Prévenir les AVC, un à la fois Alimentation santé 2009 Nous remercions tout particulièrement Sophie Lejeune, Dt.P., pour sa contribution à la boîte à outils pour la prévention de l’AVC.
Prise en charge des facteurs de risque OBJECTIFS D’APPRENTISSAGE À la fin de la séance, les participants seront en mesure : de conseiller leurs patients sur un régime alimentaire sain et équilibré répondant aux Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC 2008 et d’élaborer, en partenariat avec les patients et leurs familles, un plan individualisé en vue de préparer des repas sains et de manger plus sainement.
2.1 Gestion du mode de vie et des facteurs de risque Chez les individus à risque d’AVC et chez ceux qui en ont subi un, il faut rechercher les facteurs de risque de maladie vasculaire et réviser le mode de vie (alimentation, apport en sodium, tabagisme, exercice, poids et consommation d’alcool). Les personnes concernées devraient être informées des stratégies possibles pour modifier leurs facteurs de risque et leur mode de vie. Commençons par un rappel de la recommandation 2.1 des Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC qui traite dans ses deux premiers éléments du besoin de réduire les facteurs de risque par une alimentation et un apport de sodium appropriés. Source : Lindsay P., Bayley M., Hellings C. et autres; Groupe de rédaction Pratiques optimales et normes au nom de la Stratégie canadienne de l'AVC une initiative conjointe du Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires et de la Fondation des maladies du cœur du Canada. Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l'AVC (mise à jour de 2008) CMAJ 2008 ;179 : E1-E93 CMAJ 2008;179(12 Suppl):E1-E93. #2.1
Alimentation saine et équilibrée Graisse Cholestérol Fibres Guide alimentaire canadien Autres suggestions Comment équilibrer un repas IMC et tour de taille Ressources Il faut savoir ce qu’est une alimentation santé pour pouvoir modifier le régime alimentaire. Les patients doivent savoir ce qu’ils sont supposés viser ainsi que les stratégies pour atteindre ce résultat. Les Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC expliquent dans la recommandation 2.1 ce que signifie une alimentation santé. Nous discuterons de ces sujets l’un après l’autre pour que vous sachiez mieux comment venir en aide aux patients et à leurs familles et leur donner des conseils à ce sujet. Nous aborderons rapidement la question du sodium (sujet d’une autre présentation à venir), puis traiterons du gras, du cholestérol, des fibres, du Guide alimentaire canadien, des façons d’utiliser tous ces renseignements pour équilibrer un repas, de l’influence de tout ceci sur l’IMC et le tour de taille et parlerons enfin des ressources disponibles.
Alimentation saine et équilibrée Recommandation canadienne pour les pratiques optimales de soins de l’AVC 2.1i) Alimentation saine et équilibrée Conformément au Guide alimentaire canadien pour manger sainement, une alimentation saine et équilibrée doit être riche en fruits et légumes frais, produits laitiers faibles en gras, fibres alimentaires et solubles, grains entiers et protéines d’origine végétale, et doit être faible en gras saturés, cholestérol et sodium. Il a été confirmé qu’une alimentation saine et équilibrée riche en fruits et légumes frais contribue à réduire le risque d’AVC. Cet effet est indépendant de l’IMC, du tabagisme, de la glycémie, de l’activité physique, de la tension artérielle, du cholestérol sérique et de l’apport d’énergie, d’éthanol et de gras. (Gillman et al, 1995) L’analyse des données combinées de la Nurses Health Study et de la Health Professionals Follow-up Study a permis aux chercheurs de déterminer qu’augmenter d’une portion les fruits et les légumes mangés quotidiennement contribuait le plus à réduire le risque d’AVC. (Joshipura et al, 1999) L’accès à des ressources pédagogiques aide à favoriser la sensibilisation à ces recommandations et leur utilisation. Il est primordial d’aiguiller les patients et les familles vers ces ressources. Source : Lindsay P., Bayley M., Hellings C. et autres; Groupe de rédaction Pratiques optimales et normes au nom de la Stratégie canadienne de l'AVC une initiative conjointe du Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires et de la Fondation des maladies du cœur du Canada. Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l'AVC (mise à jour de 2008) CMAJ 2008 ;179 : E1-E93 CMAJ 2008;179(12 Suppl):E1-E93 #2.1
Recommandation canadienne pour les pratiques optimales de soins de l’AVC 2.1 ii) Sodium L’apport recommandé de sodium par jour provenant de toutes sources équivaut à l’Apport suffisant selon l’âge. Pour les personnes de 9 à 50 ans, l’Apport suffisant est de 1 500 mg, tandis qu’il passe à 1 300 mg pour les personnes de 50 à 70 ans et à 1 200 mg pour les personnes de plus de 70 ans. Aucun groupe d’âge ne devrait dépasser un apport maximal quotidien de sodium de 2 300 mg. Voir le site www.sodium101.ca pour des lignes directrices sur l’apport en sodium. L’apport recommandé de sodium est fonction de l’âge comme nous le verrons dans le tableau de la diapositive suivante. Il est important de noter toutefois que la limite est de 2 300 mg/jour. Pression artérielle Canada estime que le régime alimentaire quotidien du Canadien moyen contient environ 3 500 mg de sodium et qu’environ un million de Canadiens sont hypertendus à cause d’un apport excessif de sodium. Pression artérielle Canada a préconisé les politiques publiques poursuivent le but suivant : puisque l’Institute of Medicine des National Academies a fixé à 1 200 mg l’apport suffisant et à 2 300 mg l’apport maximal tolérable de sodium pour un adulte en santé et que ces valeurs ont été adoptées par les gouvernements canadien et américain pour leurs initiatives de politique, que le but consiste à ce que les adultes canadiens réduisent leur apport de sodium à des valeurs dans cet intervalle. Source : Lindsay P., Bayley M., Hellings C. et autres; Groupe de rédaction Pratiques optimales et normes au nom de la Stratégie canadienne de l'AVC une initiative conjointe du Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires et de la Fondation des maladies du cœur du Canada. Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l'AVC (mise à jour de 2008) CMAJ 2008 ;179 : E1-E93 CMAJ 2008;179(12 Suppl):E1-E93 #2.1
Recommandation en vue de l’apport adéquat de sodium selon l’âge Apport de sodium par jour (mg) 0-6 mois 120 7-12 mois 370 1-3 ans 1 000 4-8 ans 1 200 9-50 ans 1 500 50-70 ans 1 300 >70 ans Ce tableau indique l’apport suffisant pour tous les groupes d’âge. L’apport quotidien de sodium visé devrait correspondre à ces quantités. CMAJ 2008;179(12 Suppl):E1-E93 #2.1
Équivalences sodium-sel Sodium (mg) Sodium (mmol) Sel (g) 500 22 1,25 1 500 65 3,75 2 000 87 5,0 2 300 100 5,8 2 400 104 6,0 3 000 130 7,5 4 000 174 10 Prenons un exemple concret : Deux grandes pointes (292 grammes au total) de la pizza à croûte farcie La Fan du pepperoni de Pizza Hut contiennent 3 000 mg de sodium – le double de l’apport quotidien recommandé. (http://www.canadianstrokenetwork.ca/fr/nouvelles/downloads/releases/release.feb022009.f.pdf) Comme le sel est mesuré en grammes et le sodium en mmol et mg, il faut en tenir compte en lisant les étiquettes et en surveillant le régime alimentaire. 1 cuillerée à thé de sel contient environ 2 300 mg ou 100 mmol de sodium. CMAJ 2008;179(12 Suppl):E1-E93 #2.1
