Semaine Européenne de la Microfinance Luxembourg 15 Novembre 2012

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Transcription de la présentation:

Semaine Européenne de la Microfinance Luxembourg 15 Novembre 2012 Présentation du Réseau Africain de Microfinance (AFMIN) OUSMANE THIONGANE, AFMIN Chairman Semaine Européenne de la Microfinance Luxembourg 15 Novembre 2012

Promouvoir la finance inclusive en Afrique et transformer AFMIN en un réseau régional viable

BREVE PRESENTATION .Le Réseau Africain Microfinance (AFMIN) est une association régionale de réseaux nationaux des institutions de microfinance en Afrique .AFMIN est initiative menée par les praticiens africains de la microfinance pour créer et/ou renforcer les capacités des réseaux nationaux de microfinance dans le but d’établir des standards communs de performance, de développer une capacité institutionnelle et à mettre en œuvre un changement de politique. .AFMIN a été lancé formellement en novembre 2000. Il a implanté son Siège Social à Abidjan, en République de Côte d’Ivoire, pays dans lequel il a été légalement constitué en tant qu’Organisation Non Gouvernementale Internationale. À cause de la situation politique en Côte d’Ivoire, AFMIN a délocalisé temporairement son secrétariat à Cotonou au Bénin en Octobre 2006. The idea for AFMIN was conceived in 1996. In June of that year, leaders from several international organizations and leading African microfinance institutions met in Bamako to identify the key steps necessary for building local networks in fifteen African countries. In July 1997, the program was launched in South Africa. Since its launch, the program has helped to create or strengthen country-level networks in thirteen African countries. The goal of the program was to contribute to poverty reduction in Africa by opening access to finance and business development services to poor entrepreneurs and producers, particularly women. The immediate objectives of the program and related outputs, as stated in WWB’s original project proposal were to :   - Facilitate the establishment and strengthening of regional and country-level networks of MFIs in Africa. Build the mechanisms, products and services to facilitate lateral learning among microfinance leaders in Africa, and with leaders around the world.   - Reinforce the institutional capacities, reach, and leadership of women-led MFIs that focus on serving poor women, as a means of reaching more poor women, and as a means to get other leading microfinance organizations in Africa to shift toward a greater participation by women in financial services, and in institutional decision-making. Therefore, the program centered on :            - The formation and strengthening of country-level networks of MFIs in 15 African countries,            - Activities leading to the formation of the Africa regional microfinance network,            - The distillation and dissemination of best practices in microfinance in the region, and            - Institutional development support to women-led WWB affiliates in Africa through technical inputs and services from the WWB network. WWB and UNDP had collaborated closely since 1995 in preparatory activities, notably the preparation of an inventory of MFIs in 17 African countries, conducted by WWB and UNDP country bureaus; and a Best Practice Workshop of Leading African MFIs-many identified through the inventory exercise-held in 1996 in Mali. Most MFI leaders convened at the workshop became key players in the program, taking a leading role in the formation or strengthening of country-level MFI networks and the eventual formation of AFMIN. These African anchors and network leaders decided that the initial focus of the program should be on building country-level networks in countries where they did not already exist, and to strengthen the networks that already existed. It was agreed that the Africa regional MFI network should be formed only after the establishment of strong, operational country-level networks with a proven record of providing value-added services to their members. As a result, the first two years of the program were dedicated to building and/or strengthening country-level networks. Participating African anchors and MFI leaders agreed on the criteria that a country-level network would need to meet by 2000 to become a member of AFMIN. The successful strategy adopted in the program was three-pronged :   - Organizing six-monthly workshops in which anchors and network leaders plan and evaluate their in-country activities and achievements; - Building best practice know-how on the role of networks, key success factors of MFI networks, criteria for membership and value-adding network products and services that retain existing members and attract new ones; - Providing seed funding for the start-up activities of country-level networks, e.g., mobilizing members, meetings and sensitization activities. All regional-level meetings combined a best practice session with a networks session. The best practice session was open to participation by UNDP officers, additional existing and potential funders and other leading MFIs. The networks session involved only network leaders and anchors. They included sessions in which all country-level network representatives outlined and discussed the progress made in the previous six-month period in building country-level networks and presented the action plan for the following six-month period. Regional meetings were held in the following locations :  Johannesburg, South Africa, July 1997 Addis Ababa, Ethiopia, March 1998  Abidjan, Ivory Coast, September 1998 Nairobi, Kenya, April 1999 Dakar, Senegal, October 1999 Cape Town, South Africa, July 2000-pre-launch meeting Cotonou, Benin, December 2000-official launch of AFMIN. The program culminated in the formal launch of AFMIN, the Africa Microfinance Network, in December 2000. The AFMIN membership consists of 22 country-level networks of MFI from East, West and Southern Africa. The 22 country-level networks collectively number 1 118 MFI members with a combined reach of over 13 million poor clients.

