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Depuis quelques mois, huit restaurants Quick ne servent plus que des hamburgers garnis de viande de bœuf venant de bêtes abattues selon le rite halâl et dans lesquels la dinde fumée a remplacé le bacon.

Sans aucune publicité ni promotion, l’information s’est répandue comme une traînée de poudre Quick propose uniquement des hamburgers halâl. Les saucisses de porc ont été remplacées par du boeuf, certifié par la mosquée d’Evry, les lardons ont été tronqués contre des allumettes de dinde. Avec ce changement de carte qui vise à attirer la jeune clientèle musulmane, le fast-food a vu son chiffre d’affaire augmenter de 30%, et a dû embaucher deux fois plus de personnel en moins de quinze jours, selon le gérant Karim Bouzenada.

A chaque service, le « restaurant » est « plein à craquer » témoigne Rachid, 30 ans. « Je suis venue trois fois sans pouvoir commander » raconte Hadria, 52 ans. « Cette initiative, c’est positif. Surtout pour nos jeunes, qui mangent de plus en plus halâl. Ils ne savent pas quoi prendre à part des kebabs. » Un cahier retraçant les commandes et traduit en arabe est mis à disposition des clients pour tout renseignement.

Quick teste les viandes halâl depuis juillet dernier dans huit établissements à Toulouse, Marseille, Paris, Roubaix et Villeurbanne.

Un petit rappel s’impose : L’abattage rituel halâl consiste à égorger un animal vivant pour ensuite le laisser mourir pendant qu’il se vide de son sang. L'acte rituel: Selon la grande majorité des musulmans, la bête doit être consciente au moment de l'abattage. La tête doit être placée en direction de La Mecque. Au moment de l'égorger, le sacrificateur, qui doit être musulman, doit prononcer "bismillah", ce qui signifie "Au nom de Dieu". On laisse ensuite le corps se vider de son sang jusqu'à la mort de l'animal…

Abattage rituel d’un jeune veau : voir la vidéo ci-dessous : Il faut savoir qu'au moment du tranchage de la trachée artère et des carotides, le cerveau contient encore du sang. De plus, lors de la section, la moelle épinière n'est pas touchée : celle-ci contient une petite quantité de sang, donc de l'oxygène qui continue d'alimenter le cerveau par le bulbe rachidien. Ceci explique le fait que l’animal peut vivre plusieurs minutes après cet acte, il reste donc conscient durant cette horrible agonie… Abattage rituel d’un jeune veau : voir la vidéo ci-dessous : http://www.one-voice.fr/fr/article/abattage-rituel-le-sacrifice-d-un-jeune-veau

Et il n’y a pas que Quick ! Voici quelques exemples, non exhaustifs...

Petit reportage à visionner: Le marché de la viande hallal en France http://www.youtube.com/watch?v=y710N7I-NlE

L'abattage rituel halâl et la législation En Suisse, Suède, Norvège et Islande, l’abattage rituel, quelque soit son origine est interdit. En France, on autorise l'abattage rituel aussi bien musulman (halâl) que juif (casher : c ’est la même façon de procéder). Il est effectué dans certains abattoirs. L'animal n'est pas étourdi, il reste totalement conscient au moment de l'abattage, c ’est pourquoi il doit être mécaniquement immobilisé. De plus, il faut savoir que savoir que la certification «halâl» requiert l ’intervention d ’un abatteur musulman, et l ’agrément de l’imam, lequel perçoit à cet effet une «taxe» de l’ordre de 3% du prix de la viande (même chose pour la cashrout). Cela veut dire qu ’en plus de se rendre complice de cruauté envers les animaux, le consommateur acquitte un véritable impôt islamique...

LE HALAL, IL NE PASSERA PAS PAR MOI ! Nous ne devons pas rester pas passifs face à ce genre de cruauté sans nom, nous devons informer notre entourage, refuser d’être complices et de payer l’impôt islamique… Pour cela nous devons : boycotter les produits les produits halâl, refuser que l’on impose des menus halâl à nos enfants dans les cantines scolaires, informer largement les consommateurs dans les grandes surfaces en organisant des opérations de communication, contacter nos élus pour les sensibiliser et les mettre en demeure de prendre position. LE HALAL, IL NE PASSERA PAS PAR MOI !