Types de sel Sel de cuisine=à grains fins, extrait de mines de sel. Depuis 1920 de l’iode est ajouté au sel de table. Sel de mer=produit de l’évaporation de l’eau de mer Sel cacher=sel sans additifs pour préparer la viande selon les règles alimentaires juives Sel pour marinades=à grains fins comme le sel de table, mais sans iode pour mariner des aliments 1 cuillerée à thé contient 2 300 mg de sodium Évitez d’ajouter du sel. Certains disent utiliser du sel de mer au lieu de sel de cuisine; la teneur en sodium est la même. 1 cuillerée à thé de sel contient 2 300 mg de sodium. À la fin de la journée cette quantité est facilement atteinte et dépasse la quantité recommandée. Sources : 1. Site Web du Réseau canadien de la santé. 2. www.Sodium101.ca
Gras alimentaire Règle générale : choisir des produits à faible teneur en gras Utiliser moins de beurre et de margarine. Utiliser du lait écrémé, 1 % ou 2 %. Choisir du yogourt (<2 %) et fromage (<20 % MG). Choisir des viandes/volaille maigres et enlever la graisse avant la cuisson. Produits à limiter : bacon, charcuterie, saucisses, sauces, croustilles, aliments frits, pâtisseries Utiliser de petites quantités d’huile canola ou d’olive pour la cuisson. Manger plus de légumes et de fruits. Les gras dans le régime alimentaire devraient être limités à cause de leur contenu calorique. Les produits qu’il faut limiter sont le beurre et la margarine et il faut choisir des produits laitiers à faible teneur en gras (lire les étiquettes… le cheddar contient le plus de matière grasse et le fromage cottage le moins), des coupes maigres de viande. Il faut enlever la graisse visible avant la cuisson. Les viandes blanches peuvent avoir une teneur élevée en gras saturés (le type qui augmente le cholestérol), ils constituent une partie importante des protéines. Conseils en matière de protéines : Composez votre assiette de manière à ce que la viande n’ait pas la vedette. Choisissez des poissons comme le saumon, qui contient peu de gras saturés. Ayez des repas sans viande… essayez les poids secs, les haricots secs ou les lentilles qui ne contiennent pas de gras et sont pleins de fibres solubles, le type qui baisse le taux de mauvais cholestérol.
Bons et mauvais gras Gras bons pour la santé (mono et polyinsaturés) Margarine non hydrogénéisée Huiles : canola, olive, maïs, avocat, olives Noix : amandes, arachides, pacanes, noix de grenoble Graines : lin, tournesol, sésame Poissons : saumon, truite, thon, sardines Œufs : oméga-3 Gras mauvais pour la santé (trans et saturés) Viande rouge, volaille Lait entier, fromage, crème Beurre, fromage à la crème Crème glacée, crème sûre Huile de palme, de noix de coco, végétale hydrogénée, shortening Aliments frits Aliments transformés Si vous faites attention aux types de gras, des gras bons pour la santé sont préférables pour de nombreuses raisons. Limitez les gras trans et saturés. Les acides gras oméga 3 sont utiles pour réduire le cholestérol LDL et les triglycérides, pour détendre les artères, protéger le cœur et réduire le risque de thrombose et d’AVC.
Fibres (25-35 g/jour) Consommer une variété de fibres solubles et insolubles Insolubles : céréales de son, grains entiers Solubles : haricots secs, pois, lentilles, flocons d’avoine, son d’avoine, orge, psyllium Les fibres solubles peuvent réduire le cholestérol LDL. Elles procurent un sentiment de satiété. (↓ apport) Elles aident à contrôler la glycémie. (diabète) (jusqu’à 50 g de fibre pour les diabétiques) Les fibres sont importantes dans le régime alimentaire non seulement parce qu’elles baissent le cholestérol LDL, mais aussi pour perdre du poids, régler des problèmes de constipation, procurer un sentiment de satiété qui dure plus longtemps et contrôler la glycémie après le repas. Les fibres solubles peuvent contribuer à réduire le cholestérol LDL, notamment le psyllium, le son d’orge, le son d’avoine, les graines de lin moulues, les fruits et les légumes non pelés. Les Lignes directrices de pratique clinique 2008 de l'Association canadienne du diabète pour la prévention et le traitement du diabète au Canada recommandent que les diabétiques consomment 25-50 g de fibres par jour.
