Les rébellions dans le Haut-Canada
Même si les sentiments des patriotes dans le Bas-Canada étaient populaire dans le Haut-Canada … la situation était différente. La réforme au Haut-Canada était associée à la démocratie américaine (Mackenzie)
Mackenzie consacrait beaucoup de temps et d’énergie à organiser la résistance contre le gouvernement. Certains de ces soldats avaient participé à la guerre de 1812, mais la plupart n’avait pas d’expérience militaire.
York (Toronto) aux années 1830 Quand Mackenzie a entendu que le gouverneur du Haut-Canada avait envoyé des troupes au Bas-Canada, et York était sans défense, il a décidé d’attaquer.
Mackenzie voulait une avance rapide pour gagner les armes et faire prisonnier le gouverneur. Il n’avait pas trop de soutien, mais a ordonné une attaque à partir de la taverne Montgomery. L’attaque a échoué, et Mackenzie s’est enfui aux É.-U.
Le rapport de Lord Durham
Suite aux rébellions, la Grande-Bretagne a compris qu'elle devait changer son gouvernance des colonies. Le Cabinet britannique (à Londres) a créé une commission chargée de proposer une solution
La commission était dirigé par Lord Durham, et il a été nommé gouverneur en chef des deux provinces (Haut et Bas) Il est venu au Canada en 1838 avec sa femme, Lady Durham.
L’Empire britannique au 19e siècle
Lord Durham était plus indépendant Il n’a pas partagé le pouvoir avec le Pacte et la Clique Il gouvernait sans Conseil, ni Assemblée Il était donc perçu comme un dictateur.
Lord Durham n’était pas populaire au Canada et en Angleterre. Il a quitté son poste et il est rentré en G.-B.
Il a écrit son rapport en recommandant l’unification des 2 colonies (Haut et Bas). Il a aussi recommandé l’unification de toutes les colonies d’Amérique du Nord britannique. (le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, Terre-Neuve, L’Île-du-Prince-Édouard, le Haut-Canada et le Bas-Canada)
Le gouvernement britannique a accepté la suggestion d’unification. En 1840, l’Acte d’Union unifiait le Haut-Canada et le Bas-Canada.
Il est devenu en 1841 le Canada-Uni avec Montréal comme capitale Cette unification s’est passée sans le soutien ni la participation des Canadiens français