PETITES COMPTINES POUR MES PETITS
La chenille Petit papillon - Où vas-tu, toute dodue, chenille poilue ? - Filer un joli cocon, tontaine tonton, pour devenir, pour devenir un papillon. Petit papillon se pose, se pose, petit papillon se pose partout. Petit papi, passe par ici. Petit papa, pose-toi par là !!!
C’était un cheval Quand il avait faim On lui a donné du foin Quand il avait mal aux dents On lui a donné de la pâte à dents Quand il avait mal aux pieds On lui a donné de gros souliers Et là notre cheval Il n’était plus malade. Son maître l’a pris L’a sorti de l’écurie. C’était un cheval Oh ! c’était un cheval Oh ! il était bien malade Son maître l’a pris L’a mis dans l’écurie. Quand il avait chaud On lui a donné de l’eau. Quand il avait frette On lui a donné une couverte
La clé Donnez-moi une petite clé S’il vous plaît Pour ouvrir la porte au soleil Je vous prie Pour fermer la porte à la pluie Une clé qui fait clic Une clé qui fait clac Et voilà !!!
Une goutte d’eau Une goutte d’eau est tombée du ciel Et sur mon carreau, là, elle ruisselle. Elle glissera dans le caniveau Pour aller grossir un petit ruisseau. Ce petit ruisseau devenant rivière Rejoindra un jour les bords de la mer. La goutte, chauffée par notre soleil, Deviendra buée là-haut dans le ciel. Dans un gros nuage elle s’entretiendra Avec d’autres gouttes, du vent et du froid. Et puis tout à coup, elle retombera Sur mon carreau gris, vous savez pourquoi.
La mer brille comme une coquille On a en vie de la pêcher La mer est verte La mer est grise Elle est d’azur Elle est d’argent et de dentelle. Paul Fort La mer s’est retirée, Qui la ramènera ? La mer est démontée, Qui la remontera ? La mer est déchaînée, Qui la rattachera ? Un enfant, qui joue sur la plage Avec un collier de coquillages. Jacques Charpentreau
Amitié Qui peut faire de la voile sans vent, Qui peut ramer sans voiles, Et qui peut quitter son ami Sans verser de larmes ? Je peux faire de la voile sans vent, Je peux ramer sans rames, Mais ne peux quitter mon ami Sans verser de larmes !
La comptine des six continents Sur le dos d’une antilope Je fais le tour de l’Afrique Sur le dos d’une bourrique Je fais le tour de l’Europe À dos de yack qui galope Le tour de l’immense Asie Sur le dos d’un poisson-scie Le tour de l’Océanie Sur la vigogne au poil doux Le tour des deux Amériques Dans ta poche kangourou Je traverse l’Australie Bernard Lorraine
Je n’ai jamais vu de lama De tamanoir ni de puma. Le petit lapon Je n’ai jamais vu de lama De tamanoir ni de puma. Je n’ai pas été à Lima, Ni à Fez, ni à Panama. Je ne possède ni trois-mâts, Ni charrette, ni cinéma. Je ne suis qu’un petit lapon Qui sculpte de petits oursons Avec un os, dans un glaçon. Maurice Carême, (Fleurs de soleil)
Sur le chemin Sur le chemin qui mène à la maison J’ai rencontré un écureuil mignon Et un lapin aux jolis yeux tout ronds J’ai rencontré un petit hérisson Qui s’amusait avec un papillon Sur le chemin qui mène au village J’ai rencontré un canard pas très sage Il poursuivait une petite oie sauvage Sur le chemin qui mène au grand bois J’ai rencontré un méchant loup, ma foi Qui m’a dit : rentre vite chez toi !
Mon hérisson Qui est-ce qui pique, pique, pique, Qui est-ce qui pique quand on le prend ? C’est mon hérisson ! Qui est-ce qui croque, croque, croque, Les insectes et les vers blancs ? Qui est-ce qui lape à petit bruit Le lait que je mets pour lui ? Qu’est-ce qui s’roule, se met en boule Sous les feuilles du groseillier ? Qui est-ce qui se cache ou bien s’endort Quand il fait bien froid dehors ?
Coccinelle Coccinelle demoiselle Bête à Bon Dieu Vole vers les cieux Petit point rouge Elle bouge Petit point blanc Elle attend Petit point noir Coccinelle au revoir Coccinelle
La pluie sur mon cou C’est doux c’est doux La pluie sur mon front C’est bon c’est bon La pluie sur mes doigts C’est froid c’est froid Pluie pluie pluie et parapluie Tombe tombe sur ma tête Tombe tombe jusqu’à la nuit
Abracadabra s’exclame l’ara Abracadabrant barrit l’éléphant Abracadabré chante l’araignée Abracadabri bêle le cabri Abracadabro flûte le crapaud Abracadabru conclut l’urubu Andrée Clair Monsieur l’Ours réveille-toi Tu as assez dormi comme ça Et à trois, attrape-moi : Un, deux, trois !
Viens, je t’emmène sur l’océan Viens je t’emmène au gré du vent Vers la lumière du soleil levant Viens je t’emmène sur mon bateau blanc La vie est belle profitons-en Plus de querelles plus de tourments À quoi ça sert de se tuer Et de faire toutes ces guerres, de dévaster, La vie est courte, profitons-en Pour faire la route vers l’océan Sans un détour sans hésiter Et nous voguerons toujours vers l’amitié. La vie est douce profitons-en Le vent nous pousse dans les haubans Prends-moi la main, prends-moi le cœur, Nous n’attendrons pas demain pour le bonheur ! Le bateau blanc
L’arrosoir L’arrosoir pleut L’arrosoir pleure Il a du chagrin pour les fleurs Il donne tout le fond de son coeur
Comptines trouvées sur le Net, sans nom d’auteur malheureusement, pour la plupart. Dessins : du site « Pochoirs et décoration », grâce à l’autorisation spéciale de Valérie, car ces créations sont protégées par Copyright. Musique : Badarzewska – Prière d’une vierge. Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/