La prévention de la perte d’autonomie

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Transcription de la présentation:

La prévention de la perte d’autonomie Contributions de la CARSAT Bourgogne et Franche-Comté 22 novembre 2012

La CARSAT Bourgogne et Franche-Comté Trois niveaux d’intervention : Niveau 1 : « un conseil généraliste » Niveau 2 : « Apprendre à bien-vieillir » Niveau 3 : Soutenir les personnes fragiles La CARSAT BFC, un acteur de la prévention de la perte d’autonomie qui agit avec d’autres…

Présentation de la CARSAT BFC Chiffres clés 2008 Deux régions : La Bourgogne : 31 582 km² 1 628 837 habitants soit une densité de population de 51,6 habitants au km². La part de 60 ans et plus représente 25,2 %. La Franche-Comté : 16 202 km² 1 150 624 habitants soit une densité de population de 71,0 habitants au km². La part de 60 ans et plus représente 21,7 %. 38 249 retraites attribuées. Plus de 600 000 retraites payées au 31 décembre 2011. 20 000 bénéficiaires individuels de l’action sociale. Plus de 5 000 bénéficiaires des ateliers collectifs…

3 niveaux d’intervention Quelques rappels : La finalité de la CARSAT : prévenir la dépendance des personnes âgées (GIR 5/6) 92% des plus de 65 ans sont non dépendants La prévention de la perte d’autonomie, c’est possible… 80 assistants de service social 16 M€ de budget, 540 000 personnes non dépendantes, soit 30 €/personne et par an Tout le monde n’a pas besoin et ne souhaite pas être aidé… D’où la nécessité de cibler les interventions… Donc 3 niveaux d’intervention…

Niveau 1 : Un conseil pour tous… Remise du livret « bien vieillir » dès la retraite Création d’un portail « bien vieillir » sur le site www.lassuranceretraite.fr, Création d’un questionnaire d’auto-évaluation du « bien vieillir », https://www.lassuranceretraite.fr/cs/Satellite/PUBPrincipale/Retraites/Action-Sociale Envoi d’un courrier aux personnes de 75 ans exonérées de CSG : Un livret pour bien vieillir vers 75 ans Une plaquette exposant les aides de la CARSAT BFC A quoi tout cela sert-il ? Les trois premières initiatives n’ont pas été encore évaluées (très récentes) Pour la dernière : Pas de changement de comportement 50% des personnes conservent le courrier et le livret 15% apprennent que leur caisse peut les aider

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Le « bien vieillir » suppose l’acquisition de compétences : Se connaître pour gérer son capital « santé » (Ateliers du « bien vieillir ») Savoir gérer son traitement médical, ses relations au(x) médecin(s) (Module « médicament ») Gérer le risque de chutes (Module l’équilibre où en êtes-vous ?) Savoir se nourrir (Module « alimentation »…) Stimuler ses capacités cognitives (PAC Eurêka) Pour cela, la CARSAT, avec ses partenaires, a mis en place une organisation « industrielle » : Dans chaque département, un « coordonnateur » recrute via des conférences-débat des personnes sur tout le territoire Chaque partenaire « garant » organise alors les ateliers là où des groupes ont été formés Ces ateliers thématiques durent 10 à 16 séances suivant les thèmes 1,1 M€ / an, financement 50% ARS Partenaires : GIE IMPA, MSA, RSI, Mutualité française, CPAM, …

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Les thématiques retenues répondent à de forts enjeux de santé publique : un exemple, la prévention des chutes : + 2 000 000 de chutes chez les personnes de 65 ans et plus chaque année Quelques 5 000 décès liés directement à la chute chaque année 1/3 des personnes de 65 ans et plus vivant à domicile chutent dans l’année Risque de nouvelle chute multiplié par 20 après la première chute Chiffres sous estimés : « On n’ose pas dire ! » Des conséquences physiques : Douleurs, contusions, fractures, hématomes, etc. Baisse de la mobilité et accroissement de la dépendance Toutes les chutes n’ont heureusement pas de séquelles physiques importantes mais …

La grande majorité des chutes ont des conséquences psychologiques :

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Les causes des chutes sont nombreuses et variées : Le vieillissement : baisse de la vue, perte de la masse musculaire… Les maladies : cardio-vasculaires, neurologiques, musculaires, syndromes dépressifs, ostéo-articulaires… La prise de médicaments : automédication, poly médication, poly prescriptions… L’environnement : mobilier, sol, éclairage, habillement non adapté, mauvais chaussage, … Les comportements individuels : monter sur un escabeau, inattention, précipitation, ….