HISTORIQUE REUNIONS REGIONALES: JOHANNESBOURG, AFRIQUE DU SUD, Juillet 1997 ADDIS-ABEBA, ETHIOPIA, Mars 1998 ABIDJAN, COTE D’IVOIRE, Septembre 1998 NAIROBI, KENYA, Avril 1999 DAKAR, SENEGAL, Octobre 1999 CAPE TOWN, AFRIQUE DU SUD, Juillet 2000 COTONOU, BENIN, DECEMBRE 2000: Lancement officiel de AFMIN Etablissement du Secrétariat Exécutif en 2001 à ABIDJAN en COTE D’IVOIRE Délocalisation depuis 2006 à COTONOU au BENIN The idea for AFMIN was conceived in 1996. In June of that year, leaders from several international organizations and leading African microfinance institutions met in Bamako to identify the key steps necessary for building local networks in fifteen African countries. In July 1997, the program was launched in South Africa. Since its launch, the program has helped to create or strengthen country-level networks in thirteen African countries. The goal of the program was to contribute to poverty reduction in Africa by opening access to finance and business development services to poor entrepreneurs and producers, particularly women. The immediate objectives of the program and related outputs, as stated in WWB’s original project proposal were to :   - Facilitate the establishment and strengthening of regional and country-level networks of MFIs in Africa. Build the mechanisms, products and services to facilitate lateral learning among microfinance leaders in Africa, and with leaders around the world.   - Reinforce the institutional capacities, reach, and leadership of women-led MFIs that focus on serving poor women, as a means of reaching more poor women, and as a means to get other leading microfinance organizations in Africa to shift toward a greater participation by women in financial services, and in institutional decision-making. Therefore, the program centered on :            - The formation and strengthening of country-level networks of MFIs in 15 African countries,            - Activities leading to the formation of the Africa regional microfinance network,            - The distillation and dissemination of best practices in microfinance in the region, and            - Institutional development support to women-led WWB affiliates in Africa through technical inputs and services from the WWB network. WWB and UNDP had collaborated closely since 1995 in preparatory activities, notably the preparation of an inventory of MFIs in 17 African countries, conducted by WWB and UNDP country bureaus; and a Best Practice Workshop of Leading African MFIs-many identified through the inventory exercise-held in 1996 in Mali. Most MFI leaders convened at the workshop became key players in the program, taking a leading role in the formation or strengthening of country-level MFI networks and the eventual formation of AFMIN. These African anchors and network leaders decided that the initial focus of the program should be on building country-level networks in countries where they did not already exist, and to strengthen the networks that already existed. It was agreed that the Africa regional MFI network should be formed only after the establishment of strong, operational country-level networks with a proven record of providing value-added services to their members. As a result, the first two years of the program were dedicated to building and/or strengthening country-level networks. Participating African anchors and MFI leaders agreed on the criteria that a country-level network would need to meet by 2000 to become a member of AFMIN. The successful strategy adopted in the program was three-pronged :   - Organizing six-monthly workshops in which anchors and network leaders plan and evaluate their in-country activities and achievements; - Building best practice know-how on the role of networks, key success factors of MFI networks, criteria for membership and value-adding network products and services that retain existing members and attract new ones; - Providing seed funding for the start-up activities of country-level networks, e.g., mobilizing members, meetings and sensitization activities. All regional-level meetings combined a best practice session with a networks session. The best practice session was open to participation by UNDP officers, additional existing and potential funders and other leading MFIs. The networks session involved only network leaders and anchors. They included sessions in which all country-level network representatives outlined and discussed the progress made in the previous six-month period in building country-level networks and presented the action plan for the following six-month period. Regional meetings were held in the following locations :  Johannesburg, South Africa, July 1997 Addis Ababa, Ethiopia, March 1998  Abidjan, Ivory Coast, September 1998 Nairobi, Kenya, April 1999 Dakar, Senegal, October 1999 Cape Town, South Africa, July 2000-pre-launch meeting Cotonou, Benin, December 2000-official launch of AFMIN. The program culminated in the formal launch of AFMIN, the Africa Microfinance Network, in December 2000. The AFMIN membership consists of 22 country-level networks of MFI from East, West and Southern Africa. The 22 country-level networks collectively number 1 118 MFI members with a combined reach of over 13 million poor clients.

