Qui est qui sur le Gohonzon 1 - Namu Myoho Renge Kyo 2 - Les bouddhas 3 - Les bodhisattvas Surgis de Terre 4 - Les bodhisattvas Provisoires 5 - Les Vidya-rajas 6 - Les Grands disciples shravakas 7 - Les devas – Divinités védiques 8 - Quatre rois célestes 9 - Sous les Ciels 10 - Kami - Les divinités shintoïstes 11 - La succession 12 - Nichiren
1. Qu’est ce qu’un mandala ? Mandala en sanscrit signifie cercle, et par extension, sphère, environnement
Cercle celtique - Cromlech de Drombeg (Irlande) Un peu d’histoire La symbolique du cercle apparait très tôt, pratiquement dans toutes les cultures. Cercle celtique - Cromlech de Drombeg (Irlande)
L’hindouisme élabore des yantra, figures géométriques tracées matériellement ou mentalement pour dompter le mental et maîtriser les forces cosmiques.
La symbolique des formes géométriques se répand dans toute l’Asie du Sud-Est et pénètre le bouddhisme.
Alors qu’en Occident, l’utilisation du cercle est souvent associée à la sorcellerie,
et qu’en Chine le mandala est souvent traité de façon artistique en intégrant les symboles religieux,
au Japon, chaque école bouddhiste a ses propres mandalas, en fonction des divinités ou des sutras qu’elle met au premier plan. Amida Dainichi Hachiman Fugen
A l’époque de Nichiren, on trouve des épisodes du Sutra du Lotus sur des mandalas Tour aux Trésors
Shakyamuni / Taho
Pour Nichiren, Shakyamuni et Taho représentent l’unité des bouddhas des dix directions avec le Daimoku et c’est Namu Myoho Renge Kyo qui occupe la position centrale
Quelques des 125 gohonzon authentifiés : Nichiren Quelques des 125 gohonzon authentifiés : Peut-être une lettre de Nichiren. 1271 1272
Prayer gohonzon inscrit pour Nissho et Niccho - 1276 Gohonzon individuel simplifié Shutei Gohonzon - 1280
Dai Gohonzon – 12 octobre 1279 Nittatsu (1959-1979) Nikken et Nichinyo Nichiren Shoshu : les gohonzons des adhérents sont caractérisés par les inscriptions en marge. A droite « Quiconque tourmente ceux qui exposent le Dharma aura la tête brisée en sept morceaux » ; à gauche : « Ceux qui font des offrandes auront une fuk’un surpassant les dix titres honorifiques ».
Sho Hondo inauguré en 1972 – démoli en 1991
SGI Nichikan Gohonzon (1720) : joju gohonzon avec le nom du destinataire dans la marge. L’original transcrit par Nichikan a été conféré à Nissho, grand-prêtre du temple Hon'nyo-zan Joen-ji. En 1992, ce temple en a fait le don à la SGI. Ce gohonzon ne comporte pas les caractères de Devadatta (monde-état de l’enfer), Ashura qui symbolise la colère et les rois chakravartins qui symbolisent l’état d’Homme.
La taille des gohonzons varie en fonction de leur utilisation La taille des gohonzons varie en fonction de leur utilisation. Plusieurs mètres pour les temples ou quelques centimètres pour les omamori gohonzons pour les voyages. Nichiju (1314-1392) - Kempon Hokke Shu
Bien que vénérés, les monuments ne sont pas des gohonzons
Ce qu’en dit Nichiren Quant au Sutra du Lotus, les mérites et les bienfaits de ses huit volumes et vingt-huit chapitres sont tous contenus dans les cinq caractères de son titre. C'est comparable au merveilleux joyau exauçant tous les vœux, capable de dispenser dix mille trésors. Ou bien l'équivalent du principe "un seul grain de poussière contient trois mille mondes". (Chevaux blancs et cygnes blancs – Minobu, 1280, à la dame d'Utsubusa )
Que désigne donc Myo ? C'est uniquement la nature mystérieuse de notre vie, d'instant en instant, que l'on ne peut saisir par la pensée ni exprimer par les mots. Si vous vous interrogez sur la nature de votre esprit à un moment donné, vous ne percevez ni couleur ni forme prouvant qu'il existe. Mais vous ne pouvez pas non plus dire qu'il n'existe pas, car diverses pensées ne cessent de se présenter à vous. La vie est une réalité difficile à saisir qui échappe aux mots et aux concepts d'existence comme de non-existence. Elle n'est ni existence, ni non-existence, et pourtant manifeste tantôt l'un de ces aspects, tantôt l'autre. C'est la réalité mystique de la voie du milieu, réalité unique de toutes choses. On appelle Myo la nature mystérieuse de la vie et Ho ses manifestations. (Sur l'atteinte de la bodhéité - Kamakura 1255, à Toki Jonin)
Renge, la fleur de lotus, symbolise la nature mystique de ce Dharma Renge, la fleur de lotus, symbolise la nature mystique de ce Dharma. (Sur l'atteinte de la bodhéité - Kamakura 1255, à Toki Jonin)
Lorsque vous réalisez que votre propre vie est le Dharma merveilleux, vous réalisez que celle des autres l'est également. Cet Éveil s'exprime par Kyo, le Sutra merveilleux. C'est le roi des sutras, la voie directe vers l'Éveil, car il explique que l'ainsité de notre esprit, d'où naissent le bien comme le mal, n'est autre que la réalité du Dharma merveilleux. (Sur l'atteinte de la bodhéité - Kamakura 1255, à Toki Jonin)
Moi, Nichiren, j'ai vécu au temple Seicho-ji sur le Mont Kiyosumi, dans le village Tojo de la province d'Awa. Dans mon enfance, j'ai adressé au bodhisattva Kokuzo la prière de devenir la personne la plus sage du Japon. Le bodhisattva Kokuzo s'est changé sous mes yeux en un vénérable moine qui m'a confié un joyau de sagesse aussi étincelant que l'étoile du matin. (Le savant maître Chan-wou-wei - Kamakura, 1270 à Joken-bo et Gijo-bo) cintamani
Atome d’uranium
Signature de Nichiren Nichiren