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Objectifs : diminuer le risque, la fréquence et la gravité des chutes en travaillant Les informations sensorielles rentrant en jeu dans l’équilibre Oreille interne, vue, sensations plantaires Vigilance et vitesse de réaction Tonification musculaire et assouplissements La détente et la respiration La manière de se tenir Stimulation du système d’équilibration Apprentissage du déséquilibre… pour mieux se rééquilibrer Situations toujours en lien avec la vie quotidienne !! Rencontrer de nouvelles personnes Donner envie de continuer une activité physique après les ateliers Il faut entretenir les acquis de l’atelier !!

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Une couverture territoriale assurée : Amance Champagney Combeaufontaine Dampierre-sur-Salon Gray Hericourt-Ouest Jussey Lure-Sud Luxeuil-les-Bains Marnay Melisey Montbozon Port-sur-Saône Rioz Saint-Loup-sur-Semouse Saulx Vesoul-Est Villersexel Saint-Sauurve Lure Vesoul 2 1 Hericourt Arbois Arinthod Beaufort Bletterans Champagnole Lons-le-Saunier-Nord Planches-en-Montagne Poligny Rochefort-sur-Nenon Voiteur Lons-le-Saunier-Sud Dole Lons-le-Saunier 4 Saint-Claude Delle Fontaine Giromagny Valdoie Danjoutin Grandvillars Offemont Belfort Audeux Boussieres Marchaux Montbenoit Morteau Mouthe Ornans Pierrefontaine-les-Varans Pontarlier Quingey Roulans Besançon 5 Audincourt Clerval Hérimoncourt 7 3 Pont-de-Roide Etupes Valentigney Montb-Est Montbeliard Isle-sur-le-Doubs 8 Baume-les-Dames Rougemont

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Une couverture territoriale assurée :

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » A quoi cela sert-il ? 5 000 participants en 2011 sur les deux régions. A ce rythme, 20% des PA de 60 à 80 ans seront formées… Il faudrait aller jusqu’à 30% pour obtenir un changement « général » des comportements de l’ensemble de la population. Amélioration durable des tests « Équilibre » après 6 mois, 88% se déclarent capables de se relever après une chute. 93% des participants ont « augmenté leurs compétences ». 50% des personnes ont modifié, dans la durée, leurs habitudes. Pour 80% des participants, ce programme (PPSB) a accru leur capacité à « agir » sur leur santé. Pour 75% des participants, la participation à ces programmes leur a permis de « discuter » de leur traitement avec les médecins. Pour 67% des participants, la vie sociale s’est améliorée.

Niveau 2 : « Se former pour bien vieillir » Mais se former à « bien vieillir », ce n’est pas seulement améliorer ses comportements de santé : La CARSAT BFC soutient les associations (1M€ de subventions chaque année ) pour : Lutte contre l’isolement (centres sociaux) dans les territoires les plus fragiles L’apprentissage d’internet Les séjours « vacances », « après-midi » récréatifs L’aide à l’investissement sur des équipements collectifs (foyers, …) Des actions intergénérationnelles : Ateliers ou films « mémoire », Théâtre, … L’accompagnement des malades « après le cancer », souvent ce sont des personnes âgées Aide aux collectivités locales pour acheter un bus, …

Niveau 3 : Soutenir les plus fragiles La fragilité, qu’est-ce que c’est ? 30 définitions… « le risque, pour une personne âgée, à un moment donné de sa vie, de développer ou d’aggraver des limitations fonctionnelles, sous les effets combinés de déficiences et de facteurs de risque ou facteurs contextuels. » La fragilité se caractérise donc : par un état instable (susceptible de décompensation) résultant de déficiences médicales mais aussi de facteurs environnementaux « pénalisants » (isolement, ...) Elle peut être structurelle… ou être fortement augmentée suite à un événement déstabilisant (10 à 30% des PA seraient fragiles)

Niveau 3 : Soutenir les plus fragiles Lorsqu’un événement survient et aggrave la fragilité : le veuvage Que faisons-nous ? Dès que le décès du conjoint est connu, envoi du dossier de pension de réversion et d’un courrier proposant les aides du service social Si le conjoint prend contact avec la CARSAT (conseillers retraite), sa fragilité est détectée par quelques questions et il peut faire l’objet d’un adressage vers le service social Sinon le service social rappelle la personne, lui propose un accompagnement ou des aides (aides ménagères, téléassistance, portage de repas, soutien psychologique…) Environ 2500 situations par an sont traitées A quoi cela sert-il ? Pour 75% des personnes …à rien Excellente image de la Caisse Pour 25% autres, cela est très utile : réassurance dans les démarches administratives, soutien psychologique/moral « externe » Pour 10% des personnes, des aides à la vie quotidienne sont proposées