OBJECTIFS AFMIN et ses membres se sont fixés des objectifs ambitieux de développement de la microfinance, en vue d’influencer les connaissances, les ressources et résultats afin d’avoir un impact majeur sur les services financiers aux pauvres par: • La mise en place d’un consensus autour des indicateurs de performance afin de s’assurer que le secteur maintient un grand niveau de performance qui permettra aux IMFs d’atteindre la viabilité et d’intégrer les systèmes financiers de leurs pays, tout en continuant d’offrir des services financiers aux pauvres. • Le partage et la dissémination des pratiques optimales et innovations pour renforcer la capacité institutionnelle des membres, y compris la coordination de services techniques d’agences externes ou donateurs et la promotion de l’apprentissage latérale entre les praticiens. • La création d’une voix forte et unifiée pour les actions de changement de politique et de consensus qui permettent l’accès de la majorité des pauvres aux services financiers en Afrique

VISION ET MISSION VISION : « Contribuer à l’expansion de la finance inclusive à travers les fournisseurs de services financiers viables en Afrique» MISSION : Etre un réseau régional innovant et viable pour promouvoir la finance inclusive en Afrique par l’amélioration des capacités des réseaux nationaux en Afrique.

Cadre conceptuel de la stratégie AFMIN Réseaux Nationaux Institutions de Microfinance Population Exclue du système financier formel

STRUCTURE ASSEMBLEE GENERALE (Directeurs Exécutifs et Présidents des Réseaux Membres) CONSEIL D’ADMINISTRATION (Président, Vice Président, Secrétaire Général, Trésorier et 3 membres) SECRETARIAT EXECUTIF (Directeur Général, Directeur de Programmes, Chargés de programmes, Coordonnateurs Régionaux, Responsable Administratif et Financier, Assistante Administrative) Les principales instances de AFMIN sont: Les représentants de l’Assemblée Générale de AFMIN, les Membres du Conseil d’Administration de AFMIN et le Secrétariat de AFMIN, L’Assemblée générale     L’Assemblée générale est l’instance suprême de AFMIN. Elle comprend deux représentants de chacun des 22 réseaux nationaux : le Directeur Exécutif et le Président ou un représentant désigné. Tous les membres de l’Assemblée générale sont des dirigeants du secteur de la microfinance dans leurs pays respectifs et ont prouvé leur engagement à contribuer à long terme au succès de AFMIN. L’Assemblée générale se réunit une fois par an et s’occupe de l’élaboration des orientations stratégiques générales et des politiques de AFMIN, ainsi que de l’élection du Conseil d’Administration. L’Assemblée générale analyse aussi et approuve les plans d’affaires, les rapports de AFMIN et les comptes soumis par le Conseil ; elle approuve également les nouveaux membres de AFMIN sur recommandation du Conseil. Le Conseil d’Administration Le Conseil d’Administration de AFMIN est une instance de sept personnes élues parmi les membres de l’Assemblée générale de AFMIN. Les membres du Conseil d’Administration ne représentent pas leurs réseaux respectifs au Conseil. Ce dernier présente les rapports à l’Assemblée générale et assume la responsabilité de réalisation à long terme des objectifs stratégiques de AFMIN. Le Secrétariat Exécutif Le Secrétariat Exécutif, avec le Conseil d’Administration, constitue la structure d’appui de AFMIN. Le secrétariat de AFMIN comprend un Directeur Exécutif, un Directeur des programmes, un comptable et une assistance administrative. Cette structure est prévue pour le personnel permanent du secrétariat. En complément, AFMIN recrute un personnel spécifique pour la mise en oeuvre de chaque programme dont les couts sont financés directement par les projets en cours. L’occupation des postes de cadres supérieurs confirmés au niveau de AFMIN exige une expérience réussie et conséquente d’au moins cinq ans dans le domaine de la microfinance, ainsi des qualifications établies en matière de gestion ou administration des affaires et des compétences en communication. Ces postes sont ouverts aux citoyens africains, maîtrisant de préférence l’anglais et le français.

