La résistance militaire de France La chute de la France, la résistance, et la Normandie

La bataille de France En 1940, les Allemands ont envahi la France. Les Forces Alliées avaient plus de soldats et plus d’équipement, mais les Allemands ont gagné. C’était un désastre militaire pour les Forces Alliées.

La bataille de France Parce que les français avaient plus de soldats que les autres Forces Alliées, les généraux français ont coordonné la bataille. Le Commandant Suprême de l’armée Française, Maurice Gamelin, a voulu que les Allemands attaquent les Pays-Bas et la Belgique. Il a organisé leurs forces militaires pour forcer les Allemands à attaquer Belgique. Gamelin était sûr que sa stratégie réussirait.

La bataille de France La Moselle Mais ses subalternes pensaient autrement. Ils pensaient que les Allemands allaient attaquer ailleurs. Ils pensaient qu’une attaque sur la Belgique serait une diversion, et l’attaque en fait était entre la Meuse et la Moselle.

Les subalternes étaient corrects, mais Gamelin les a négligés La bataille de France Les subalternes étaient corrects, mais Gamelin les a négligés

La bataille de France Les Suisses et les Belges ont reçu les informations que les Allemands attaqueraient à la Meuse, mais Gamelin les a négligés aussi. Il est possible que les français auraient pu gagner la guerre si Gamelin avait écouté ses subalternes, les Belges, et les Suisses. L’erreur de Gamelin est l’erreur de beaucoup de généraux dans le passé.

La bataille de France Les Allemands ont attaqué le dix mai aux Pays Bas, mais c’était un faux assaut . L’assaut était en fait au Havre. La majorité des Forces Alliées sont allées en Belgique et aux Pays-Bas, et la Meuse était partiellement ouverte. Les Allemands ont attaqué rapidement, et ont pris les alliés au dépourvu. La chute de la France est terminée

La résistance - Au debut, la résistance française n’était pas organisée, elle se composait d'actes individuels de sabotage. Mais lentement, les organisations de résistance ont commencé à se former. - Les travailleurs s’unissent dans une organisation secrète de sabotage des lignes téléphoniques et interceptent les messages militaires qu’ils donnent aux espions britanniques opérant en France. - Les postiers s’organisent afin d'intercepter les communications militaires importantes.

La résistance - Les ouvriers de chemin de fer français ont formé un groupe de résistance appelé le Réseau Fer ou Fer réseau. Ils détournent les expéditions de marchandises à la mauvaise adresse; ils ont causé des déraillements en n'utilisant pas les commutateurs; ils ont détruit les portions de voies ferrées et fait sauter les ponts de chemin de fer. 

La résistance - Un groupe de résistance en particulier, le maquis, vint à symboliser le mouvement de la résistance française dans son ensemble. - Les membres de ces bandes étaient appelés maquisards. Finalement, le terme est devenu un titre honorifique qui signifie «combattant de la résistance armée». -  La plupart des maquisards  étaient exploités dans les zones montagneuses de la Bretagne et le sud de la France, en particulier dans les Alpes et en Limousine. - Le Maquis a également contribué à l'évasion d'aviateurs alliés abattus, Juifs et autres poursuivis par les autorités de Vichy et les allemands.

La resistance et La Normandie - Lors de l'invasion des Alliés en Normandie, le maquis et d'autres groupes ont joué un certain rôle en retardant la mobilisation allemande. - Ils ont fait sauter des voies ferrées, et attaqué à plusieurs reprises le matériel de l'Armée allemande et de trains de garnison sur le chemin de la côte atlantique. - Alors que les troupes alliées avançaient, la Résistance française a augmenté collectivement contre les nazis. Les hommes de la résistance avec les parachutistes américains.

La fin "Voluntary and underground struggle against foreign occupants and their collaborators in order to free the country. To resist is to react. Resistance can not apply to an intellectual reflection or feeling. It is not about resisting in words or intellectual stances, it’s about acting…” -Francois Marcot