Niveau 3 : Soutenir les plus fragiles Lorsqu’un événement survient et aggrave la fragilité : la sortie d’hospitalisation Que faisons-nous ? Dès qu’un établissement de santé nous signale une personne dont le retour à domicile est problématique, un signalement nous est envoyé 48 heures avant la sortie avec une proposition de plan d’aide Nous donnons un accord de prise en charge (max : 3 semaines, 25 heures , 200 € de petit matériel) L’intervenant se rend à domicile dès la sortie Une AS prend contact avec la personne pour vérifier l’adéquation du plan d’aide avec les besoins de la personne et vérifie les différents droits de la personne 5000 « sorties » par an A quoi cela sert-il ? Très grande satisfaction des assurés (95%) et des travailleurs sociaux des hôpitaux Ce dispositif ne réduit pas les durées d’hospitalisation (80% des cas) sauf quand l’hospitalisation est réalisée pour raisons sociales (20% des cas) Pour 1€ du coût de dispositif, ce sont 3€ de charges hospitalières économisées (alors que la réduction de durée de séjour ne porte que sur 20% des séjours)

Niveau 3 : Soutenir les plus fragiles Lorsque la fragilité est structurelle : Le PAP (Plan d’Aide Personnalisé) Que faisons-nous ? Une personne nous contacte pour une aide Nous lui envoyons un « évaluateur » : Pour évoquer avec elle la prévention (ateliers), mesurer le risque de chutes Pour lui proposer d’adapter son cadre de vie (logement) Pour mesurer sa fragilité Et… lui proposer un plan d’aide (aide ménagère, téléassistance, portage de repas, pédicurie, aide à l’adaptation du logement) 3 000 €/an, prise en charge de 23% à 90% en fonction des ressources. Le montant du plan d’aide est gradué en fonction de la fragilité 20 000 personnes aidées A quoi cela sert-il ? Grande satisfaction des assurés (>90%) Les personnes aidées présentent des caractéristiques de revenu plus dégradées que la moyenne des retraités, et vivent plus souvent seuls. Ils ont en moyenne 80 ans. Plusieurs voies de progrès ? Un ciblage pro-actif (à partir des bases de données de la sécurité sociale) Un lien plus fort entre l’accompagnement « médico-social » et le parcours de soins ? (Carnet de liaison, …)

La CARSAT, un acteur en synergie avec les autres pour promouvoir le « bien vieillir » Beaucoup d’acteurs sur le champ du « bien vieillir » ARS, DRJCS CG CCAS Caisses de sécurité sociale « vieillesse » et parfois « maladie » Mutuelles, retraites complémentaires (D’après les chiffres donnés dans le cadre du débat sur la dépendance, 1 MM€ sont dépensés chaque année pour la prévention de la perte d’autonomie, dont 450 M€ par le régime général de la sécurité sociale, Communes+CG, 250 M€)

La CARSAT, un acteur en synergie avec les autres pour promouvoir le « bien vieillir » Se coordonner entre caisses de la sécurité sociale pour gagner en lisibilité : Création du GIE IMPA (Ingénierie Maintien à domicile des personnes âgées) 5 caisses de retraite obligatoire, MSA B, MSA FC, RSI B, RSI FC, CARSAT BFC Évaluation commune des besoins des retraités Ingénierie commune (veuvage, sortie d’hospitalisation, …) Créer dans les deux régions un centre de ressources et d’expertise en gérontologie : Le Pôle de Gérontologie Interrégional BFC Développement économique (senior’act, clubs industriels/chercheurs, …) Développement de « bonnes pratiques » (ateliers de prévention en EHPAD, grille de fragilité pour la CNAV/CCMSA/CNRSI, …), cohorte d’aidants naturels… Une plus-value : la pluri-disciplinarité 

La CARSAT, un acteur en synergie avec les autres pour promouvoir le « bien vieillir » La CARSAT BFC s’intègre dans les dispositifs existants ou se coordonne : MAIA, guichets « uniques », MLA, … La CARSAT, avec le GIE IMPA, soutient le secteur de l’aide à domicile Compte tenu des enjeux autour de la prévention de la perte d’autonomie, il est pertinent que la sécurité sociale soit spécifiquement positionnée sur ce champ, mais qu’avec les collectivités territoriales (CG, communes), les institutions complémentaires …, elle promeuve le « bien vieillir ».