Conseil d’ administration Le Conseil d’Administration est composé de : Mr. Ousmane THIONGANE (Sénégal), Président Dr. Wolday AMHA (Ethiopie), Vice-président Mr. AKA GNOUMON (Cote d’Ivoire), Trésorier Mme. Marie Louise NSABIYUMVA (Burundi), Membre Mr. David Baguma (Ouganda), Membre Coulibaly Hamidou (Mali) Membre Mr. Magnus AMOA-BOSOMPEM (Ghana), Membre Membres suppléants au Conseil d’Administration: Messieurs Ignace Dovi ( Benin ) et Mr. Benjamin Nkungi (Kenya). Les principales instances de AFMIN sont: Les représentants de l’Assemblée Générale de AFMIN, les Membres du Conseil d’Administration de AFMIN et le Secrétariat de AFMIN, L’Assemblée générale     L’Assemblée générale est l’instance suprême de AFMIN. Elle comprend deux représentants de chacun des 22 réseaux nationaux : le Directeur Exécutif et le Président ou un représentant désigné. Tous les membres de l’Assemblée générale sont des dirigeants du secteur de la microfinance dans leurs pays respectifs et ont prouvé leur engagement à contribuer à long terme au succès de AFMIN. L’Assemblée générale se réunit une fois par an et s’occupe de l’élaboration des orientations stratégiques générales et des politiques de AFMIN, ainsi que de l’élection du Conseil d’Administration. L’Assemblée générale analyse aussi et approuve les plans d’affaires, les rapports de AFMIN et les comptes soumis par le Conseil ; elle approuve également les nouveaux membres de AFMIN sur recommandation du Conseil. Le Conseil d’Administration Le Conseil d’Administration de AFMIN est une instance de sept personnes élues parmi les membres de l’Assemblée générale de AFMIN. Les membres du Conseil d’Administration ne représentent pas leurs réseaux respectifs au Conseil. Ce dernier présente les rapports à l’Assemblée générale et assume la responsabilité de réalisation à long terme des objectifs stratégiques de AFMIN. Le Secrétariat Exécutif Le Secrétariat Exécutif, avec le Conseil d’Administration, constitue la structure d’appui de AFMIN. Le secrétariat de AFMIN comprend un Directeur Exécutif, un Directeur des programmes, un comptable et une assistance administrative. Cette structure est prévue pour le personnel permanent du secrétariat. En complément, AFMIN recrute un personnel spécifique pour la mise en oeuvre de chaque programme dont les couts sont financés directement par les projets en cours. L’occupation des postes de cadres supérieurs confirmés au niveau de AFMIN exige une expérience réussie et conséquente d’au moins cinq ans dans le domaine de la microfinance, ainsi des qualifications établies en matière de gestion ou administration des affaires et des compétences en communication. Ces postes sont ouverts aux citoyens africains, maîtrisant de préférence l’anglais et le français.

