Il était une fois La MRC des Laurentides et La MRC dAntoine Labelle Bons voisins ??? À voir !

Un peu dhistoire Le centre de tri a été fondé, en 1992, par 8 municipalités qui voulaient suivre la vague écologiste et aussi créer des emplois pour la région qui dépend presque essentiellement du tourisme et de lindustrie de la forêt. La MRC des Laurentides qui voulait venir enfouir ses déchets dans le dépotoir de Rivière-Rouge a dû, par entente, y amener aussi ses recyclables. Les municipalités de la MRC dAntoine-Labelle ont adhéré en totalité. En tout, 28 municipalités sont devenues membres de la Régie intermunicipale de récupération des Hautes-Laurentides. Toutes les municipalités membres divisaient ainsi les coûts à parts égales afin de faire bénéficier les municipalités les plus éloignées. En 2000, le centre sest agrandi et les emplois sont passés denviron 25 à 50 sur 2 quarts de travail. Le PGMR (plan de gestion des matières résiduelles) élaboré par chacune des MRC en 2004, plaçait le centre de tri au cœur de la gestion en matière de recyclage. Les prévisions de ce plan garantiraient environ tonnes de matières recyclables transigées et traitées par le centre de tri de Rivière-Rouge.

La MRC des Laurentides Elle est riche. Elle est belle. Elle ne veut pas de dépotoirs chez elle. Elle reçoit des milliers de touristes qui laissent à leur suite des tonnes de déchets. Elle envoie chez nous (la MRC dAntoine Labelle) ses montagnes de détritus.

La MRC dAntoine-Labelle Elle est pauvre. Elle voudrait se faire belle. Elle reçoit chez elle des poubelles. Elle hypothèque la santé de ses sols, de sa rivière et de ses citoyens pour les 100 ans à venir. Elle se fait asservir et ensevelir par sa voisine qui la prive des bénéfices de la récupération.

Encore une fois La MRC des Laurentides et La MRC dAntoine Labelle Bons voisins ??? NON !!!

À suivre... les enjeux dans la deuxième édition de``Il était une fois``

SVP envoyez à tous vos contacts