à VALENCE Un écrin de nature au cœur de la ville Réalisation Eric V. septembre 2016
Une vue actuelle du parc depuis le belvédère d'accès. Mais 100 ans auparavant, le parc était bien différent. Retour dans le temps...
En 1902, Théodore Jouvet ( ), négociant en vins fait un don à la ville de VALENCE pour permettre à cette dernière d'acquérir les 6,5 hectares de terrains nécessaires à la réalisation d'un parc public. La présence d'une rivière, la Robine, rendra possible la création ce canaux, fontaines ainsi qu'un grand plan d'eau. L'inauguration aura lieu en août 1905 en présence du Président de la République Émile Loubet ( / ), natif de Marsanne (Drôme). Théodore Jouvet Émile Loubet
Ce parc abrite plusieurs centaines d'essences différentes, dont des cèdres bleus, ifs, magnolias, lilas des Indes, hêtres pourpres, ormes de Sibérie, tulipiers etc..., ainsi qu'une roseraie, de somptueux massifs floraux et une animalerie. L'aspect majestueux et imposant de l'escalier d'accès cache une particularité : certaines de ses marches contiennent des centaines d’ammonites... Après une promenade dans le temps, je vous invite à flâner sous ses ombrages actuels...
Le Rhône Autoroute A7 Vue aérienne actuelle du parc
Les canaux en 1906
Le plan d'eau en 1905
Nous sommes en
Poser devant les serres du parc en 1916 : quel honneur !
Une vue des années 1920 : le pont suspendu n'existe plus, remplacé par le pont à arches. La végétation commence à pousser...
Être photographié en 1917 avec maman devant l'enclos des biches, Quelle aventure !
Dans les années 20, caresser et nourrir un daim était un privilège que peu de petits citadins devaient avoir...
Cygnes et canards adoraient les petits morceaux de pain sec que nous prenions plaisir à leur offrir... (Photo de 1950)
Vue aérienne de Au centre, les platanes du Champ de Mars et le célèbre kiosque Peynet, symbole des amoureux...
Vue aérienne dans les années 50 Le Rhône Le parc Le champ de Mars Le Champ de Mars L'autoroute A7 n'existe pas encore Et passera sur les berges du fleuve
Une vue de 1955 : au centre, le champ de Mars et le kiosque Peynet. Le parc, non visible, se situe derrière, en contrebas.
L'entrée du parc en 1957
L'enclos des biches en 1964
Le plan d'eau en 1969
La roseraie dans les années 1980
Contre 1 Franc ou 2, un petit train tracté par une vraie fausse locomotive à vapeur, mais circulant sur de vrais rails, permettait aux enfants de faire le tour du parc sans se fatiguer... Cette photo date de 1977.
Gare de départ (et d'arrivée) en 1995
Passage du train au pied de l'esplanade par une chaude journée d'été.
Le parc est alimenté en eau par la robine...
… qu'il faut bien pouvoir traverser par endroits.
Les massifs de fleurs, nombreux et élégants sont de vrais délices à contempler sans modération.
Coucher de soleil sur le plan d'eau
C'est avec générosité que de grands et majestueux arbres offrent leur ombre aux promeneurs...
Depuis l'esplanade, on peut voir les ruines du château de Crussol (au centre de la photo)
Il fait si bon flâner le long des berges du canal...
Bosquet de magnolias
Fontaines et esplanade depuis le parc
La magie d'un fin manteau blanc ne semble pas altérer la quiétude des lieux...
F I N Tous documents d'internet ( et souvenirs d'enfance...) ♫♪♪ : le lac de Côme Réalisation Eric V. septembre 2016