ETENDUE DU RESEAU 25Réseaux Nationauxs 1.200 IMFs 20 Millions d’Epargnants Réseaux Nationaux Membres Réseaux Nationaux non Membres

OBJECTIFS STRATEGIQUES I- Renforcer la capacité des Réseaux Nationaux II- faire le Plaidoyer pour une politique / environnement réglementaire favorable à la finance inclusive et influencer l'orientation stratégique de la finance inclusive en Afrique III- Etablir et promouvoir les normes et meilleures pratiques pour la promotion de la performance sociale IV- Disséminer les connaissances, les bonnes pratiques et les innovations V- Transformer AFMIN en un réseau régional viable

PROGRAMMES ET SERVICES RENFORCEMENT DES CAPACITES DES RESEAUX NATIONAUX ETABLISSEMENT DE NORMES DE PERFORMANCES FINANCIERES ET SOCIALES CONTRIBUTION A L’AMELIORATION DES POLITIQUES ET REGLEMENTATIONS DE LA MICROFINANCE ETABLISSEMENT DE SYSTEMES ET DE PROCESSUS POUR L’ECHANGE ET LA DIFFUSION D’INFORMATIONS ET DE CONNAISSANCES

PRINCIPALES REALISATIONS RENFORCEMENT DES CAPACITES DES RN ET DE LEURS IMFS MEMBRES ETABLISSEMENT DE NORMES DE PERFORMANCE 3. AMELIORATION DU CADRE JURIDIQUE ET REGLEMENTAIRE 4. ETABLISSEMENT DE PLATEFORME D’ECHANGE DE CONNAISSANCES ET D’INFORMATIONS

1. RENFORCEMENT DES CAPACITES DES RN Evaluation des besoins et des capacités de plus de 10 Réseaux Nationaux Formation sur différents thèmes: Leadership, Gestion des RH, Planification stratégique, Gestion du Risque, Microfinance et VIH-SIDA, NCAT,… Coordination des visites d’échanges entre RN et IMFs Coordination de la participation des RNs aux évènements majeurs (SEEP Network Summit, Microcredit Summit,…) Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

2. ETABLISSEMENT DE NORMES DE PERFORMANCE Promotion de la performance sociale au niveau de 8 pays (Bénin, Burkina-Faso, Kenya, Ethiopie, Niger, Ouganda, Sénégal, Togo) et appui technique à 90 IMFs Mise en place d’indicateurs Financiers et Sociaux pour l’ensemble des membres Propositions et contribution dans la mise en place d’indicateurs communs de performances pour les pays de la zone UMOA Organisation de formations régionales sur le Suivi et l’Analyse de Performances (FRAME TOOL, MIX Monitor,…) Assistance Technique dans l’acquisition d’outils au profit de plusieurs RNs (MIX Market, ALAFIA Perform, …) Appui aux Réseaux Nationaux dans la publication des rapports de Performances Organisation d’atelier régional sur les indicateurs sociaux pour l’ensemble des membres Publication sur « le Rôle Catalyseur joué par les RNs dans la mesure des Performances des IMFs » Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

2. ETABLISSEMENT D’INDICATEURS COMMUNS DE PERFORMANCE Mise en place d’indicateurs Financiers et Sociaux pour l’ensemble des membres Propositions et contribution dans la mise en place d’indicateurs communs de performances pour les pays de la zone UMOA Organisation de formations régionales sur le Suivi et l’Analyse de Performances (FRAME TOOL, MIX Monitor,…) Assistance Technique dans l’acquisition d’outils au profit de plusieurs RNs (ALAFIA Perform, …) Appui aux Réseaux Nationaux dans la publication des rapports de Performances Organisation d’atelier régional sur les indicateurs sociaux pour l’ensemble des membres Publication sur « le Rôle Catalyseur joué par les RNs dans la mesure des Performances des IMFs » Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

3. AMELIORATION DU CADRE REGLEMENTAIRE DES IMF Collaboration entre AFMIN et les Associations membres de la zone UMOA Propositions faites en 2004 à la BCEAO pour un réaménagement de la règlementation sur les SFD qui ont été prises en compte dans la nouvelle loi qui est entrain d’ètre promulguée dans la zone (Mali, Togo, Burkina-Faso, Niger, Sénégal, Benin, Cote d’Ivoire…) Principaux réaménagements: Instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière. Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