Graines Pain de farine complète Produits céréaliers (1/4 de l’assiette) : Pain de farine complète Riz brun, pâtes alimentaires de blé entier, avoine 1-2 cuillerées à table de graines de lin moulues Céréales à haute teneur en fibres – Shredded Wheat, gruau, All-Bran Buds (contient des fibres de psyllium) Blé entier c. grains entiers Cible : 25-35 g de fibres/jour Souvent difficile à atteindre sans choisir des céréales à haute teneur en fibres ou des légumineuses, puisque une tranche de pain de blé entier de type Dempster ne contient qu’environ 2 g de fibres.
Cholestérol (300 mg ou moins par jour) A peu d’effet sur le cholestérol sérique. Gènes, diabète, activité physique Seulement présent dans les produits animaux Se concentrer sur une baisse des gras insalubres dans le régime alimentaire plutôt que sur l’apport de cholestérol. Augmenter l’apport de fibres. L’apport de cholestérol a peu d’effets sur le cholestérol dans le sang, qui dépend plutôt de facteurs tels que les gènes, le diabète, l’activité physique, l’âge, etc. Le cholestérol n’est présent que dans les produits d’origine animale. Il n’existe pas de croustilles faibles en cholestérol ou de l’huile d’olive faible en cholestérol! Il faut mettre l’accent sur les gras insalubres (saturés et trans) pour aider à réduire le cholestérol sérique. L’apport de fibres joue aussi un rôle dans le cholestérol sérique.
Guide alimentaire canadien Groupe alimentaire Légumes et fruits Produits céréaliers Lait et substituts Viande et substituts 19-50 51+ F H 7-8 8-10 7 6-7 8 6 2 3 Portions quotidiennes des groupes d’aliments recommandées par âge et par sexe.
Autres suggestions pour un régime alimentaire sain et équilibré Légumes (1/2 de l’assiette) : 7-8 portions/jour légumes frais/congelés c. jus de couleur vive de préférence choisir un légume vert et un de couleur orange par jour (brocoli, épinards, poivrons, courge, patates douces, carottes) Selon le Guide alimentaire canadien pour manger sainement : Une personne qui a de 19 à 50 ans devrait consommer 7 à 8 portions de fruits et de légumes par jour (femme) et 8 à 10 (homme). À partir de 51 ans, le nombre de portions pour une femme et un homme devrait être de 7/jour.
Manger sainement Inclure 3 des 4 groupes alimentaires dans chaque repas. Choisir des fruits plutôt que des jus. Choisir des produits laitiers faibles en gras. Cette diapositive s’adresse à toutes les personnes; elle est pertinente non seulement pour la prévention de l’AVC ou le diabète. L’objectif est de manger 3 repas équilibrés par jour, avec des collations si nécessaire, qui comprennent des aliments de 3 des 4 groupes alimentaires. Si quelqu’un ne prend qu’un repas par jour, l’objectif à long terme est de 3 repas équilibrés par jour.
Planification du petit déjeuner 1 fruit 1 produit laitier viande et substituts Une bonne façon de présenter les portions est de les disposer sur une assiette. Ceci représente un petit déjeuner équilibré. 2-3 produits céréaliers
Planification du dîner et du souper 1 fruit 1 produit laitier viande et substituts 2-3 légumes (fibres) Cette image représente un dîner et un souper équilibrés. Le lait et/ou le fruit peuvent constituer une collation si cela représente trop de nourriture. 2-3 produits céréaliers
Taille des portions et vaisselle Assiette à dîner 23 cm / 9 po Bol à soupe 250 ml / 1 tasse Bol à céréales 250 ml / 1 tasse Verre à boire 150 ml / 2/3 tasse Bol à dessert 150 ml / 2/3 tasse Verre à vin 125 ml / 1/2 tasse Les portions sont devenues plus grandes autant à la maison qu’au restaurant. L’assiette ou le verre ne doivent PAS être complètement remplis!
