La PrésenTation de Texte La présentation d’un texte est très importante !!! Il faut respecter une certaine structure lorsque vous tapez un texte. C’est pour ça qu’il y a des normes. Il y a la disposition Américaine et la disposition Française. Les élèves remarquent facilement qu’il n’y a aucune structure dans ce texte.

Règles générales de présentation de texte

Le titre peut être en minuscules ou en majuscules. La présentation de texte LA PRÉSENTATION DE TEXTE La présentation de texte Le titre peut être en caractères gras ou non. La présentation de texte La partie de gauche apparaît d’abord, de cette manière les élèves doivent trouver ce que ca veut dire. Le titre peut être souligné ou non Les signes de ponctuation et signes particuliers ne doivent pas être soulignés.

Les paragraphes Microsoft Word est un programme de traitement de texte, ce qui nous permet de mettre en page des textes, phrases, lettres, ... Il est beaucoup utilisé dans les écoles mais aussi dans les entreprises, ce qui amène l’utilité de bien le connaître. Les paragraphes arrivent en premier, ensuite vient le signe qui signifie qu’il y a une ligne blanche. Le but est que les élèves sachent faire le lien entre le signe et la signification. Ensuite, les élipses bleus amène l’explication. Faut la faire trouver aux élèves et une fois trouvée, elle peut apparaître pour qu’ils recopient. Lorsque vous êtes en fin de phrase et que vous devez changer de paragraphe, comptez 2. Ce qui veux dire qu’il y aura un interligne blanc entre vos deux paragraphes.

Le prénom précède toujours le nom ! L’auteur Imaginons la fin d’un texte: Et ils vécurent très heureux pendant de longues années. Pocquelin Titre de l’auteur Le texte et le nom de l’auteur sont séparé par 1 interligne. Si l’auteur n’écrit que son nom, nous l’écrirons comme ci-dessus. Mais s’il écrit son prénom, il y a deux manière de la faire: Les élèves doivent analyser les différentes manières d’écrire les noms et prénoms. Une fois que les élèves trouvent la réponse, ca peut apparaître. J.-B. Pocquelin Jean-Baptiste Pocquelin Le prénom précède toujours le nom !

Présentation d’un texte: style américain

Théorie Le titre Il se dactylographie en MAJUSCULES contre la marge. Il peut être en gras (pas obligatoire). Rem: il peut être centré par rapport au texte. Le texte Débuter le texte à un interligne après le titre. Dans le texte: toutes les lignes débutent à la marge de gauche, chaque paragraphe est séparé par un interligne blanc. Références (auteur, source) En minuscules et un interligne blanc après le texte. Et aligné à

Exemple: TITRE (À LA MARGE ET EN MAJUSCULES) ------------------------------------------------------------------------------------------------------------. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------. Prénom NOM

Exercice 1: mettez le texte suivant en forme suivant la disposition américaine Vivre Vivre bien sûr, c’est un peu le contraire d’exprimer. Si j’en crois les grands maîtres toscans, c’est témoigner trois fois, dans le silence, la flamme et l’immobilité. Il faut beaucoup de temps pour reconnaître que les personnages de leurs tableaux, on les rencontre tous les jours dans les rue de Florence ou de Pise. Mais, aussi bien, nous ne savons plus voir les vrais visages de ceux qui nous entourent. Nous ne regardons plus nos contemporains, avides seulement de ce qui, en eux, sert notre orientation et règle notre conduite. Albert CAMUS

Correction VIVRE Vivre bien sûr, c’est un peu le contraître d’exprimer. Si j’en crois les grands maîtres toscans, c’est témoigner trois fois, dans le silence, la flamme et l’immobilité. Il faut beaucoup de temps pour reconnaître que les personnages de leurs tableaux, on les rencontre tous les jours dans les rue de Florence ou de Pise. Mais, aussi bien, nous ne savons plus voir les vrais visages de ceux qui nous entourent. Nous ne regardons plus nos contemporains, avides seulement de ce qui, en eux, sert notre orientation et règle notre conduite. Albert CAMUS

