PHYSIOLOGIE Bases physiques de la décompression Modèle humain, limite de la physique Bases physiologiques de la décompression Limites physiologiques de la plongée à l’air Toxicité de l'Oxygène Conclusion : conduite à tenir et prévention
Bases physiques de la décompression Les facteurs qui influencent les échanges de gaz entre un liquide et un gaz sont : La surface de contact La nature du gaz et celle du liquide La température La concentration du gaz dans le liquide et la pression partielle du gaz en face gazeuse La durée de l’échange
Modèle humain, limite de la physique La croissance d’une bulle Les débits sanguins différents, organes hétérogènes Le modèle de Haldane Les compartiments
Bases physiologiques de la décompression Les méthodes d’investigation : Les études d’accidents La courbe de rinçage Les mesures au krypton Le détecteur à ultrasons Les expérimentations animales La biochimie
Bases physiologiques de la décompression Le flux sanguin : Le transport des gaz dissous Des facteurs font varier le flux sanguin : L’effort PpO2 L’immersion en eau froide La formation des bulles : leur évolution La tribonucléation La cavitation cardiaque
Bases physiologiques de la décompression L’effet des bulles : Les phénomènes biochimiques Les embolies gazeuses Existence du foramen ovale Le cas particulier de la moelle épinière Le blocage de la décompression
Bases physiologiques de la décompression Les facteurs de risque : Profil de la plongée Susceptibilité individuelle Accidents médullaires Accidents de type bends Autres facteurs
Bases physiologiques de la décompression La conduite d’une bonne décompression : Rôle de l’exercice Rôle de la protection thermique Rôle de la position À la sortie Intérêt de l’oxygène : Si la concentration de l’O2 est augmentée, la pression partielle des gaz inertes est diminuée et l’élimination en est donc accélérée. De plus, s’il survient des bulles, l’hyperoxie minimise les dégâts tissulaires.
Les limites physiologiques de la plongée à l’air La narcose : Conséquence de la toxicité neurologique des gaz inertes. Phénomène d’accoutumance. L’augmentation de l’O2 dans le mélange retarde la narcose. Plus le mélange est dense, plus la ventilation est difficile. Si le plongeur ventile mieux, le seuil de narcose est reculé.
Les limites physiologiques de la plongée à l’air L’essoufflement : Effet de l’immersion Effet de la pression Effort ventilatoire Mécanisme de l’essoufflement
La toxicité de l’Oxygène L’effet Lorrain-Smith L’hyperoxie Historique : La crise hyperoxique, aspects physiologiques : Les symptômes Convulsion généralisée de type épileptique Nausées et vertiges Tremblements musculaires Divers L’effet de retard
La toxicité de l’Oxygène
La toxicité de l’Oxygène L’hyperoxie L’exploitation statistique des résultats expérimentaux : Le regroupement par familles d’expériences Influence de l’immersion Influence de l’effort et du froid Ajustement du risque en fonction de la profondeur
La toxicité de l’Oxygène L’hyperoxie Quelques questions en suspens : Effets des gaz diluants Effet du rinçage à l’air Les plongeurs sont-ils égaux ? Les effets cumulatifs
CONCLUSION La conduite à tenir en présence d’accident hyperoxique : Éviter chez le plongeur immergé la perte de l’embout. Éviter de remonter l’accidenté pendant la phase tonique. Éviter la morsure de la langue et les traumatismes pendant la phase de convulsions. À la surface
CONCLUSION La prévention : Reconnaître d’éventuels signes annonciateurs Respect de la législation. Respects de PPO2, limite de 1,6 bars et des temps d’exposition La durée de l’exposition