nouvelles « agences nationales »

Les contenus plus importantes a) la reconnaissance des compétences comme un droit individuel ; le service est effectué à la demande et il doit être assurée au niveau national un système opératif et accessible à tous, avec un niveau de base des performances égales dans tout le pays ; b ) la reconnaissance des compétences sera effectuée par les sujets, en grande partie publics, déjà existantes, sans créer de nouvelles institutions ou organismes nationaux.

c) les Universités (alinéa 56, lettre A), (alinéa 58, lettre E) feront partie du système avec la capacité de reconnaître et de valider l'apprentissage non formel et informel et les crédits relatifs aux titres d'éducation et de formation et des qualifications incluses dans le registre national (indiqué à lalinéa 67) d) la mise en place de réseaux régionaux qui incluent tous les services d'éducation, de formation et de travail organiquement liés aux stratégies de croissance économique, à l'accès à l'emploi des jeunes, à la réforme de l'aide sociale, au vieillissement actif, à l'exercice la citoyenneté active, même par des immigrants.

Font partie de ces réseaux a) les universités, grâce à l'inclusion de l'éducation permanente dans leurs stratégies institutionnelles, une offre de formation flexible et de qualité, qui comprend également l'apprentissage à distance pour une population étudiante diversifiée, des services appropriés dorientation, des partenariats nationaux européens et internationales; b ) la société, par l'employeur et les représentants des salariés c) les chambres de commerce, de l'industrie, du commerce et de l'agriculture d) l'Observatoire sur les migrations internes ; e) les structures territoriales des établissements publics de recherche.

principes et critères de reconnaissance: a) l'identification et la validation de l'apprentissage non formel et informel des services sera effectué à la demande de l'intéressé; b ) l'identification et la validation de l'apprentissage non formel et informel sera fait par un processus homogène de services aux personnes et fondée sur des preuves appropriées, en respectant le choix et les droits individuels et en assurant l'égalité des chances pour tous; c ) la reconnaissance de l'expérience de travail comme une partie essentielle du parcours éducatif, formatif et professionnel de la personne;

d) la définition des niveaux essentiels de services visées au point a); e) la possibilité d'une reconnaissance de l'apprentissage non formel et informel en termes de crédits relatifs aux titres d'éducation et de formation et des qualifications incluses dans le registre national (indiqué à lalinéa 67); f ) une prévision des procédures de validation basé sur les principes de simplicité, de transparence, aux systèmes d'assurance qualité et de l'amélioration de la vie culturelle et professionnelle accumulée au fil du temps par la personne ; g ) la conduite des preuves visées au point b ) sur la base des cadres et des règles définies au niveau national visés à garantir l'équité et l' égalité de traitement des personnes, la comparabilité des compétences certifiées dans tout le pays.

Décret législatif du 16 Janvier 2013, n. 13 Définition de règles générales et du niveau de base de la performance pour l'identification et la validation de l'apprentissage non formel et informel et des standards minimales de service du système national de certification des compétences intègre deux accords de la Conférence État -Régions du 20 Décembre 2012 relatifs au système national de reconnaissance d'identification et de certification des compétences et orientation tout au long de la vie. Le décret définit les règles générales et le niveau minimal de prestations pour l'identification et la validation des apprentissages non formels et informels et les normes minimales du service (structures et processus ) du système national de certification des compétences et les procédures de certification / attestation.

Les principes du système national de certification des compétences : a) l'identification et la validation et la certification des compétences sont fondées sur la demande expresse de la personne et la valorisation de son patrimoine d'expériences de vie, d'étude et de travail. Centralité de la personne et le caractère volontaire du processus seront garantis à tous les citoyens, ainsi que les principes de simplicité, l'accessibilité, la transparence, l'objectivité, la traçabilité, la confidentialité du service, l'exactitude, l'exhaustivité méthodologique, d'équité et de non-discrimination ; b ) les documents de validation et certificats délivrés à l'issue de l'identification et de la validation et la certification des compétences sont des documents publics c ) les titulaires publics du système national de certification des compétences travaillent de manière indépendante ( = importance du système);

Les phases du processus 1 ) l'identification, à ce stade implique une personne de soutien dans l'analyse et la documentation de l'expérience d'apprentissage et pour corréler les résultats d' un ou plusieurs qualifications; 2) l'évaluation: cette phase implique l'adoption de méthodes spécifiques d'évaluation et des preuves des compétences effectivement possédées ; 3 ) la preuve: étape finalisée à la délivrance de documents de validation ou de certificats,

les expériences précédentes a) l'enseignement supérieur technique et de la formation (IFTS : en Italie il y a une filière de l'enseignement supérieur non universitaire et commence à exister avec IFTS, annuelles ou bisannuelles, V niveau CEQ ) b ) lIFS ( Enseignement supérieur et de la Formation ), après IFTS (VI niveau CEQ) Ils sont créés par les écoles autonomes, les centres de formation professionnelle, les universités, les entreprises ou leurs associations. Tous le deux prévoient la reconnaissance des crédits d'entrée sur la base de l'apprentissage non formel et informel documenté par les candidats.

les perspectives a) Un group nationale de travail pour construire les lignes directrices de mise en œuvre dans l'Université des nouvelles règles de la loi et 92 du décret 13/2013 b ) RUIAP a déjà proposé des orientations au Ministère de l' Education, de l'Université et de la Recherche et au Ministère du Travail 3 Juin 2012, à une conférence organisée 3 Juillet, 2013 ( 5 jours après l'approbation de la loi! ) avec les ministères CRUI CUN ANVUR CNR Confindustria, Régions c) Nous cherchons à abolir la limite de 12 crédits d) de maintenir le dossier individuel e) de soutenir la construction des services d'orientation et de soutien f) de pousser pour ladéquation des statuts et des procédures de lUniversité aux nouvelles perspectives de la VAE

Les lignes directrices proposées par RUIAP : a) information et orientation (en préalable) b ) procédure d'admissibilité: Le candidat doit avoir au moins trois années d'expérience en accord avec le diplôme pour lequel il demande la validation. c ) accompagnement à l'élaboration du portefeuille -dossier: est la phase essentielle du processus, dans lequel le candidat doit faire des choix, la description et l'analyse des expériences les plus importantes de sa carrière professionnelle, la préparation du portefeuille dossier et préparation dune présentation orale au cours d'une réunion avec la Commission. d) transmettre au Conseil de la validation de l'évaluation du portefeuille - dossier de preuves qui sera examiné par un jury d'experts, avec en option l' appel du candidat pour une entretien; e) la certification des compétences reconnues et la rétroaction au candidat sur les possibilités de développement et de progression de carrière universitaire. La certification des compétences est un acte public.

La phase d'évaluation du portefeuille -dossier est gérée par un comité spécial composé d'enseignants et / ou chercheurs et, éventuellement, par des professionnels compétents. Les membres de la Commission sont nommés par le directeur du département. La Commission décide, après examen du dossier et des preuves indiqués dans le portfolio, où, il est jugé nécessaire, après l'entretien avec le candidat. Nécessaire, dans la conception de la formation et des activités connexes, l'utilisation de descripteurs de Dublin et les résultats de l'apprentissage et de la préparation du Diploma Supplément.

Merci de votre attention!