Trois Trésors – Trois refuges Buddhaṁ saranaṁ gacchiāmi. Je prends refuge dans le Bouddha. Dhammaṁ saranaṁ gacchiāmi. Je prends refuge dans le Dharma. Sanghaṁ saranaṁ gacchiāmi. Je prends refuge dans le Sangha.
Différents Bouddhas Shakyamuni Nichiren
Amida de Kamakura
Vairocana – Dainichi
Kannon Bouddha rieur
« Ainsi donc, ô Ananda, soyez à vous-même votre flambeau, soyez à vous-même votre refuge ; n’ayez d’autre flambeau que le Dharma, d’autre refuge que le Dharma. »
Bouddha - Dharma « [Écoute,] Vakkali, celui qui voit le Dhamma me voit. Celui qui me voit voit le Dhamma. En effet, Vakkali, voyant le Dhamma, on me voit, et en me voyant, on voit le Dhamma.»
réalité ultime de la vie Trois Corps du Bouddha Dharmakaya réalité ultime de la vie nirmanakaya sambhogakaya
corps de manifestation ou corps de l'action (ojin, 応身, nirmanakaya) Choix d'incarnation auquel procéderait un Bouddha : naître sous la forme de Gautama en Inde. Shakyamuni dit de lui-même qu'il s'est montré "tantôt comme lui-même, tantôt comme un autre"
le corps de rétribution ou propriété de la sagesse (hoshin, 報身, sambhogakaya Il peut être envisagé de deux façons différentes : la sagesse et la gloire. Le corps de sagesse est celui de son enseignement. Le corps de gloire se reflète dans les innombrables hyperboles de la littérature et de l'art religieux de l'Extrême-Orient. Ainsi le Bouddha est doté de trente-deux marques de beauté caractéristiques. Pour signifier l'authenticité de ses paroles on dira qu'il tire une langue longue et large qui monte jusqu'au ciel de Brahma.
le corps de Dharma ou le corps non-manifesté du Dharma (hosshin, 法 身 dharmakaya) Il s'agit d'un "corps" de bodhéité éternel et omniprésent. On l'appelle également corps de l'Ainsité. C'est la réalité ultime de la vie, le "corps cosmique" du Bouddha auquel se réfère Shakyamuni dans le chapitre XVI du Sutra du Lotus lorsqu'il parle de l'atemporalité de son Éveil. Mais c'est également le corps des bouddhas infinis de nature identique.
trois corps en un seul (san-jin soku ichi, 三身即一). Le corps vivant du Bouddha est la manifestation des trois corps au contraire du simple mortel chez qui existe une grande différence entre la pensée, la parole et l'action.
La vie des êtres humains est enchaînée par le mauvais karma, les désirs terrestres et les souffrances inhérentes à la vie et à la mort. Mais, grâce aux trois potentialités de la nature de bouddha - la bodhéité innée, la sagesse permettant de s'y éveiller, et l'action qui la rend manifeste - notre vie peut sans aucun doute parvenir à révéler ces trois propriétés (sanjin) du Bouddha. (Nichiren, La phrase unique et essentielle, Minobu, 1278, à Myoho-ama) Hiroshige
Demain, je dois partir pour la province de Sado Demain, je dois partir pour la province de Sado. Dans le froid, ce soir, je pense aux conditions qui doivent être les vôtres en prison et je partage votre souffrance. Comme il est admirable que vous ayez lu la totalité du Sutra du Lotus à la fois avec le corps et avec l'esprit ! Vous pourrez ainsi sauver votre père et votre mère, vos six sortes de parents, et tous les êtres vivants. Les autres ne lisent le Sutra du Lotus qu'avec leur bouche, n'en lisant que les mots, mais ils ne le lisent pas avec leur cœur. Et, même quand ils le lisent avec le cœur, ils ne le lisent pas par leurs actes. Comme ils sont admirables, en vérité, ceux qui, comme vous, lisent le Sutra à la fois avec le corps et avec l'esprit ! (Lettre au moine Nichiro en prison, Eichi, 1271)
Vivre le Sutra avec son corps Recevoir et garder Lire Réciter Expliquer Copier
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