Repas intelligents au restaurant Meilleurs choix : Condiments à côté Salade c. frites (attention : salade César) Sauce aux tomates c. sauce à la crème pour les pâtes alimentaires Hamburger simple c. spécialité maison Portions plus petites / à partager / à emporter Manger ailleurs que chez vous peut être un défi! Attention aux « super » portions et aux « incitatifs ». Le sel est habituellement cause de problèmes, quel que soit le choix. Essayez de faire plus fréquemment de meilleurs choix; cela dépend souvent non seulement du type de restaurant, mais aussi de l’endroit ou de la ville. Les descriptions au menu qui peuvent vous mettre en garde contre le gras sont « sauté », « poêlé », etc. De nombreux restaurants sont prêts à envisager vos exigences particulières, profitez-en.
Ressources www.sodium101.ca www.heartandstroke.ca www.dietitians.ca www.hc-sc.gc.ca www.dairygoodness.ca www.hypertension.ca des sites Web utiles et fiables
« Poste » manger sainement Les diapositives qui suivent constituent un poste « manger sainement », où vous aurez l’occasion de lire les étiquettes.
Lire les étiquettes Apprenez à lire une étiquette sur le site Web de Santé Canada : www.hc-sc.gc.ca/fn-an/label- etiquet/nutrition/cons/interactive-fra.php Lire l’étiquette pour déterminer la teneur en sodium sur le site Web du Réseau canadien contre les accidents cérébrovasculaires www.sodium101.ca/fr/takecontrol/readingl abels.html
Magasiner santé Planifier les repas à l’aide du Guide alimentaire canadien Utiliser une liste d’emplettes Ne pas magasiner quand on a faim Fréquenter les comptoirs en périphérie Lire les étiquettes Chercher le symbole « Visez santé » Mettre l’accent sur les légumes, les fruits et les grains entiers. Par périphérie du magasin nous entendons les comptoirs de fruits et de légumes, de viande, de produits laitiers et de graines, soit l’accent sur les produits frais plutôt que sur les produits transformés. Moins il y a de texte sur les étiquettes, meilleur est le choix, c’est-à-dire le produit est frais plutôt que transformé.
Magasiner santé Collations, céréales, biscuits <3 g de gras total, <2 g de gras saturés et trans <200 mg de sodium (10 % de la valeur quotidienne) Céréales, grains >3 g de fibres; grains entiers 1er ingrédient <4 g de sucre (pour les triglycérides) Repas congelés <600 mg de sodium Ayez des échantillons de produits au poste et apprenez aux infirmiers et infirmières comment lire les étiquettes … ou servez-vous de www.sodium101.ca.
Magasiner santé Liste des ingrédients – surveillez : Gras saturés et trans shortening hydrogéné ou partiellement hydrogéné Gras saturés Huile de palme, de cerneau de palme, de noix de coco, huiles tropicales Saindoux, suif, beurre Sodium Sel, sel aromatisé, sel de mer, sodium, glutamate de sodium, saumure, sauce soja, bicarbonate de sodium C’est la quantité de sodium qui est importante plutôt que la quantité de sel. Le sel est composé de chlorure de sodium. Demi-sel et sans sel sont basés sur du potassium (plutôt que sur du sodium) et peuvent interférer avec certains médicaments, en particulier des médicaments pour le cœur.
Récapitulons L’AVC est une des principales causes de décès et d’handicap. 80 % des AVC peuvent être prévenus. La prise en charge en phase aiguë commence par la reconnaissance des symptômes les protocoles à l’urgence font la différence le triage rapide des AIT pour prévenir un AVC Les stratégies de prévention peuvent avoir un effet considérable HTA, désaccoutumance au tabac, mode de vie sain, respect des ordonnances Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC 2008 www.strategieavc.ca Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC, mise à jour de 2008 www.strategieavc.ca .