Présentation d’un texte: style français

Théorie Le titre Il se dactylographie en minuscules. Il est souligné  Il est centré par rapport au texte  Le texte Il débute un interligne blanc après le titre. Chaque paragraphe est séparé par 1 interligne blanc et débute avec Un alinéa (appuyer une fois sur la touche )

Théorie Références Elles se dactylographient à 1 interligne blanc après le texte et à plus ou moins 9 cm de la marge de gauche. La patronyme de l’auteur se dactylographie tout en MAJUSCULES. Il y a deux manières de procéder pour positionner une tabulation: Soit, on clique sur la graduation 9 de la règle:

Théorie Soit, on passe par le menu «Format»:

Le titre est centré, en minuscules et souligné Exemple: Le titre est centré, en minuscules et souligné ------------------------------------------------ ---------------------. -------------------------------------------------------. -------------------------------------. Prénom NOM

Comparaison entre les dispositions Le titre est centré, en minuscules et souligné ---------------------------------------------------------------------. -------------------------------------------------------------------------------------. (9)Prénom NOM TITRE (À LA MARGE ET EN MAJUSCULES) ---------------------------------------------------------------. ---------------------------------------------------------------------------------. Prénom NOM

Exercice 1: mettez le texte suivant en forme suivant la disposition française Vivre Vivre bien sûr, c’est un peu le contraire d’exprimer. Si j’en crois les grands maîtres toscans, c’est témoigner trois fois, dans le silence, la flamme et l’immobilité. Il faut beaucoup de temps pour reconnaître que les personnages de leurs tableaux, on les rencontre tous les jours dans les rue de Florence ou de Pise. Mais, aussi bien, nous ne savons plus voir les vrais visages de ceux qui nous entourent. Nous ne regardons plus nos contemporains, avides seulement de ce qui, en eux, sert notre orientation et règle notre conduite. Albert CAMUS

Correction Vivre Vivre bien sûr, c’est un peu le contraître d’exprimer. Si j’en crois les grands maîtres toscans, c’est témoigner trois fois, dans le silence, la flamme et l’immobilité. Il faut beaucoup de temps pour reconnaître que les personnages de leurs tableaux, on les rencontre tous les jours dans les rue de Florence ou de Pise. Mais, aussi bien, nous ne savons plus voir les vrais visages de ceux qui nous entourent. Nous ne regardons plus nos contemporains, avides seulement de ce qui, en eux, sert notre orientation et règle notre conduite. Albert CAMUS

La mass média, leur liberté Exercice 2 La mass média, leur liberté L’information doit être objective. Si tout est trié, orienté, conditionné, les hommes deviendront des robots. L’information objective postule donc impérativement la liberté. Il faut une vigilance permanente pour la sauvegarde et la promotion de cette liberté sous tous ses aspects. Ceux qui détiennent l’argent et le savoir ne sont-ils pas effectivement les maîtres de l’information, notamment dans le secteur de la Presse? Chaque citoyen a droit, en régime démocratique, à l’information, droit lié aux autres droits de l’homme, qui n’a de sens que si la parole est donnée aussi et d’abord à ceux qui n’ont pas de voix et à ceux qui remettent en cause la société d’aujourd’hui. Le droit public à l’information s’accompagne du devoir de vérité qui lie les informateurs. Un vrai journaliste ne peut jamais chercher la facilité dans la sécurité. Le monde

Exercice 3 Le jeu et l’idée Dans la société de consommation, l’homme est écrasé par un environnement de plus en plus hostile. Beauté et jeu sont en voie de disparition. La société de consommation, elle-même engluée dans des problèmes socio-économiques, est fortement secouée. La seule issue à ces impasse, a-t-on dit, est la culture. Mais on peut noter que création esthétique et création scientifique ont un dénominateur commun autre que le jeu: l’idée. Art et science différent cependant par un point important. En matière de science, le concept ne peut être qu’une création du scientifique, dans le domaine de l’art, le concept est essentiellement du ressort de l’historien ou du philosophe. Le monde

