Découverte du YEMEN avec Jean René
Al Jumhuriyah al Yamaniyah Yémen Al Jumhuriyah al Yamaniyah La république du Yémen est un pays situé à la pointe sud-ouest de la péninsule Arabique; elle possède des façades maritimes sur le golfe d’Aden et sur la mer Rouge. Les pays frontaliers du Yémen sont l’Arabie Saoudite au nord et le sultanat d’Oman à l’est. Le Yémen couvre une superficie totale de 527 970 km² (France: 547 03 km²). Plusieurs îles font partie du territoire yéménite : l'île Kamaran en mer Rouge, l'îlot de Périm qui commande l'accès à la mer Rouge par le détroit de Bab el-Mandeb, et l'île Socotra (la plus grande des îles) dans l'océan Indien. La capitale du pays est Sanaa. Dans le monde antique, le Yémen était connu sous le nom d’«Arabie heureuse». Yémen signifie en arabe «la droite» : le pays est, en effet, situé à droite de La Mecque, pour les fidèles musulmans qui se tournent vers la Ville sainte lorsqu’ils prient. L’actuel Yémen est né en 1990 de la réunion de la République démocratique et populaire du Yémen (Yémen du Sud) et de la République arabe du Yémen (Yémen du Nord). Depuis la réunification du Yémen du Nord et du Yémen du Sud, le pays est divisé administrativement en 19 gouvernorats (plur.: muhafazat; sing.: muhafazah): Abyan, 'Adan, Ad Dali', Al Bayda', Al Hudaydah, Al Jawf, Al Mahrah, Al Mahwit, 'Amran, Dhamar, Hadhramaut, Hajjah, Ibb, Lahij, Ma'rib, Sa'dah, Sanaá, Shabwah et Ta'izz.
Sanaa - 1,3 millions d'habitants, est située à 2350 mètres d'altitude est la capitale du Yémen. Elle abrite l'un des plus grands musées en plein air du monde. Isolée pendant 1500 ans, visitée seulement par une poignée d'Européens, cette ville légendaire fit brutalement son entrée dans le monde moderne dans la seconde moitié du XXème siècle. La ville ancienne se dresse fièrement au milieu de quartiers modernes balayés par les nuages de poussière que soulèvent les voitures.
Parallèlement au henné on pratique au Yémen le bodypainting au khidab Parallèlement au henné on pratique au Yémen le bodypainting au khidab. Surtout dans les hautes montagnes autour de la capitale Sanaa', on préfère cette encre noire indélébile car à la différence du henné, elle ne nécessite pas un climat chaud pour développer correctement la couleur. De plus le Khidab garde la même couleur, n'importe l'endroit du corps où on l'applique Comme le harkous, le khidab est une encre à base de galle. Leurs procédésde productiosont semblables. La couleur bleu-noire est due à l'utilisation d'oxyde de cuivre à la place de l'oxyde de fer. Autrefois, on déposait le Khidab comme le henné avec les dents d'un peigne ou avec un autre objet pointu. Lors de mon séjour au Yémen j'ai pu observer deux méthodes: À Sanaa', l'encre est déposée à l'aide d'un pinceau pour eyeliner Au Timaha chaud, la côte fertile de la mer rouge, on ajoute de l'amidon à l'encre pour lui donner la texture de la pâte d'henné. Elle est alors passée par un foulard comme le henné et mise dans un douille pour ensuite dessiner les mêmes motifs en filigrane sur la peau qu'avec le henné.
à bientôt pour d'autres découvertes.... Amour et Amitié à bientôt pour d'autres découvertes.... Montage et son Jean René
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