4. PLATEFORME D’ECHANGE DE CONNAISSANCES ET D’INFORMATIONS Organisations de conférence annuelles sur les meilleures pratiques dans divers domaines: Gestion de Performance Sociale, Crise financière économique et sociale, Financement Rural, Micro-Entreprise, Innovations, Portée et efficacité des IMFs, … Organisations de conférence virtuelles (Standards de promotion de performance sociale, services intégrés) Réalisation d’étude et de publication sur l’introduction d’innovation dans différents pays (Mobile Banking, Banque à distance, Transfert d’Argent) Collecte et Diffusion d’information sur les derniers développements du secteur à travers le site internet Développement de synergie et de partenariat avec d’autres associations ou organisations comme ADA, BAD, AFRACA, SEEP Network, Pamiga , ……… Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

Comment atteindre la viabilité? QuickTime™ and a decompressor are needed to see this picture. Une nouvelle architecture de financement (Une nouvelle gouvernance?) INPUTS OUTPUTS Charges inconditionnelles Comptabilité + Audit Conseil d’Administration Directeur Contributions inconditionnelles Cotisations et autres contributions des membres Mobilisation de financement structurel Financement local + Contrib Membres et Partenaires . Activité structurelle Réunion Annuelle Activités conditionnelles Actions, Formations, Réunions, Recherche, Pilotes, Nouvelles initiatives Financement ciblé Cofinancement de plusieurs partenaires Réseau Européen de la Microfinance: Commission Européenne

Facteurs de succès BONNE REPRESENTABILITE du secteur (RN et IMFs leaders sont membres) GOUVERNANCE TRANSPARENTE BONNE RELATION AVEC LES PARTENAIRES Réseau Européen de la Microfinance: Commission Européenne

Principaux partenaires Catholic Relief Services Fondation Ford Fondation MasterCard ADA-Luxembourg Banque Africaine de Développement SEEP Network SPTF Réseau Européen de la Microfinance: Commission Européenne

PERSPECTIVES 2013 - 2014 Développement de synergie et de partenariat avec d’autres associations ou organisations comme MAIN , AFRACA, AMT, en vue de développer des programmes communs Diversification du réseau de Partenaires tant au niveau sous régional qu’ International ( ADA , Pamiga , SEEP Network , Plateforme Européenne de la Microfinance ,……) et renforcer l’ axe Nord / Sud Accroitre le nombre de réseaux membres ( au minimum 2 nouveaux pays par an ) pour une large couverture du Continent Accroitre sa visibilité dans les Sous Régions Africaines de l’ Ouest et de l’ Est et y mener plus d’ activités pour ses membres ; Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

Contacts - Mr. Ousmane THIONGANE , Président - Mr Davy Serge AZAKPAME , Directeur General Web site: www.afminetwork.org Tel: (229) 21 30 74 41 Fax: (229) 21 30 74 96 COTONOU / BENIN Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.

MERCI POUR VOTRE AIMABLE ATTENTION Ce projet de loi portant réglementation des systèmes financiers décentralisés était d'autant plus nécessaire que beaucoup de ces structures de micro-finances souffrent d'insuffisances comme : la mauvaise gouvernance dans les SFD ; l'insuffisance du professionnalisme du personnel et des dirigeants des SFD ; la défaillance du système d'information de gestion reflétée par la faible fiabilité des états financiers de certains SFD et la non disponibilité, dans les délais requis, de l'information financière ; la faiblesse des mécanismes internes et externes de surveillance et des insuffisances dans le suivi des recommandations formulées à l'issue des contrôles. Principaux aménagements: l'extension de la nouvelle réglementation à l'ensemble des systèmes financiers décentralisés ; l'instauration d'un régime unique d'autorisation d'exercice; l'implication de la Banque Centrale et de la Commission Bancaire, dans la surveillance des Institutions ; le renforcement du dispositif prudentiel et des sanctions applicables ainsi que la certification obligatoire des comptes pour les systèmes financiers décentralisés d'une certaine taille financière.