Exercice 4 Le Besoin Le besoin est l’état d’un individu par rapport à ce qui lui est nécessaire: besoin de sommeil, de loisirs. Le déséquilibre résultant de cette carence conduit le sujet à accomplir l’acte qui est susceptible de le satisfaire. Parmi les différents besoins, on distingue ceux qui correspondent aux conditions physiologiques de l’organisme, et ceux qui dépendent des conditions sociales. La satisfaction des premiers est indispensable à la vie. Ce soit la faim, la soif, le sommeil, ... Les autres besoins, peuvent être distingué en trois catégories: les besoins de sécurité, d’affection, de valorisation personnelle. Leur satisfaction entraîne le bien-être et l’épanouissement de l’individu. A. Bosquet

Exercice 5 Texte sur: «Technique de l’éducation» Auteur: Jean-Marie De Ketele

Exercice 6 Qu’est-ce qu’une culture? Auteur: L. Philippart Trop souvent, aux yeux de l’Européen, la culture apparaît sous les aspects séduisants d’une philosophie personnelle du bonheur. La culture n’est pas qu’une source de jouissance et de loisirs désintéressés, elle est aussi l’arsenal des armes de lumière dont nous avons besoin pour construire dans le monde de demain plus de liberté, plus de justice, plus de fraternité. Culture engagée, humanisme militant, voilà qui nous permet, au moment où les études, les sciences, les arts et les lettres deviennent chaque jour de plus en plus accessibles au plus grand nombre, d’insister sur l’urgence de former en Europe et pour l’Europe de demain des hommes lucides, énergiques, conscients de leurs reponsabilités vis-à-vis d’eux-mêmes et surtout vis-à-vis des autres.

Exercice 7 Pierre Lassegue  La femme consommatrice Les femmes restent encore et pour longtemps sans doute, des interlocutrices privilégiées. Plutôt que consommatrices, elles sont acheteuses. Femmes mariées, mères, célibataires, elles achètent pour que d’autres consomment... Partout où elles sont susceptibles de se trouver, leur chemin est jalonné de messages publicitaires. Dans la presse féminine, la quasi-totalité des messages leur est adressée. Messages publicitaires étudiés en fonction de leur personnalité. Ainsi, on peut lire: «Plus que n’importe quoi d’autre, l’image d’une gentille frimousse enfantine attire son attention... Attendrie par les joues rebondies du bambin, rendue vulnérable, la consommatrice est bien plus tentée d’ouvrir son port-monnaie que si, par exemple, on s’était contenté de vanter les avantages du produit pour elle-même ou même pour son mari.

Exercice 8: partie 1 L’histoire de la monnaie Au début de la Préhistoire, quand l’homme se débrouillait seul pour fabriquer sa maison, ses outils, pour trouver sa nourriture, il n’avait pas besoin d’argent. Comme il était intelligent, il comprit vite que mieux valait de se regrouper en tribus et répartir les tâches: les chasseurs, les fabricants d’outils, les constructeurs, ... Ils échangèrent entre eux: deux lances pour un sanglier, une hutte contre un moitié de mammouth, ... L’échange a été la première monnaie. Mais le système parut vite très compliqué. Lorsque le fabricant de lances avait besoin d’une maison, ce qu’il proposait en échange n’intéressait pas le maçon.

Exercice 8: partie 2 On détermina des objets servant de monnaie. C’étaient des objets rares: les dents ou plumes de certains animaux, les coquillages, les pierres. Le sel a été une monnaie très utilisée. Le mot «salaire» proviendrait de cette époque (sal = sel). Les premières pièces devaient avoir la forme de grosses fèves. Plus tard, les Grecs leur donnèrent la forme d’un rond; et les Romains établirent un atelier de monnaie près du temple de Junon Moneta, Junon l’Avertisseuse. Le mot «monnaie» proviendrait de cette époque. Au Moyen Âge les pièces sont d’or ou d’argent et parfois de cuivre ou de plomb. Mais chaque seigneur ou chaque ville ayant la possibilité de fabriquer sa monnaie, on ne s’y retrouve bientôt plus. Pour finir, le privilège de battre la monnaie sera réservé au roi. À partir du 12e siècle se développe la profession de banquiers et au 16e siècle apparaît le billet de banque.