Famille de bateleurs Comparons le tableau de Pablo Picasso La famille de bateleurs avec la poésie de Guillaume Apollinaire Saltimbanques. Nous y avons trouvé de nombreux points communs.
On peut voir des saltimbanques qui font des tours de souplesse On peut voir des saltimbanques qui font des tours de souplesse. Celui qui fait des acrobaties sur un ballon porte des pantalons de couleurs bleue et rouge et un pull rose clair. Par contre, celui qui est à sa droite est vêtu d’un costume violet clair avec des points violet foncé.
On peut voir deux femmes On peut voir deux femmes. Celle qui arbore une jupe brune soulève un bébé vêtu d’un habit blanc et celle qui porte une robe blanche et une jaquette rose observe attentivement l’entraînement du spectacle. Deux bébés nus qui reposent par terre ont l’air de bien s’amuser. L’homme à genoux a l’air d’être triste et nettoie des assiettes.
Tout à droite de l’illustration, on peut voir une femme accompagné d’un enfant qui lui tient la main. Derrière eux se trouve un cheval brun.
Un cheval blanc et en train de manger. La roulotte des saltimbanques est bleue et a des roues en bois. Une échelle est appuyée contre elle.
La plaine nous mène au loin mais elle est triste La plaine nous mène au loin mais elle est triste. Elle a des couleurs brun, gris, rose. Les saltimbanques sont les personnages principaux de la poésie. Il représentent la joie, la gaieté car leurs vêtements ont des couleurs vives.
Les arbres fruitier se résignent